Jordanne
Ce matin là, un sourire de plénitude étirait mes lèvres, pendant que j'emergeais doucement de mon sommeil.
J'ouvris complètement les yeux, quand je posais ma main sur l'autre côté du lit, et que je ne touchais aucun corps mais plutôt des draps atrocement froid.
Lentement, je me levais, et je m'asseyais au bord du lit.
Je souriais encore, quand je sentis une légère douleur au niveau de mon sexe. Douleur qui témoignait de la fougue de nos ébats de la veille.J'allais me lever du lit quand la porte s'ouvrit brusquement sur Bradley.
-Bonjour. Lui dis-je en souriant.
Il me fixait mais ne répondit pas.
Je froncais les sourcils.
Il avait les lèvres pincées, la mâchoire contracter et le regard froid.
Était-il en colère ?
-tu devrais te lever et t'en aller ! me dit-il sèchement.
Hein !?.. Je clignais plusieurs fois des yeux étonner.
Il me mettait à la porte ?
Il ne me laissa pas en placer une, qu'il me lança sur un ton glacial.
-tu as 5 mn !
Avant de sortir et claquer la porte.
Choquer, je mis quelques à assimiler ce qui venait de ce passer.
Cela ce voyait qu'il était en colère mais en colère contre qui ? Moi ?
Pourtant avec la nuit qu'on a passer hier, j'ai cru...Je me figeait quand un éclaire de lucidité me traversa l'esprit.
Et là, je compris.
Rapidement, je me levais et m'habillais.
Je sortis de la chambre et empruntait le même couloir qu'hier jusqu 'au salon.Là, il était installer à une table, en costume. Une tasse de café dans une main et un journal dans l' autre.
Malgré la colère qui commençais à chauffer mon sang, je ne pus m'empêcher de le trouver atrocement sexy comme ça.
-bon, tu peux me dire ce qui ce passe ? Parce que la je ne comprends rien. Je croyais que..
Il leva son regard froid sur moi avant de me couper.
-il n'y a rien à comprendre ! Gronda t-il.
Je t'es baiser hier soir, tu as pris ton pied, et moi aussi.
Ça s'arrête là ! Point.L'agressivité dans sa voix me fit sursauter et en même temps me fit prendre conscience de ce qu'il était vraiment.
-tu es un vrais conard en faite !
Il contracta sa mâchoire, mais son visage restait impassible.
-en vrais, depuis le début, c'était qu'un plan cul que tu voulais.
Un rire amer sortir de ma bouche en même temps qu'un homme baraquer au crâne raser entra dans le salon et vint lui chuchoter quelque chose à l'oreille.
-je t'es appelé un taxi. Il t'attends en bas. Lança t-il sur un ton agacer.
-ne te donne pas cette peine enfoiré ! Crachais-je en sortant de chez lui à grand part.
Quand je montais dans le métro quelque minutes plus tard, je bouillonnais toujours de rage et de frustration.
De frustration parce que j'aurais bien aimer lui flanquer une bonne gifle afin de lui arracher cette expression lasse et détacher qu'il affichait .
Au lieu de cela j'étais assise là, a ruminer mon humiliation.Parce-que oui, je me sentais humilier et utiliser.
Je savais qu'il me désirait et que cette tentions sexuel contant qui brûlait entre nous n'irait probablement pas plus loing qu'une alchimie Chanel.
Mais encore ça, ça ne me dérangeais pas du tout, parce que en fin de compte ce désire était largement partager.Mais ce que je n'arrivais pas à digérer, s'était la manière dont il m'avait mise à la porte comme si j'étais une pestiféré.
C'est le cœur lourd que j'entrais chez moi.
Je branchait mon téléphone à la mini chaîne, avant de mettre ma playliste (layton greene).
Je montais le volume à fond avant de me diriger rapidement sous la douche.Énergiquement, je me frottait la peaux avec l'éponge.
Je voulais me débarrasser de son parfum qui me collait à la peaux.
Je voulais effacer toute trace de lui, effacer ses baiser et ses carresse dont il s'était servit pour marquer ma peaux.Mais ce que je ne pouvais pas, c'était effacer cette nuit de ma mémoire, pensais-je amèrement pendant que la chanson (blame on me) passait.
A ce instant précis, je ne savais plus ce que je ressentait. Un tourbillon de ressentiment me compressait le cœur.
Était-ce de la colère ? Ou de la tristesse?
Je ne savais plus.
J'arrêtais de me frotter et je laissais tomber l'éponge par terre.Je collait mon front au parois de la douche et une larme déborda de mon œil avant de se mélanger à l'eau qui ruisselait toujours.
Après une éternité je daignais sortir enfin de la douche.
Je m'essuyais avant de m'allonger toute nu sur mon lit en fixant le plafond. Il ne me fallu pas longtemps pour que je m'endorme, bercer par la voix de layton.
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Waynes :mon diamant noir TOME 1
RomanceBradley Wayne se remet peut à peut de la mort de Sa femme, Lorsqu'il rencontre jordanne black, une belle métisse aux formes sensuelle, croyant avoir assez souffert, Bradley ne ce se doute pas une seconde que c'est cette belle ensorceleuse qui lui fe...