Il était 17h et le téléphone fixe qui était sur mon bureau donnait des bips, c'était ma patronne. L'heure des courses avait sonné. Même si la fatigue de la journée avait laissé des empruntes sur mon visage, j'essayai de me faire beau. J'arrageai mon col, et me debarbouillai. On ne sait jamais.
Elle m'attendait déjà dans sa jolie BMW noire. Une voiture dont je rêvais tellement. Elle était au volant et j'étais juste à côté d'elle. La ceinture de sécurité passait au milieu de ses seins qui n'étaient pas très cachés. Elle avait remis du rouge à lèvre et son parfum. Mes idées n'étaient plus surplace. Le regard fixé tout droit devant elle, je la contemplais, les deux mains tournants le volant qu'elle tenait légèrement.
_ Et votre femme, elle va bien ? Avança-t-elle pour détendre l'atmosphère qui avait l'air un peu tendu. Je l'étais vraiment.
_ Pardon? Bredouillai-je.
_ Vous pensez à quoi? Je parlais de votre femme.
J'étais tellement focalisé sur ses seins que j'avais du mal à écouter ce qu'elle me disait.
_ Elle va bien madame.
_ J'en suis ravi. On dirait que vous êtes tendu. Remarqua-t-elle. J'étais sûr de cacher mes émotions, comment l'aurait-elle su ?
_ Non madame. Repliquai-je avec un sourire forcé.
On venait de faire prêt de 30 minutes de courses et je me posais des questions.
_ On est arrivé.
C'était une grande maison magnifiquement décorée. Elle klaxona et un homme vint ouvrir. Ça doit sûrement être un gardien. Quand elle m'avait parlé de course, j'ai plutôt pensé à un grand magasin rempli d'accessoires mais ce n'était rien de tel._ Bienvenu chez moi. Me dit-elle quand on rentra au salon.
_ Wao, c'est jolie chez vous.
Il y avait des photos d'elle partout contre le mur mais aucune de sa famille. Le salon était immense, et meublé par des objets de luxe
_ Soyez à l'aise. Faites comme chez vous je reviens. J'avais envie de lui poser des questions à propos de la course qu'on devrait faire mais j'avais peur.
Elle me donna un jus de fruit qu'elle retira de son réfrigérateur.
_ Je vais prendre une douche et je vous rejoins. Ajouta-t-elle. Je l'observai s'éloigner déhanchant ses grosses fesses.
Je contemplais le palais dans lequel je me trouvais, c'est le grand luxe, je n'arrive pas à croire qu'elle vive seule dans cette grande maison. Au même moment, j'avais aussi hâte d'être à la maison. Christine me manquait, je ne cessais de regarder dans ma montre. Les minutes filaient, elle durait au toilettes et j'étais de plus en plus stressé.
Encore quelques minutes et je l'entendis descendre les marches. Elle était mouillée avec une petite serviette nouée autour de la poitrine. Je voyais ses jambes nues qui brillaient et je jalousais cette serviette qui recouvrait tout mais au même moment, mon cœur battait. J'étais tendu.
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MA PATRONNE
RomanceBonjour, je m'appelle Henri, j'ai 28 ans. Homme marié et père d'un enfant. J'ai été l'auteur de mes propres malheurs. Lisez plutôt.