Ô château,
Aujourd'hui tu n'avais plus les pieds dans l'eau.
Ô château,
Aujourd'hui tu étais beau.
Sur ta bute tu surplombais toute cette mer disparue,
Et cette plage qui se sentais nue.
Hommes et femmes parcouraient ce que la mer avait laissé,
Pour qu'il puisse découvrir ton passé.
Mais tout cela n'est qu'éphémère,
Dans six heure la mer aura repris sa terre,
Reforma ton île effacée,
Par les flots clair d'une mer singulière,
Qui recouvrira tout son sable cher.