house shapeshifter

Chapitre deux : Alexis

J'ai marché durant des semaines et des semaines en ayant constamment la peur au ventre de me faire attraper par les membres de mon ancienne meute.

C'était soit, je m'enfuyier pour ne plus jamais y retourner, soit j'y rester et j'y laisser ma vie.

L'instinct de survie à pris le dessus et je suis parti en plaine nuit. Mon père qui est le roi des Arachnides buvais de plus en plus et devenait de plus en plus violent avec tout le monde.

Lorsqu'il rentrait à la maison, il sentait très fort l'alcool et je savais que je ne devais pas rester en travers de sa route au risque qu'il ne me frappe violement, mais ces dernières semaines, il venait jusque chez moi pour me tabassé.

Je suis fort n'en doutait jamais, mais ma mère m'a toujours appris de respecter mes parents même si j'étais en colère.

Mon père n'a pas toujours était comme ça, lorsque ma mère était encore en vie, c'était un homme gentil, jouet et très attentionné en vers ma mère et moi, mais depuis sa mort, il a complément changer. Je ne le reconnais plus.

Il boit sans arrêt, il est violent et méchant dans ses paroles avec moi. Il me dit sans cesse que si ma mère est décédée, c'est entièrement de ma faute et au début, j'y croyais, mais en quoi suis-je responsable qu'elle soit décédée du cancer ?

Je n'y suis entièrement pour rien et ça, je l'ai compris trop tard, mais je l'ai compris quand même.

Durant les jours qui ont suivi ma fuite, j'étais constamment sur mes gardes. J'avais peur de tomber sur les membres de mon ancien clan, mais je n'en ai vu aucun.

Je suis parti avec le strict nécessaire. Inutile de s'emcombrer avec des choses futiles.

Je ne savais pas ce que l'avenir me réservé, mais j'étais sûr d'une chose. J'allais rester solitaire jusqu'à la fin de mes jours.

Et puis sur ma route, j'ai vu cette enseigne '' House Shapeshifter '' maison des métamorphes en français.

Quelque chose me pousser à m'y rendre. Je ne saurais dire quoi, mais je me sentais attiré comme un aimant vers ce grand parc.

Durant une bonne heure, je suis rester là, a fixer cette enseigne jusqu'au moment où mes pieds ont avancer tout seul.

Ce n'est que lorsque j'étais à l'intérieur que j'ai pris conscience que mon corps avait bougé sans que je n'en lui en donne l'autorisation.

Un homme imposant se dirigea dans ma direction.

- Bonjour monsieur. Que puis-je faire pour vous aidez ?

- Bonjour monsieur.

Je regarde l'homme qui se tient devant en hésitant à lui expliquer le pourquoi de ma présence.

Je prends une grande inspiration avant de me lancer.

- Je suis parti de mon clan car, j'étais en danger de mort. J'ai vu votre enseigne et avant même que je m'en rende compte, mes pieds mon guider jusqu'ici.

- Veuillez me suivre, je vais aller avertir mon alpha de votre présence.

Je suis mon hôte et nous nous dirigeons vers un grand chalet. Durant le trajet, j'en profite pour regarder les allentours.

Il y a beaucoup de chalet qui me paraissent assez spacieux vu de l'extérieur.

Un peu plus loin, il y a une petite plaine de jeux. Des petites étendues d'herbe parsemé de fleur mauve, jaune, bleu et rouge.

Nous arrivons devant un grand chalet et mon hôte l'invité à m'asseoir sur une chaise.

- Je reviens tout de suite, je vais aller prévenir mon alpha qu'il a de la visite.

- Je vous remercie.

L'homme fait demi tour et je me retrouve seul. Je regarde autour de moi.

Devant moi, il y a un petit couloir et au bout de celui-ci se trouve en grande porte en bois.

Sur les murs, il y a des cadres de paysage, de loup et de clairière.

Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre et l'homme qui m'a accompagné entre.

- Veuillez me suivre, je vais vous installer dans le bureau de l'alpha. Désirez-vous quelque chose à boire ?

- Je veux bien un café. Merci.

- Vous prenez du lait ou du sucre.

- Juste noir, ce sera parfait.

- Ce sera noir dans ce cas. l'Alpha ne devrais plus tarder.

- Merci

L'homme sort du bureau et referme la porte derrière lui.

Un grand bureau noir surplombe la pièce. A ma droite, il y a une grande étagère rempli de farde. Sur le bureau, il y a un pc portable et une petite lampe de couleur rouge.

Je prends une grande inspiration et je sens une forte odeur de lavande flottait dans l'air. Celle-ci entre par tout les ports de ma peau pour venir se loger dans ma queue qui durcir en quelques secondes me rendant très inconfortable dans mes pantalons.

Derrière la porte, j'entends des murmures. Je peux entendre le cœur de quelqu'un batte anormalement vite.

Quelques instants passent avant que la porte ne s'ouvre sur un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 18 voir 19 ans.

Il est blond aux yeux bleus. Pas très imposant, mais pas gringalet non plus. Je le regarde de haut en bas et lorsque mon regard croise le sien, je suis comme hypnotisé tellement je trouve ses yeux magnifiques.

C'est comme si j'étais face à l'océan. Je pourrais le regarder durant des heures sans jamais m'en lacer.

- Bon... Bonjour, dit il timidement.

- Bonjour, dis-je en lui tendant ma main. Je m'appelle Alexis.

- Jay. Je m'appelle Jay.

Lorsque sa main touche la mienne, je reçois une décharge. Il me regarde surpris et je devine rien qu'en le regardant qu'il se demande ce qu'il se passe.

Il ne sait pas encore que devant lui se tient son compagnon, mais moi, je sais qui il est pour moi.

Je ne m'attendais pas à trouver mon compagnon en venant ici, mais j'en suis ravi.

Il me relâche, contourne son bureau et s'installe sur son fauteuil.

- Pourriez-vous me dire la raison de votre venu ici ?

Je lui explique tout les détails qui m'on pousser à devoir quitter ma meute et il m'écoute jusqu'au bout tout en écrivant tout ce que je dis sur son clavier.

- Bien. Ici, nous accueillons tout les métamorphes qui sont bannis de leur meute ou qui sont obligé de partir pour leur survie. J'ai terminé ton admission et Matthew, le jeune homme que vous avez vu tantôt vous escortra à votre chalet.

- Je vous remercie infiniment.

- Bienvenu au House Shapeshifter Alexis.

- Merci pour tout ce que vous faites pour moi.

- Il y a pas de quoi. Je peux... Non laissez tomber. Je vais aller chercher Matthew.

Sans attendre de réponse, il se lève et lorsqu'il passe à côté de moi, une folle envie de le prendre dans mes bras me prend, mais je ne fais rien. Je ne voudrais pas l'effrayer.