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La mer,
Malgré ces seules nuances de bleus couvert d'une infinie transparence en a vue des couleurs. Rouge, le sang des Hommes, martyre de leur propres rêves de conquête. D'amour ou de vengeance ? Rouge, la passion qu'un regard peut jetter autant qu'il en a fait jetter, des âmes dans la mer. Orange, attisant de beaux sourires sucrés, des lèvres gércés d'amertume par l'humidité que contient une vie et neutre, une acidité si douloureuse mais si fidèle qu'elle ne piquerait plus. Jaune, ces rires contagieux provoquant d'infame douleur abdominale, te rappelant cette tromperie mais pourtant si plaisante, cette joie ruisselant les visages, parfois seulement pour une seconde, mais cette seconde était si belle. Vert, ravive la flamme olympique de l'espoir, et accroit la force de croire en une ou cinq chances inespérées, mais alors, pourquoi as tu tué Molière ? Bleu, tu y reviens, comme tes vagues partent puis finalement revienne sur la rive comme tu reviens sur ce clavier pour qu'on ne les oublient jamais. Ce ciel qui t'habille pour ne pas dévoiler cette nudité que tu cache. Cette horizon si sage qui t'embellit. Tu es un miroir. Violet, naviguant sur un air royale et solennelle, reste au dessus de cette foule ou il risque de t'arracher ton masque. Tu n'y crois pas. Le masque tombe. Tu tombe avec lui. La solitude, sur une chanson mélancolique, danse autour de ta tombe a présent, la pluie a encore frappée. Rose, elle joue encore, elle. Pourquoi un elle est-il nécessaire quand une fleur est ici ? Poséidon, dis le. Tu ne peux pas. Tu te cache derrière ton romantisme et ta culpabilité mensongère. Tu es le mal, mais tu es, si doux. Blanc, pure comme une eau de source elle ne l'est pas. Son sel brûle les yeux comme les nuits blanches coulante ont brûlé les tiens. Mais dans cette claireté obscur, aperçoit tu cette robe. Tu en rêve. Ce n'est que du cinéma. Ca n'existe pas. Si. Pas pour toi. Pourquoi ? L'innocence parfois, est la meilleure chose a savoir. Noir, ce vide et ce néant, cette infinité de choses que l'on ne sait pas. Qui es tu ? Pourquoi es tu la ? As tu finis de me détruire. Non. Pas d'excuses je veux seulement une explication. Ca me tue, sobre de toi, ivre de douleur.
mère,
aide moi.

La MerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant