Tome 1 : Renaissance

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                                                                         Chapitre 1 : Découverte

Je m'appelle Beren Solar et je suis ce que l'on appelle un magio (ce prononce maguio), je viens d'un village perdu dans les montagnes du nord d'un royaume nommé Atloscar, d'on la capitale et Atlarias. Dans mon monde, les magios sont très rares et leurs pouvoirs sont souvent très puissants. La plupart de la magie de ce monde vient d'artéfact, de créature, des démons et des magios. Les artéfacts sont des objets magiques assez courants. Il existe des créatures qui attaquent et tuent des humains et d'autres qui les aident. Les démons ont leur propre royaume qui se situe au sud- est du royaume, qui est constamment surveillé par des soldats et quelques magios. Les magios sont considérés comme des demi-dieux par la basse et moyenne société, mais la haute les considéré comme des objets, des armes ou comme des menaces. Le roi actuel est bon et juste, il essaie d'éviter les conflits et les discriminations, car peu de nobles voient les magios du bon œil.

Mais revenons à mon histoire, mon village était isolé du monde, on était une centaine d'habitants, la chasse et l'agriculture étaient les activités les plus pratiquer. Vers mes quatorze ans, mes parents m'ont amené à la chasse pour la première fois. Mon père et ma mère m'apprenaient à tirer à l'arc et au combat au poignard. Deux ans plus tard en hiver alors qu'une tempête de neige approchait, vers l'après-midi, lors de la chasse une avalanche m'emporta moi et mes parents, à peine on fut emporté que l'on mourra tous les trois.

C'est à ce moment-là que le pouvoir qui sommeiller en moi fit son apparition, mon corps se réduisit en cendres et elles me recomposèrent, d'abord, les os, ensuite les muscle et articulations, les organes, la chair et la peau et tout cela en quelque minute. Je me suis alors réveillé seul dans la neige et dans la nuit, je pris du temps à rejoindre mon village, j'étais tout déboussolé, dès que les habitants me virent, ils accoururent, ils avaient vu l'avalanche et ils me demandèrent ou étaient mes parents. Je ne répondis rien et avec mon air grave et triste, ils comprirent. Pendant un mois je suis restai dans mon village à errer dans les rues est à rester cloîtrer chez moi. Pendant ce long mois, je me posai des questions « pourquoi, je suis en vis » « comment ai-je survécu » « suis-je un magio ». Malgré ma résurrection mon esprit avait encore des doutes.

Je finis par comprendre que j'avais vraiment ressuscité grâce à mon pouvoir, et en l'occurrence que du coup j'étais un magio. Je me suis remis alors de ma dépression et je me suis renseignai sur les magios, j'appris qu'il y en avait qu'une cinquantaine dans le royaume et que la plupart sont assignés à une ville pour la protéger. J'ai aussi appris que les magios pouvaient créer des artéfacts et qu'il pouvait créer une équipe avec des aventuriers pour remplir des missions qui sont données par des messagers de noble, pour régler diffèrent type de problèmes. Je me suis mis en tête d'aller à la capitale pour devenir le chef d'un groupe d'aventuriers et vivre des aventures formidables.

Je commençai alors à développer mes pouvoirs, en secret. Je découvris que je pouvais créer des flammes noires dans mes mains qui sont impossibles à éteindre avec de l'eau, il y a que moi qui peut l'éteindre et certainement un autre magio. Je voulus en savoir plus sur les magios et les artéfacts, alors quand le marchand du village parti se réapprovisionnait dans la ville la plus proche. Je lui demandai de me trouver des livres sur les magios et les artéfacts, il me répondit alors avec le sourire :

– Bien sûr, mon grand, mais il faudra quand même me les payer.

– ça ne posera pas de problème, lui répondis-je

Le marchand parti alors, toujours avec le même sourire aux lèvres.

Avec la mort de mes parents j'héritai de leur économie et de notre maison, je gagner de l'argent en rendant service au villageois et en chassant. J'achetai donc sans problème les livres que le marchand me ramena. Les livres ne contenaient pas beaucoup d'information sur les magios. Les seules choses sur eux que les livres racontaient étaient que tous les six ans les nouveaux magios devaient se présenter à Atlarias et d'après les dates citées, le prochain rassemblement se déroulera dans cinq ans. Mais les informations sur les artéfacts étaient intéressantes. Les artéfacts pouvaient être créés par les magios et trouver dans des temples, qui sont répartis sur tout le continent.

Pendant trois ans entiers je m'entraînai en secret dans la montagne, j'arriver maintenant à tirer des boules de feux en donnant des coups de poing dans le vide avec mes mains enflammer, à créer un feu plus intense dans mes mains et des sortilèges que je placer sur le sol comme piège. Le village n'était au courant de rien. Je sortais du village, en utilisant comme prétexte, que je partais à la chasse. Mes entraînements commencèrent à se voir à lors de la première année, mes réflexes, ma force, ma magie et ma discrétion ont augmenté considérablement. Lors de ma deuxième année, je réussis à transformer mon arc en artéfact, lorsque j'activé le sceau la flèche devient enflammé et quand je tirai avec, la vitesse de la flèche considérablement augmentée.

Mon entraînement et mes recherches m'ont permis de survivre plusieurs jours seuls dans la montagne. À mon retour, j'appris que des villageois étaient partis à ma recherche. À leur retour, le chef du village me passa un savon et me demanda de le prévenir, si je contais partir aussi longtemps.

Chapitre 2 : La meute

Les jours passèrent et il ne restait maintenant plus que deux ans avant le rassemblement des magios à la capitale. Le village se prépara à l'hiver, le marchand avait ramené des provisions, mais elles n'allaient certainement ne pas suffire. Alors, les hommes du village partirent à la chasse, ils me demandèrent de les accompagnais, pour servir d'éclaireur. Je devais monter dans les arbres et leur communiqué la position du gibier et de regarder s'il n'y a pas de loup ou d'ours dans les parages. La chasse se déroulait bien, les adultes avaient attrapé trois cerfs, cinq lapins et un sanglier. De quoi tenir trois bonnes semaines, en plus des provisions du marchand.

Je m'apprêtai à descendre de mon arbre pour les rejoindre, quand j'entendis des grognements, puis des cris de loup. Je me suis retourné et j'ai vus une meute de dix loups noirs foncer vers les chasseurs. Je leur criai

- il y a une meute de dix loups, en approche et qui fonce vers vous.

Les adultes se retournèrent et tendirent les cordes de leurs arcs, c'était alors du vingt contre dix. Les loups arrivèrent à une vitesse incroyable. J'étais surpris, car d'habitude les loups étaient blancs ou gris, mais ceux-là était d'un noir profond. Les adultes tuèrent deux loups, mais deux adultes se firent mordre, c'était des morsures profondes, mais elles étaient soignables. Les loups s'arrêtèrent d'attaquer d'un coup et on aurait dit qu'ils attendaient quelque chose. C'est alors que deux hurlements arrachèrent nos regards des loups pour regarder les deux mordus. Ils saignaient abondamment au niveau de la morsure, vomissaient du sang et leur peau commençait à tomber en lambeau. En moins de cinq minutes, ils n'étaient plus qu'un tas d'os et de chair gluante, baignant dans les flaques composées de leur sang. Les adultes pris de panique, tirèrent sur les loups, qui s'apprêter à nous réattaquer, je sors alors mon arc et j'ai activé le sceau et j'ai tiré une flèche enflammer sur un des loups et un feu noir et violet le consuma en quelque seconde. Les adultes profitèrent que les loups soient perturbés pour retirer un salve de flèche. Il ne restait plus que cinq loups, et les adultes n'avaient plus de flèche, alors j'ai décidé de descendre de mon arbre, et de me battre. J'ai balancé une boule de feux sur un loup, il se consuma en quelque seconde. Celui qui était leur chef était certainement, le plus gros de loup qui restait en arrière alors que les quatre autres loups m'attaquèrent simultanément.

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que je les consumegrâce à mes flammes, car il me fonçait dessus sans tenter d'esquiver mes coupsde poing, que j'avais recouvert de mes flammes. Une fois que j'en ai fini avecceux-là, le plus gros, m'attaqua si vite que je n'eus pas le temps d'esquiver,il me mordit le bras droit, mais j'ai réussi à le frappa dans le ventre et ilse consomma. La morsure me faisait terriblement souffrir et je savais ce qu'ilallait m'arriver. Les adultes qui étaient restés en retrait, et qui avaient assistaientà la scène, ce précipitèrent pour me voir, je voyais dans leur regard, del'admiration, de la peur, de l'incompréhension et de l'inquiétude.


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⏰ Last updated: Nov 14, 2019 ⏰

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Beren SolarWhere stories live. Discover now