CHAPITRE 7 : Anonymat mon ami

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Hier soir, impossible de fermer les yeux, je devais finaliser tous les petits détails, pour mon entrée dans le monde des affaires.

Je suis loin d'être une amatrice dans se domaine, dealer coule dans mes veines, depuis mon plus jeune âge.

Mon père m'a appris toutes les base de ventes à Paris, en complément je prenais des cours d'économie et de vente par correspondance pour développer mes compétences.

Mon vieux était le meilleure dans son milieu mais utilisait une technique de vente trop démoder, premièrement la vente physique.

Allô on a le dark net à notre époque.

J'ai dû le supplier pour qu'il effectue ces échange monétaire en crypto-monnaie, on passe bien évidemment par des société écran et offshore de services pour blanchir cet argent, pour le rendre intraçable.

C'était sa limite, donc hors de question de vendre part internet, il voulais voir son client, même si ce dernier à juste appuyer sur envoyer pour lui transférer son argent.

Sans oublié que sa règle d'or était de s'incliner face au prix du marché, même si notre cam était la meilleure d'Europe.

Malgré tous ces petit couac, c'était le meilleure, toute fois comme le cycle de la vie à repris son cours.

L'élève a dépassé le maître, pendant près de deux mois, je le regardais paniquer, car un nouveau concurrent vendait plus chère , à ces plus fidèle client.

Il recherchait le coupable pendant que je riais en secret. Je devait lui dire la vérité ce jour là, que c'était moi. Malheureusement il est partie au même moment.

Je voulais lui donner une petite leçon, car son partenaire en affaire voulait laisser le buiss à son fils car « soit disant je suis une fille, par conséquent faible » mais quel connard, sachant qu'il n'y aucun mots pour qualifier l'incompétence de sa progéniture.

Il ne pourrait même pas vendre une bouteille d'eau en pleine canicule dans le desert.

En y repensant, cette époque pas si lointaine me manque énormément, rabaisser cet imbécile et son père était mon petit plaisir coupable. Je me rappelle son air hautain horriblement risible. Les nerfs me montent aux joue, rien qu'en y repensant.

Paris me manque aussi, en parlant de cette dernière le marché du shit est idéal, les français sont les premiers consommateurs de cannabis en Europe sachant que c'est illégale. Le cannabis se vendait tout seul.

Faut pas oublier que Paris est une ville microscopique comparais à New-York, les enjeux ne sont pas les même, je crains de ne pas être à la hauteur. Que ça soit trop dangereux, mon père n'est plus la pour m'aider si jamais, je bûche sur un obstacle.

Aucun retour en arrière est envisageable à cette heure-ci. La rencontre doit avoir lui se soir à 22 H. Les messages sont déjà prés-enregistrer pour être envoyé à 20 H précise. J'ai donné le lieu de rendez-vous en avance pour qu'ils puissent faire un repérage des lieux ; j'ai posté mes lieutenants, de vrai mercenaire pour prendre des photos afin obtenir l'identité de tous les membres mafieux. Je veux tous savoir.

Habituellement, je travaille seul ou presque. À Paris j'avais juste deux collaborateurs occasionnelles.

La seconde s'appelle Nergis, elle revendait pour moi dans les lycées privés les plus prestigieuses et coûteux de Paris quand les étudiants avaient besoin de drogue à la dernière minute. C'est une excellente élève du lycée Sainte-Ursule Louise de Bettignies, donc personne ne pouvait la soupçonné.

Le premier m'a suivie à New-York, Louis mon partenaire de crime, je connais tout de lui (c'est le cas de le dire) ; il est plus vieux que moi juste de 2 ans, cependant il paraît beaucoup plus âgé.

SPICY HOUSE (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant