chapitre 6

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Moi: Ah bon? Je m'étais rapproché d'elle à telle point que je pouvait sentir son parfum mélangé à l'alcool. Je fesait une tête de plus qu'elle, elle dut donc levait la tête pour me faire face.

Kaina: oui.

Ont resta comme sa pendant un bon moment, jusqu'à que je tentais une approche. Je pris mon courage à deux mains et fit glisser ma main sur son bras. Aucune réaction. Je décida d'y aller un peu plus loin. Ma main se déplaçait sur son bassin avant de remonter jusqu'à sa joue rosé.

Kaina: je..je sais ce que tu veux, mais se n'est pas raisonnable.

Moi: mais tu le veux.

Elle avait rougis et baissée la tête mais je décida le contraire en lui releva le menton avant de l'embrasser.

Pvd kaina

Il releva ma tête avant de déposer le baisser que j'attendais tant. Wow, j'étais pas prête en vrai. Je finis par adhérer à son baiser et me laissant emporter par celui-ci. Il embrassait divinement bien, certainement dû à ses anciennes conquête. Le baisser devint tout d'un coup plus profond. Manquant d'air je me retiras à contre coeur. Il profita de ce moment pour me plaquer contre un mur avant de me re-embrasser. Ses main glissait un peu partout mais elle se stoppa sur mon postérieur pour me porter, mes jambes entoura son bassin, et mes bras son cou, pendant que mes main jouaient avec ses cheveux.
Après mettre accroché à lui il fit des va et vien entre mon bassin est sentit une bosse entre ses jambes.
Un peu après il me déplaça sur son lit ou il enleva son tee-shirt et le mien et s'arrêta un instant pour admirer ma poitrine avant de foncer dedans.
J'en profita pour lui retirer son pantalon. Il retira sa tête de ma poitrine pour m'enlever mon pantalon et mon sous-vêtements. À ce moment la j'étais gêne de me retrouvais juste en soutif devant lui malgré l'alcool que j'avais ingurgité même si elle me détendaits un peu. Perdu dans mes pensées, pendant cette instant il en profita pour mettre le préservatifs, mais ou il trouve tout sa bordel, Tarik me ramena à la réalité en mettant son engin en moi. Surprise, je lâcha un petit crie. Il commença ses va et vient et m'envoya de plus en plus au septième ciel jusqu'à y arriver.
Putains depuis le temps, c'était tellement bon.
Je l'embrassa et il me le rendit tout autant avant de se poser juste à côté de moi. Fatigué, je m'endormit sur son épaule.

Je me réveilla à 4h a cause de mon mal de tête, alors que lui dormais encore. Je m'assis sur le rebord du lit pour retrouvais mon équilibre. Je voulus me lever mais sa main tiré la mienne comme pour dire de me replacer. J'hésitais un instant avant de me dire que d'ici quelque jour je ne le verrais plus. Je sortis donc du lit et me mit en pyjama et m'endormit dans mon lit comme un bébé.
Je me rereivella sous les coups de mon mal de tête. Oh la vache, que sa fait mal. Merde, il c'est passé quoi hier.
Oh la la, je ne m'en rappelle plus, sa craint. Après un bon moment je décida de me lever pour déjeuner.
Tarik était déjà parti, c'était bien son genre.
Arrivé à la cafet, je l'aperçu, à la même table que d'habitude, à la même place.
Je le rejoignis et m'assit.

Moi: salut. Ça va?

Tarik: oui, dit tu te souviens de hier?

Moi: euh... je me souviens juste qu'on était monté dans la cellule est puis trou noir. Pourquoi?

Tarik: non comme sa.

Moi: ok, à au fait, je suis désolé d'avoir prit ta bouteille.

Tarik: tranquille, ne t'en fait pas pour ça.

Moi: tes sûr? Il le confirma d'un ochement de tête.

Je remarquais qu'il évitait à tout pris mon regard, comme un gosse, comme s'il il avait fait une grosse bêtise.

Moi: bon Tarik, me prend pas pour une conne, y a quoi?

Tarik: tu ne te souviens vraiment pas de hier?

Moi: putain non, je viens de te le dire. Sourd ou quoi ce mec.

Tarik: parce ce qu'on a couché ensemble. C'est bon, je peux bouffer maintenant?

Moi:... je ... euh.... je suis désolée. Pourquoi je suis désolé moi? Bien évidemment que j'étais choquée par ce qu'il avait fait. Il m'avait utilisée pendant que j'étais bourré pour se vider.

Je me lève sans avoir touchée mon plateau est partis sur le chemins de la salle de sport qui se trouvais dehors.

J'allais pour me changer mais je ne trouvais pas mon second gant de boxe. Oh non, pitié, ou est ce qu'il est passait? Je me dirigeais vers l'autre salle pour voir si je ne l'avais pas oubliée mais quelqu'un m'interpella.

?: je crois que c'est cela les tiens.

Moi: oui.

Quand je m'étais retourné c'était un grand blond au yeux bleu. Toute fille normal aurait craquait mais pas moi, pas mon style.

?: eh ben, sa n'a pas l'air d'aller.

Moi: comment tu sais? Di-je sur un ton ironique.

? : sa se voit à ta tête de déterrée.

Moi: merci, sa fait toujours plaisir.

?: oh ne le prend pas comme sa, c'était pour rire.

Moi: Ouah très drôle ta blague. Bon,tu veux quoi? Il commençe sérieusement à me chauffe lui.

?: rien.

Moi: bah alors. Tiens regarde là-bas, je le dit tout en pointant du doigt une fille qui ne fesait que le mater, tu vois elle elle veut de toi. Cela fait, je te laisse à tes occupation.

?: alors toi t'es une marrante. La fille qui est regarde est ma colocataire de prison, et elle veut que l'on baise ensemble mais je ne le ferai que si je serai raide mort.

Son histoire me fit un peu penser à la mienne ce qui me donnait des frisons dans le dos. Je dois à tout pris me sortir de cette galère qui est ma vie.
Et celle ci aussi.

Moi: écoute jeune homme, tu vas bien fermer ta geule et m'écouter, plus jamais tu ne diras sa devant moi. Comme quoi cette fille, dont tu sais pertinemment ce qu'elle veut,que tu l'utilise contre elle. Capté?

Sa se voyait que je venais de briser son égaux en mille morceau mais là je ne suis pas d'humeur.

une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant