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Il y avait un peude complications hier, impossible de publier la partie complète alors je l'ai enlevé pour la republier aujourd'hui...

                                    

Faysal : c'est une blague n'est ce pas ?

Moi : ....

Faysal : Khalil parle a ta pote.

Khalil : tu veux que je lui dise quoi ?

Faysal : Dalayla ?

Moi : ....

Faysal : depuis hier je demande si t'es sérieuse mais t'es là, tu répond pas t'es posé là muette au calme !

Moi : ....

Elle parlait encore et encore mais je repondais pas. Ce qui s'est passé hier tourner en boucle dans ma tête. Farid a été ensorceler. Pendant tout ce temps , il n'agissait pas en son gré.

Je sais que je vais paraître folle en signant les papiers de divorce mais il n'a pas été ensorceler lorsqu'il épousait Ahlem. Il l'a aider à avoir la garde de son bébé en l'épousant et il ne m'a rien dit.

Avait-il peur ou ne me faisait-il pas assez confiance ? Je ne vais pas le lui pardonner si facilement. Alors le mieux serait que je finisse célibataire. Ce qu'on a vécu était trop dure pour moi. Il m'en a voulut lorsque Médina lui a parler de ce jour là avec Aymen alors que lui , il avait une autre femme.

J'ai pris les papiers et je les ai signés. Ça y est , on est divorcer maintenant.

Faysal : qu'est ce que t'a fais ?

Moi : j'ai signer les papiers.

Faysal : mais...

Moi : tu ne peux pas comprendre si tu ne te mets pas en ma place. Il a épousé Faysal et il me la cachait , tôt au tard la vérité allait être devoiler et c'est maintenant.

Je me suis levé et je suis partis la laissant seule avec Khalil.

PDV : FARID

J'ai ouvert mes yeux. J'ai sentis que j'étais sur un lit. Ma tête etait lourde comme une grosse brique. J'ai essayer de me lever.

?? : non non non reste coucher.

J'ai levé les yeux , c'était Dalayla.

Moi : Dalayla ?

Dalayla : oui couche toi. Tu as besoin de prendre des forces.

Moi : qu'est ce qui s'est passé ? Pourquoi j'ai mal partout ?

Dalayla : je te l'expliquerai plus tard...

Sans m'y attendre j'ai sentis un poids lourd sur mon corps....

PDV : IMEN

Il s'est rendormie.

Médina : il hallucine.

Moi : oui complètement. J'ai de la peine pour lui.

Médina : nous devons bien nous occuper de lui.

Moi : inshallah. Je vais lui acheter des medicaments parce qu'apparemment il a de la fievre.

Médina : vas-y. Je vais rester avec lui. 

Moi : merci. À plus.

PDV : FAYSAL

Je tournais en rond dans le salon. Elle avait signer et envoyer les papiers du divorce. C'est vrai que j'avais juger Farid depuis le début sans vraiment savoir tout ça.

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant