My life is just a story

|Attaque anonyme|

Aria Montgomery

Nous sortîmes quand 2 gars avec la cagoule nous interpelle il tente de mettre Noël a terre quand celui-ci lui met un coup de poing en pleine face le second me prend Arthur avec un couteau a la main.

— Ne tuez pas mon fils, je sais que c'est moi que vous voulez, je vais vous suivres.
— très bien.

Ils lâchèrent mon fils qui vient se blottirent dans mes bras en pleurant il faisait du mal a mon fils.

— Maman ne me quitte pas.
— Mon coeur je t'aime tu as été la meilleure chose qu'est arrivé dans ma vie je t'aime.

J'embrassa Noël et posa mon front contre le sien.

— Prend soin de mon fils rentré a Rose Wood vous serez en sureté je vous aimes.

Je partis dans la voiture noir accompagné des deux gars anonyme un m'aborda.

— Ont t'a prévenue de ne pas fuire nous te garderons séquestré pour évité que tu ne révèles des infos compromettante pour notre survie.
— Vous n'êtes qu'un connard vous ne portez même pas les couilles de vous montrez en vrai.

L'autre homme rigola en se moquant de lui, le gars retira son masque c'était un homme de 21 ans ténébreux les yeux azur les cheveux court grand il me fixait intensément.

— Ton père a ruiné notre vie.
— Je ne suis en rien dans les actions de mon père Ben autrefois j'étais là pour toi.
— Cela est du passé nous avons tout organisé avec Mona.
— Cette pute, tu tombe bien bas dans mon estime ben.
— Assez !
Il prit un couteau et me le mit en travers de la gorge je n'avais pas peur après tous qu'ils m'avaient infligés Ben me battait et me violait tous les jours, les anonymes tué des gens, quant je faisais une connerie et que je fuyais un proche a moi mourrait.
— Crois-tu que j'ai peur Ben tu m'en a tant infligé la mort est bien douce a mes yeux, tue moi si sa te chante, mais sache une chose tu empêchera a un garçon innocent d'avoir une mère il se retrouvera sans famille il sera orphelin.
— Crois-tu ?
— Ben tu es le père de cette enfant, quant tu as couché avec moi je suis tombé enceinte j'ai fais un déni de grossesse.
— Je suis papa.
— Oui Ben.
Il retira le couteau de sa gorge il avait cru a mon mensonge Ben appela les anonymes et me ramenèrent mon fils saint et sauve mais où était Noël ?
— Où est Noël ?
— Nous l'avons drogué et tué.

Je laissa une larme coulé de ma joue et serra mon fils dans mes bras, la première fois de ma vie que je pleurais a chaude larme mon fils tremblait en pleurant en même temps, Ben me leva et m'embrassa sur la bouche.
— A présent la famille est au complet, il prit mon fils dans ces bras.
— Comment vas-tu fiston ?
— Tu n'ai pas mon père. Cria-t-il.
— Je le suis demande a ta mère morveux.
— Oui Arthur c'est bien ton père.
Il me serra dans ces bras je venais de perdre l'homme que j'aimais l'un des seuls qui me comprenait.