j'avais passé ma semaine sans revoir cette fille , du moin entendre sa voix angelique . J'étais allé plus d'une fois dans sa salle de classe, mais je l'ai manqué à chaque fois . Elle occupait de plus en plus mes pensées , car bien qu'elle soit brillante, studieuse, sportive et jolie , elle restait incognito dans tout le collège . Ainsi avoir ces quelques informations n'était donc pas un paquet cadeau .
Quelques jours après .
Cette journée du 14 février portant communement le nom de "saint Valentin" était pour moi la plus spéciale de l'année , car juste en ce jour je recevais des cadeaux dépassant deux anniversaires successifs . Des cadeaux de la part de mes ex voulant redevenir "ma préférée", ceux de mes copines audacieuse qui flachent sur moi et me le montrent clairement , et surtout ceux de mes admiratrices !oui , celle-là qui se cachent derrière l'anonymat pour me déclarer leur flamme . J'espérais qu'elle en face partie .
Après cette journée exceptionnelle à laquelle on devrait attribuer le statut de férié , je décidais de marcher jusqu'à chez moi . Histoire pour moi de me détendre et profiter pour une fois de cette journée dédiée à l'amour .
J'admirais ce paysage que je n'avais pas l'occasion de remarquer dans la voiture , car trop occupé à manipuler mon téléphone . Le jardin public tout près du collège était tout bonnement décoré mais aussi, très saturé , plein de monde . Je regardais alors un de ces bancs publics , occupé d'une seule place , et dont l'autre ,sûrement réservée à un amoureux inexistant .
J'accommode ma vision à fin de savoir qui est cette fille , portant notre uniforme et plaquée par son copain .
C'est la petite de Première C .
Je me dirige vers elle , ferme ses yeux à l'aide de mes main et churchotte tendrement dans ses oreilles :
- salut beauté !
- Djems ???? Interrogea t-elle
- Non c'est moi , Henry ! Dis je en ôtant mes main de son visage . Alors Djems t'a plaqué ? Demandais je tout en prenant place sur le vide près d'elle .
- Non pas du tout et je t'ai pas permis de t'asseoir là Répondit-elle .
- C'est un banc public . Répliquais je . Alors dis moi qu'est ce que tu fais la ?
- Ça ne te regarde pas . Dit-elle en se levant .
Je me lève à mon tour et lui tiens la main . Elle se retourne
Et me fixe droit dans les yeux . Son regard menaçant et désintéressé provoquait en moi des pulsions , qui me demandaient de continuer .
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LE MEC EN OR
RomanceNous détenons tous une personnalité que nous affichons aux yeux du monde ! Mais que devenons nous quand nous n'avons plus les moyens pour continuer notre piètre mascarade ?