J'ouvris lentement les yeux, la lumière d'une blancheur éclatant me brûla la rétine, et je poussa un léger juron, sorti tout seul comme si de rien était. Je me relèva doucement en ignorant la douleur au crâne, au dos et un peu partout dans mon corp qui apparut sans prévenir, en même temps elle aller pas me dire "coucou, je suis la". Je m'assis sur le bord du lit, ce lit qui de toute évidence n'était pas le mien et beaucoup moins confortable. L'environnement m'étais complètement étrangé, je me mis à observer les alentours en quête de réponses aux nombreuses interrogations que je me posais.
Tout était blanc autour de moi, du carrelage jusqu'au plafond. J'entendais des bips strident et désagréable qui ne cessaient pas leurs boucans, qui continuaient encore et encore d'émettre du son. Ces bruits étaient insupportable. Ils devaient venir de ces machines, la pièce était remplie de machines en tout genre. Il devrait refaire la déco, je connais une excellente décoratrice d'intérieur en devenir.
Ma tête tourné de plus en plus comme un vieux disque rayé que mon cher père écoute en boucle, genre du jean Jacques Goldman, enfin je n'est rien contre lui, c'était juste un exemple. Cela me fessait atrocement mal, mes pensées se mélangeaient entre elles, elles étaient comme un champ de bataille s'entretuant et se défiant où personne ne pourrait s'en sortir vivant ou bien gagner.
La porte vitrée s'ouvrit délicatement, une femme d'une quarantaine d'années je dirais avec les quelques rides que je pouvais apercevoir sur son visage, entra dans la minuscule salle où je me trouvais. Elle était blonde coiffée d'une queue de cheval basse, elle portait une tenue blanche composée d'une blouse et d'un pantalon large, elle était également chaussée de sabot rose fushia, pas des plus discrets ni des plus glamours mais chacun sa définition de la mode, nan j déconne ils sont vraiment hideux, qui met çaencore de nos jours, faute de goût assuré bref revenons en à nos moutons.
Elle me souria, un sourire qui se voulait agréable et chaleureux à la fois, un brin rassurant. Cette dame inspirait la confiance, je m'apprêtais à lui demander ce que je faisais là mais son doux regard bleu encerclé d'eye liner se porta derrière moi, elle ne me prêta pas la moindre attention.
Je resta figée, je ne comprenais point, j'étais la devant elle alors pourquoi s'efforçait telle de m'ignorer, je ne passais pas si inaperçu que sa quand même, je me senti un brin vexée. Elle verifia quelques choses dans la salle puis partie aussi vite qu'elle était venu.
... Suis je invisible ou inexistante à ce point la, un ptit bonjour n'a jamais tué quelqu'un tout de même.
Je me leva, ne supportant plus cette situation, et je me retrouva nez à nez avec un miroir à peine plus grand que moi. Mes cheveux brun étais coiffée délicatement de deux petites pinces plates qui ramenais mes deux mèches de devant en arrière. Je portais une robe blanche à manches longues et en dentelle, trop sage pour moi à mon humble avi, à mes pieds j'avais mes converse blanches. Je ne me souvenais pas être habillé comme sa hier, ni les jours d'avant, ma mémoire ne fonctionnait plus trop en faite , mes souvenirs étaient flous, très flous, trop flous.
J' effleura délicatement de mon index mon reflet quand un détail derrière moi me perturba et me fit me retourner plus vite que Lucky luck pour tirer. J'étais stupéfaite, je ne pouvais croire ce que je voyais de mes iris noisettes, une jeune femme branché à ces machines insupportables, était allongée sur le lit, le même lit ou quelques instants auparavant je me tenais assis. À ce sentiment un léger frisson me parcoura.
Le plus étrange était qu'elle me ressemblait en tout point, les mêmes cheveux coupés au carrés, le même visage assez fins, le même nez légèrement bossu, les mêmes yeux noisettes en amandes, le même corp frêle et petit, tout était pareil mis à part ses vêtements, elle était vêtu d'une blouse blanche à carreau bleu caractéristique des hôpitaux, cette fille on n'aurait vraiment dit...
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After You
Teen Fiction"Parce qu'il y'a eu un avant et un après toi, je t'aimerai toujours" Je suis morte ? Non Alors je suis en vie ? Non Je suis ou ? Pourquoi je peux voir mon corps inerte branché à des dizaines de machine émettant des bip insupportable et tout ça sur c...