-60-

217 28 5
                                    

PDV : FARID :

J'ai été bête encore une fois et je sais que cette fois ci , je ne pouvais plus rien faire. Je passe ma main sur mes cheveux puis sur mon visage. Mes yeux me piquaient.

Attend gros , tu vas vraiment chialer pour une meuf ?

Moi : c'est ma femme !

Elle veux plus de toi. Le mieux que tu dois faire c'est de l'oublier.

Moi : elle porte mon enfant.

Elle ne pourra pas t'empêcher de voir ton enfant ça tu le sais , alors arrête de te morfondre et pense aux millions que tu vas gagner.

J'ai tapé ma tête. J'allais devenir fou. J'ai allumer le moteur de ma voiture puis j'ai démarré. Je n'ai plus la force d'y retourner. Pourtant, tout aller bien tout à l'heure. Le baiser qu'on a échanger était plus que magistral , j'en avais le coeur reconstruit mais il a fallut que je sois con pour tout gâché.

(...)

Je me suis réveillé avec un mal de tête insupportable c'était juste horrible et j'étais de mauvaise humeur. Mais faut pas oublier que je dois travailler aujourd'hui , alors je me suis préparé très vite.

Lorsque je suis sortis de ma chambre j'ai aperçu Medina au loin , elle venait vers et je sais ce qui l'amène. Je voulais éviter qu'on me parle de la soirée d'hier mais je crois que c'est raté.

Médina : ne fuis pas le beau prince !

Moi : Médina s'il te plaît .

Médina : tu peux me dire ce qui t'a pris hier ?

Moi : non je veux pas en parler.

Médina : Farid.

Moi : promis on en reparle ce soir mais pas maintenant en plus je ne me sens pas bien.

Médina : d'accord. À ce soir et cherche quelque toi du médicament pour ta "fièvre"

Elle s'en vas. Ce qui me plaisait chez Médina était qu'elle était compréhensive. Je suis sortis sous le regard des autres. Arrivé jusqu'au garage , ma mère est apparut devant moi.

Maman : Farid tu vas au travail ?

Moi : oui mama !

Maman : tu peux me déposé ? Ou alors on se fait un petit déjeuner mere fils ? Ça fait tellement longtemps qu'on n'a pas parlé et je ne sais plus comment est ce que tu vas.

Moi : maman s'il te plaît je n'ai aucune envie de déjeuner avec toi je suis bourré de travailler aujourd'hui. Tu peux aussi demander au chauffeur de t'amener ? Je suis pressée.

Je m'approche d'elle et lui fais un bisous.

Moi : je t'aime.

Je monte dans ma voiture et démarre. J'allais vivre une journée de plus sans elle à mes côtés.

PDV : DALAYLA

J'ai pris une gorgée de mon jus de pomme et j'ai croqué mon petit gâteau.

Moi : jamais je n'aurais pensé qu'à 20ans je serais divorcé et enceinte.

Faysal : jamais je n'aurais cru que la fête se passera ainsi. 

Moi : encore cette histoire sur ta langue ?

Faysal : parce que tu crois que tu as bien fait ?

Moi : t'étais assise à côtés t'a tout entendue ! Il ne me respecte pas.

Faysal : tu le respecte ?

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant