Chapitre 17: Encore un abandon

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PDV LYRIA :

Ander...Ma mère...Jax...Toutes ces personnes ne méritaient pas de mourir et pourtant elles s'étaient sacrifié pour moi. Je ne pouvais pas abandonner, je devais me battre pour honorer leur mémoires ! Les morts ne pouvaient plus se battre mais moi j'étais encore bien en vie et je devais me battre pour les vivants. Le peuple avait besoin de retrouver sa reine ! La lame d'Emilio était prête à s'enfoncer dans mon cœur, mais avant se dernier me souffla à l'oreille :

Em: Ne t'en fais pas, je réserve le même sort à ta chère vagabonde...

Emilio se croyais malin de me narguer de la sorte, il se voyait déjà vainqueur avant même d'avoir donner le coup fatal. Mais j'étais venu ici pour l'empêcher de monter sur le trône, et je tenais bien faire de cette mission un succès. Emilio ne deviendrai pas officiellement le roi de Leah se soir ! Je gardais un petit poignard au niveau de la cuisse gauche, s'était le moment de l'utiliser. Je le lança dans la jambe droite de mon adversaire qui affaiblit baissa son épée, me laissant le temps de récupérer la mienne. Cela avait aussi permis à mes amis de reprendre le dessus sur les soldats qui s'étaient laissé distraire par mon action. Après avoir retiré le poignard de sa jambe, Emilio me lança un regard noir de rage.

Em: Non seulement je vais te tuer Lyria, mais je m'assurerais de faire pendre ta dépouille et ceux de tes petit copains sur les murs du palais pour que le peuple de Leah comprenne qu'on ne désobéit pas au roi et qu'il est suicidaire de vouloir le défier !
L: Se soir je vais reprendre mon trône et récupérer mon titre de reine. Plus personne ne mourra par ta main Emilio !

À terre, mon épée perdu, Emilio prêt à abaisser cette lame sur moi, je n'avais plus aucune échappatoire ! Je fixa mon ennemi, bien décidée à mourir dignement, quand une dague alla se figer dans le bras droit d'Emilio, lui faisant lâcher son épée

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À terre, mon épée perdu, Emilio prêt à abaisser cette lame sur moi, je n'avais plus aucune échappatoire ! Je fixa mon ennemi, bien décidée à mourir dignement, quand une dague alla se figer dans le bras droit d'Emilio, lui faisant lâcher son épée. Je tourna la tête derrière moi et vit le sourire d'Eretria, je compris instantanément que ma vagabonde venait encore une fois de me sauver la vie. Je ne perdis pas de temps pour récupérer mon épée mais alors que j'allais achevé Emilio d'autre soldat arrivèrent dans la salle du trône. Mes amis ne pourrait pas contenir autant de soldat, il fallait sonner la retraite !

L: ERETRIA, COGLINE, IL FAUT SE REPLIER !

Cela me déchirer le cœur de devoir abandonner le trône et ma couronne, je savait que je condamnais le peuple de Leah avec un roi comme Emilio mais la vie de mes amis était en jeu et je ne pouvais pas risquer que d'autre personne meurt pour moi. Je me fraya un chemin parmi les hordes de gardes, en tuant quelques un au passage, et parvint tant bien que mal à rejoindre mes amis au niveau des portes principales. Mes les gardes étaient déjà tous épée en main, prêt à faire un massacre...

E: On s'en sortira jamais, ils sont bien trop nombreux !
L: On peut se battre, tous ensemble on peut y arriver !
E: J'admire ton courage et ta positivité mon cœur mais même avec nos capacités de combat il n'y a aucune chance qu'on vienne à bout de cette armée.
C: En fait il y a bien un moyen...
L: Je t'écoute Cogline !
C: Quelqu'un doit rester ici pour faire diversion.
E: Je reste !
L: Hors de question ! C'est à cause de moi si on se retrouve dans cette situation alors c'est à moi de rester.
E: Je te laisse pas ici toute seule !
C: Stop ! Inutile de débattre sur le sujet, on sait très bien quel est la solution la plus logique.

Cogline baissa les yeux et je compris son idée...il voulait se sacrifier.

L: Non Cog...Je t'abandonnerai pas.
C: Tu ne m'abandonne pas Lyria, je fais le choix de me sacrifier pour ma reine.
L: Non ! Trop de gens sont mort par ma faute, cette fois je ne fuirais pas !

PDV ERETRIA :

Je savais que Lyria ne changerai pas d'avis, elle n'était pas du genre à abandonné ses amis. Alors en un regard Cogline et moi nous mîmes d'accord, il fallait que je l'a sorte d'ici de force.

C: Lyria, si tu meurt se soir alors Leah n'aura plus aucun espoir de salut. Tu es la reine légitime, le trône te reviens de droit, ne l'oublie jamais.
E: Lyria faut qu'on s'en aille maintenant !
L: Je ne partirais pas sans eux ! J'en ai marre d'être une lache, marre de fuir mes responsabilités, alors si je dois rendre mon dernier souffle se soir qu'il en soit ainsi !
C: Mes hommes et moi allons essayer de les retenir assez longtemps pour vous laisser le temps de fuir. Tu n'a besoin que d'une seul personne à tes côtés pour récupérer ton royaume Lyria, et cette personne c'est Eretria. Maintenant partez et ne vous arrêter surtout pas avant d'être sûr d'être en sécurité !
E: Cogline, t'as était le meilleur « père » dont on puisse rêver. Merci pour tout ce que tu as fait pour nous !
C: Ça était un grand honneur de croisé votre route les filles. Maintenant fuyez !

Et sans que Lyria est le temps de protester, je l'avais déjà tirer en dehors de la salle du trône. Je n'arrêtais pas de courir, ne lui lâchant pas la main, même si je sentais bien qu'elle avait du mal à suivre la cadence. Ma belle traînait mais je ne lâchais rien, pas tant que nous n'étions pas sur d'être en vie. Cogline et ses hommes s'étaient sacrifier, il était hors de question que se soit était en vain !

* * *

Je ne savais pas depuis combien de temps nous avions courut dans la forêt mais nous étions enfin parvenu à rejoindre le repère de Cogline. Les gardes d'Emilio ne connaissait pas cet emplacement alors nous ne risquions rien du moins pour cette nuit. Nous allions nous reposer et demain nous partirions car il était bien trop risqué de rester ici maintenant que nous étions sans défense. Mais si mes pensées étaient déjà projeter dans l'avenir, Lyria elle semblait bloquer sur le présent. J'essaya tout de même de lui prendre la main mais elle l'a retira d'un mouvement sec avant de me lancer :

L: JE TE HAIS ERETRIA !

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