Chapitre 18: Fragilisées

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PDV LYRIA :

J'avais la rage contre Eretria, à ce moment précis j'en oubliais même qu'elle était ma copine. J'étais dans un état second, seul ma colère dicter mes paroles.

E: Bébé je sais que t'es en colère et c'est normal mais si t'étais restai la bas tu serais-
L: MORTE ?! Et bien tout le monde se serait mieux porté sans la déception que je suis !
E: Et t'as pensé à ton peuple ? Qu'est-ce qu'il serait devenu si leur princesse et futur reine était morte ?!
L: Peut-être qu'après tout je devrais laisser la couronne à Emilio, lui sait agir comme un vrai roi.
E: Pourquoi ? Parce qu'il parle avec sa tête et non avec son cœur ?! J'ai longtemps agis comme ça aussi jusqu'à ce que le destin te mette sur ma route. Et maintenant que je laisse parler mes émotions, je me rend compte qu'avant j'étais une personne vide, sans âme. Tu as redonné un sens à ma vie Lyria, tu as rallumer une flamme que je pensais éteinte à jamais, je t'aime et je ne veux pas te perdre pour un stupide ex psychopathe.
L: Justement, c'est notre amour interdit qui a étais la cause de tous nos problèmes. J'ai déçu ma mère, je t'ai mis en danger, j'ai causé la mort de plusieurs personne, je suis un monstre Eretria ! Tu serais bien mieux sans moi...
E: Notre amour est la plus belle chose qui me soit arriver. Je sais que tu es blessé, que tu souffre mais ne laisse pas ta colère prendre le dessus. Aimer n'est pas une faiblesse, écouter tes sentiments n'est pas un tort, laisse moi t'aider...

Ma petite amie me tendi sa main et même si j'étais tentais de l'à prendre, en repensant à Cogline ma colère repris le dessus et m'empêcha de faiblir.

L: Si tu voulais vraiment m'aider, il fallait me laisser mourir à la place de Cogline.
E: Lyria...
L: LÂCHE MOI !

Je ne pouvais plus l'a voir, je ne voulais plus rester auprès d'elle, j'avais besoin d'être loins ! Je décida d'aller au seul endroit où je pouvais évacuer toute rage, la cour d'entraînement

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Je ne pouvais plus l'a voir, je ne voulais plus rester auprès d'elle, j'avais besoin d'être loins ! Je décida d'aller au seul endroit où je pouvais évacuer toute rage, la cour d'entraînement...

*Le soir même*

Concentrer sur les coups de poignard que je donnais au mannequins, j'avais perdu la notion du temps, si bien que la nuit était déjà tombé sur le terrain d'entraînement. J'étais exténuer, mais pas dans le sens de fatiguer non, plutôt dans le sens de la délivrance. J'étais vide de toute émotions négatives ! Je décida de me diriger vers ma chambre, il était temps d'aller dormir et de laisser cette journée cauchemardesque de côté. Mais bien sûr, je partageais ma chambre avec Eretria, et c'est tout naturellement qu'elle avait déjà pris place dans notre lit. Se que je n'avais par contre pas expecter était que je retrouverais ma vagabonde en pleurs. Eretria avait un bon fond, ma copine avait un coeur en or mais si elle avait une partit sensible, elle n'était pas du genre à pleurer car pour elle cela l'a rendait faible.

L: Eretria ?
E: Lyria ?!

A la vision de ma petite amie les yeux rouges, les larmes inondant son visage déformé par la tristesse, je me radoucis. J'étais la fautive de son état lamentable, c'était mes paroles et mon comportement qui lui avait causé cette peine qui l'à détruisait intérieurement. Il était temps que je mette cette rancune qui n'avait pas lieu d'être de côté et que je réconforte ma copine ! Je me glissa dans le lit et je sentis Eretria commencer à se lever...

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