South River

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- Tu pourras partir dans 20 minutes Alex, aide-moi seulement à ranger le tout, j'ai un souper ce soir, je n'est pas envie de rester ici jusqu'à 21h.

- Okay Pierre, tu n'a pas oublier que j'ai pris vacances les deux prochaines semaines hein?

- Ah oui, c'est vrai, tu repars encore à la plage, tu veux bien m'expliquer pourquoi tu y retourne chaque année?

- C'est plutôt notre coin familial de vacance, disons que on s'y sens chez nous.

- Mouais, va y, je vais ranger tout seul, mais Alex, commence à revenir sur terre mon grand, c'est fini ce temps là.

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Orlando, un endroit sur terre où le soleil défonce ta porte à chaque matin, dire que plus haut en Amérique, il fait -15° ce temps-ci de l'année, mais, j'était bien, longtemps mon père me disais « Mieux vaut être plus proche de la mer, que d'être pris au froid avec ta mère! »

Le temps était parfait, les nuages d'une couleur de neige qui cachait le soleil permettait à mon corps, brûlé par les coups de soleils incessants que mes épaules avais collectionné, de se laisser découvert. Mais la chaleur restais parfaite, les camisoles était la bien venu, mais, certaine personne pouvaient sortir leurs cotons dans la rue sans avoir peur de se faire regarder d'une façon dérangeante. Du côté des filles, plusieurs en profitais pour défilé leurs nouvelle garde robe de soutien-gorge, certains discrets et d'autre dont la matière biologique ne devait pas dépassé les 40%. Ici, les étés était très chaud, il n'étais pas rare d'apercevoir à la météo une augmentation de 20° en seulement deux semaines, les ruisseaux pouvaient presque s'éteindre, et les feux devaient être pris aux sérieux. Ce qui permet à mon père de souvent me rendre rouge en me lâchant un, « Alex, c'est le temps de sortir à la chasse! Les filles laisse leurs soutif chez eux!! ». Les touristes étaient plus souvent nos voisins que de personnes qui parlais la même langue que nous, certains trouve ça dérangeant, mais Pierre m'a souvent répéter que c'était probablement ce qui permettait à notre économie d'être si puissante. J'y crois moi.

Chaque année, mes parents et moi partons à South River, une plage pas trop loins d'ici, certains partes au Brésil ou encore au Canada pour leurs vacances, mais nous, on aimes rester pas trop loins, garder le cap sur la maison. South River est à peut près à 1 heure et demi à vélo de la maison, je le sais car depuis 3 ans, je rejoins directement mes parents là bas, car je penses que j'ai atteint l'âge de la liberté et j'aime regarder les palmiers qui m'accompagne lors de mon trajet.

Le site était assez vaste, plusieurs parcelle de roulotte étais à loués, et plusieurs tantes était laissés à l'année longue. Mais nous, puisque nous sommes visiteurs depuis pas mal de temps, le propriétaire de la plage nous donnes l'accès à un superbe chalet en bois de sapin qui se trouve à 4 minutes de marche seulement du plus beau coin de la plage, même si la distance entre nous et elle étais presque absente, nous devions nous lever tôt chaque matin pour pouvoir avoir la chance d'y profiter avant l'arriver dés touriste de masse.

Les vagues avait un calendrier, mon père en avais fabriqué un, basé sur toutes les années et tout les témoignages des voisins du chalet que mon père s'amusait à invité à souper. Les vagues était fortes en été, et modéré en hiver

D'ailleurs, c'est de cette façons que j'ai rencontrer l'amour, Kim, la fille de notre voisin il y a plusieurs années, a été ma copine durant a peut près deux mois, c'était ma première copine, bon, j'avais 10 ans dans ce temps, mais à la fin de notre séjour j'ai réussir à l'embrasser sur la bouche, mais contrairement au film d'amour que maman apprécie trop à mon goût, Kim et moi sommes partis a rire après ce rapprochement physique, la relation a pris fin quand j'ai appeler Kim en FaceTime pour lui expliquer que j'aimerai plutôt rester ami plus que copain, elle avais l'air d'accord, honnêtement, elle étais entrain de dessiner lorsque je lui est avouer mes sentiments, donc je ne sais même pas si l'information est passé, elle a dit « D'acc! »

J'adore la mer, une étendu d'eau destinée à garder les secret de 70% de la planète terre encore ternes. Ce coté fascinant de ce dire que nous sommes entrain de faire la course à l'espace pour Mars, alors que nous n'avons aucune idée de ce que notre planète contient réellement. Qui sais, peut être qu'un énorme Kraken ou requin de 20,000 tonnes habite le fond de nos océans, et que nous en avons aucunes preuves ni idées de leurs existence.

En prenant mon vélo, j'ai activé ma fameuse PlayList de vacance, j'ai ajouté des musiques à celle-ci à chaque retour de vacances, j'essaie de faire refléter le plaisir ou les sentiments que l'année m'a procurer, cependant, mon père a remarqué que j'ajoutais des chansons plutôt triste depuis 3-4 ans, et me demande souvent si les vacances me conviennent toujours, pourtant, je trouve que les chansons que j'y ai ajouté sont plutôt joyeuse, et reflète bien la réalité de la vie, mais bon, mon père met le tout sur le dos de l'adolescence, ce que je trouve trop facile, sérieusement les parents, faut arrêter de tout mettre sur le dos de « l'adolescence » trouver vous d'autre excuses!!

Le vent soufflais dans mes cheveux, et les palmiers étaient présent tout comme les années précédentes. Mes écouteurs me transportais sur mon vélo comme dans une bulle, les paroles des chansons qui me rappelais exactement certaine situation de chaque année, de beaux souvenirs.

Et j'avais une impression, drôle, qui chatouillais mon estomac, que les vacances de cette année allais, spécialement être remplis de surprises.

Durant les minutes qui passais, sur ma route à vélo, plusieurs choses passais dans ma tête, j'avais hâte de voir mes parents.

Je pouvais déjà sentir les soupes de maman, et l'entendre me dire que je dois mettre de l'aloès sur mes épaules brûlés.

Et finalement, toutes ces chansons et ces pensés mon apporter à mon point B.

South River!

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Les vagues de South RiverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant