Écoute moi bien. Je ne le dirais sûrement plus. Dévore mon première Adieu. Et cette simplicité dans ce qui font les douleurs. Les faiseurs de rêve me masque de cauchemar. Cette envie qui se répand dans esprit. Et ces mœurs qui ce mourront, bien loin du on. De ce nous désuète. Plus aucun sensation ne peut prendre place. Cette haine et cette tristesse, tout est remplie par cette envie. Chaque pas m'éloigne de ses amours qui ont envie l'adolescence de leurs noirceurs. Et l'espoir, ce qui combat cette dépression. Un gouffre qui semble se comblé. Cette envie a comme un goût. Les pas noirs, rien ne reste. Comme ce relevant et s'éloignant du gouffre. Plus jamais d'adieu. J'ai beau me battre pour garder cette peine qui ma faite, elle se désagrège sans que je ne puisse lutter. Et ce reflet qui me regarde avec ce sourire que je ne porte plus. Cette inconnue qui me ressemble tant. Ses voix qui se disputent. Qui se tirent. Qui se battent. Elles qui luttent l'une contre l'autre mais ensemble contre cette envie. Ensemble contre le salut. Perdue au milieu, à la merci de celle qui veut. De celle qui peut, je décompte. L'envie qui me sauve de cette peine qui m'a construite, de la tristesse qui ma drapé, de cette colère qui ma tenu en vie, résiste au voix. L'envie a une voix douce et un sourir enjôleur. Elle est brisée mais rayonnante. Et chaque seconde passé dans ce feu incessant ma fait recompter les secondes. Chaque seconde, chaque coeur brisé. Chaque lame. Mais elle est la et me redonne intérieurement le sourire. C'est comme un soleil. C'est comme une douce chanson. Et quand je perd ma voix, elle chante pour moi. Tout ce qu'elle me demande en retour, c'est un sourire. Elle veut juste m'ont sourire. Et pour faire taire les autres voix je serais heureuse de lui offrir. Je passe alors dans une lumière qui enveloppe tout les sens. Plus rien ne compte.
Je ne peux plus vous offrir mon sourir, elle l'as pris. Je ne peux plus vous offrir ma vie, car elle l'a désire. Mes voix ne m'ont jamais cru quand je leur ai dis qu'elle viendrait. Et nous voilà toute les trois dans ce corps qui a ca propre volonté. Si je me lève maintenant, si je m'éloigne de ce précipice qui était ma vie, c'est pour m'approcher de la fin. Une fin qui n'as pas de forme. Et cette haine que j'ai haï, je la regrette. Et ce reflets que j'ai observé avec tant d'attention n'est plus le mien. Quand ma tristesse me quitte, quand ce vide me quitte. Quand mon cœur ce fait remplir par cette putain d'envie, quand je dois me faire plus de mal pour résister. Quand les choses qui m'apporte ma joie, sont comme une arme à double tranchant. Chacun des vos mots m'écorche. Je ne sais pas combien de temps les voix lutteront. Celles qui m'ont ruiné, seront les seules qui pourront me sauver sans ce brûlé les ailes. Tous ce qui me touche, s'expose à une blessure certaine. Elle déborde de mes propos, ce poison. Ce besoin de faire mal comme je souffre. Ce besoin de vous protéger de moi. Autodestruction. Comme engloutissant des flots de rage. Les vagues brûlantes me submergeant. Incontestablement pourrie. Et ce reflet qui me fixe, le sourire aux lèvres, ce cauchemar, ce temps qui ne passe plus malgré toutes ses secondes compté. Et ce poids qui tombe sur mon âme. Ce combat dont je suis lasse. Trimballer dans mon propre esprit. Tout ces masques, c'est fini. Je suis lasse. J'ai lutté contre cette peine qui m'envahit depuis si longtemps. Je me suis battu avec ma patiente, maintenant je me bat avec ma peine contre la continuité de mon état. J'aimerais pouvoir abandonné simplement. Mais elles me poussent celle qui m'ont fait sombrer ne veulent pas me voir partir.
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36 pieds sous toi
PoetryPetit recueil de prose remplie de fautes d'orthographes car tous ces textes sont écrit tard la nuit. Et que je suis dyslexique aussi. Veuillez m'excuser.