On courait sous la pluie comme des enfants, un courts instant on était redevenu insouciant notre relation comme un père qui aime son enfant, je te lâcherai jamais juste pour tes beaux yeux océans. On a grandi mais on court encore dans ce stade, on glisse on rit, on va se blesser mais tant pis, on continuera de rigoler, tant d'année gâché la faute d'un parents peu aimant ? Où la mienne celle d'un grand frère peu présent ? Aujourd'hui je ne te lâcherai plus jamais même toi pensant au néant, les yeux brillant j'aime entendre le son de ta voix, il effleure calmement mes oreilles, tes cheveux bruns dans le vent je t'aime. La plus forte tu le sais et quand on était enfant on jouait du piano, on aurait pu y rester 100 ans, on surfait en sortant de chez nos grands parents, les cache cache à l'heure du soleil levant, tes premiers pas ou j'étais le seul présent. Je prendrai soin de toi, qu'importe si ta majorité est imminente, je ne te lâcherai pas.
Pas aussi facilement.