Quelques mots

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* Je suis partie de rien, je vivais je ne savais même pas pourquoi, a vrai dire j'ai patienter pour me sentir vivre. J'étais la l'air inerte, je voyais le monde rouiller autour de moi je comprennais pas pourquoi, je voyais les gens avoir peur, le monde abîmé, je ne savais même pas à cause de quoi ou de qui, en même temps j'étais vide, je vivais à partir de rien, aucune base solide, pas de coeur, pas de sentiment.
* La première fois que j'ai senti mon coeur, j'ai eu tellement mal et là, j'ai commençé à comprendre que le monde allait mal. J'ai compris qu'il suffisait d'une balle pour ôter une vie et que sa vallait des blessures dans celui des autres. À ce moment là, j'ai senti cette boule de haine et de rage qui se cognait dans ma poitrine , elle bouillait putain j'avais mal. Et j'ai compris son utilité lorsqu'on a commençé à jouer avec, j'ai compris où les gens savait tirer pour la faire exploser. Alors comme faisait les autres, j'ai construis un mur de béton autour de cette boule pour ne rien ressentir, je me suis construit cette carapace difficile à briser. Intérieurement j'avais que de la haine, ce monde balaffré avait déteind sur moi, j'avais une rage intense, j'en voulais à tout le monde. Ce coeur ne rispirait plus il était étouffé et pris au piège..pour tout vous avouer sa me faisait mal aussi.
* Alors, j'ai compris que l'amour faisait du bien, j'ai commençé à le chercher, c'était ma plus grosse erreure de croire que l'amour d'un homme construit de toute pièce pouvait adoucir mon coeur, mais j'y ai cru, j'y ai plongé la tête la premiere, je lui ai donné mon coeur sur un plateau d'argent, sa marchait pas mal alors je l'ai fais pour tout le monde : amour, ami, famille. J'ai donné tous mes morcaux de coeur, j'en avais plus, je voulais tous les aimer putain, ce monde avait mal je voulais l'aider.. mais une fois sur mon geand nuage blanc et pur rempli d'amour, j'ai vue ce corbeau noir qui m'a tendu une lettre amère, fallait tirer le signal d'alarme. Tout sa m'avertissait d'un mauvais presage, mais je voulais croire en la douceur. Puis une montagne de peine et de douleur m'a ravagé le crâne, le ciel s'est ecroulé sur moi et m'a noirci l'âme. Le monde m'avait menti.
* Astou🖤🔥

      Astou🖤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant