Cauchemars ici présents

Cauchemars 1

J'me reveille, jprends ma douche, jprends l'bus en route pour l'école, la routine quoi. Ctai une journée comme les autre j commençais en français avec ma prof la casse-couille. La journée allait normale et tout jusqu'à ce que j'recoive un appel qui me glaçais l'sang. C'est ma mère qui m'appelle. Elle m'dit rien. j'entend que sa voix qui semble apeuré et je compris tout de suite qu'il y a une situation grave qui arrive. Elle me demande de revenir a la maison, donc j'prends l'bus de ville et j'y vais. Pendant tout le chemin, des situations passant dans mes pensées me traumatisent. Je stress un peu, mais sa va .que pourrait il bien ce passer ,hein? En arrivant chez moi, j'ouvre la porte et ma mère me saute dans les bras. Elle se mets a pleurer, pleurer toutes les larmes de son corps. Je regarde derrière son épaule et je vois trois policiers. Ma mère me chuchote a l'oreiller : Désoler, Nala. Pardonne-moi, sil te plait, pardonne-moi. Il ne men faillait pas plus pour que je comprenne que j'allais me faire arrêter. Pourquoi? Je ne le sais pas encore. Les policiers me frappent contre la porte de la voiture et me mettent les menottes. J'me laisse faire, étant toujours aussi confuse par rapport à la situation. Durant tout le ride au poste de police, aucun mot n'est échangé. C'est lors de l'arrivée au poste que jdeviens bouleversée. On m'amène à la salle d'interrogatoire. Non, pas pour m'interroger ,mais plutôt pour me dire ce que j'ne sais toujours pas: la raison de mon arrestation.

L'interrogateur: Vous savez très bien pourquoi vous êtes ici, n'est-ce pas?

Moi: Non, monsieur je l'ignore. J'aimerais bien savoir, par contre.

Lui: Très bien, comme vous le savez, votre père a été assassiné il y a quelques jours. Aucune trace du tueur n'a été retrouver, alors pour cela bien jouer! Par contre, c'est grace a votre mère qu'on vous a trouver. Elle savait que si elle ne vous dénonçait pas, c'est elle qui serait en état d'arrestation. Nous cherchons encore des preuve pour finaliser votre "case" et puis, nous pourrons vous arrêter. Pour l'instant, vous êtes sur surveillance, jusqu'à ce que nous trouvions des preuves valides.

Moi: QUOI! Mon père est mort?? Jcomprends même pas! Comment?? Il était à New York pour son voyage de travail, non? Il revenait demain. Depuis quand est-il mort??

Lui: C'est assez les mensonges, on sait tous que tu l'a tuer avec une arme à feux.

Moi: QUOII j'ai jamais vue une arme a feux en vrai vie, comment est-ce meme possible?

Lui: Je ne crois rien a ton petit cirque, jeune fille. Retourne chez toi, pendant que tu peux encore.

[...]

Pendant qu'on me ramenais chez moi, cette pensée n'arrêtais pas de traverser mon cerveau. "Comment ma propre mère aurait-elle pu me faire ça? Et surtout, pourquoi?"