*VENGE🅰NCE FACE À L'🅰M🅾UR*
*ÉPISODE : 20*
*REPRENDRE DU SERVICE*
MAXIME
Je devais me rendre ce soir à la soirée organisée en l’honneur du président de la république, une soirée au cours de laquelle des agents de l’Etat honoraient le président. J’y vais seulement car je suis devenue une personne importante, le décès de ma femme m’a fait plus monter, ils ont voulus m’aider à surmonter cela.
Mais cela m’aide-t-il vraiment ? Je dois avouer que non Jamila me manque vraiment et je me rends compte que l’on apprécie le vrai bonheur que lorsqu’on l’a vraiment perdu et c’est mon cas actuellement.
J’ai beau sauté toute les femmes en passant par des sexy girls, des poufiasses, des raffinées (comme Neslie qui me manque vraiment, la seule à me faire oublier Jamila) ou des tapes à l’œil qui détestent en tout la seconde place (comme cette Julie), mais Jamila me manque vraiment, elle avait je ne sais quoi qui me fait prendre conscience que Neslie avait bien raison lorsqu’elle me parlait « de perle rare. »
J’arrivais à cette cérémonie et je saluais avec tous mes amis qui étaient assis juste derrière le couple présidentiel comme moi, on nous prendrait pour des personnes secondaires pourtant c’est nous qui faisons le pays et cet homme devant ainsi que sa femme sont juste des poulains pour nous.
On assista à cette cérémonie et je commençais à vraiment m’impatienter. Et puis je vis ainsi le couple Valls faire son entrée la femme et le mari. Neslie était vraiment plus sublime que dans mes souvenirs, il nous salua et ils s’asseyaient. Mais elle m’ignorait.
J’étais encore en train de boire ma boisson tout en souriant idiotement à la première dame qui me faisait de petits sourires que je ne comprenais pas, lorsque cet homme grand et noir s’approcha de moi en me tendant un petit papier.
« Retrouve moi au second étage à gauche. Neslie »
Je regardais en sa direction et je ne la vis pas, je souris et partit tout joyeux. J’entrais et la trouvais assisse là à me regarder.
Moi : (allant vers elle) comme tu m’as manqué chérie !
Elle : (souriant) moi aussi Max
Moi : (la serrant) embrasse-moi
Elle : (sérieuse) plus tard, je veux que l’on parle. (Se dégageant) Qu’est-ce qu’il a le président à refuser de nous donner la possibilité de puiser les ressources dans la partie Ouest du pays ?
Moi : (haussant les épaules) il veut apparemment privilégier certaines ressources du pays. Il ne veut tout leur donner
Elle : (me fixant) n’oublie pas que nous sommes dans le même camp donc dis plutôt qu’il ne veut nous donner. Max dis-moi que ferons nos parents soit analphabètes ou assoiffés de bureau avec toute ces richesses tertiaires ?
Moi : j’en sais rien Neslie, on peut laisser cela tu m’as tant manqué (me rapprochant plus d’elle)
Elle : (ton dur, mais gardant son sourire) non je veux que cela soit réglé et que cet homme se rappelle que même étant président il demeure notre poulain, on sacrifier assez de temps et assez de vies pour lui. Merde ! (énervé)
Moi : (essayant de la calmer) il a fait tout ce que nous lui avons demandé à la lettre, laissons-lui au moins cette partie de l’Ouest, peut-être qu’il y tient d’une manière ou d’une autre.
Elle : (sereine) quand on n’a des sentiments on ne devient pas président et ne signe pas avec le diable
Moi : Neslie ! (sachant bien ce que cette phrase voulait dire)