episode 38

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*VENGE🅰NCE FACE À L'🅰M🅾UR*

*ÉPISODE : 38*

*ENCORE D’AUTRES !*

MAXIME

Je viens de finir de parler à Jokéybed, je voulais que l’on passe assez de temps ensemble mais celle-ci disait avoir une migraine. Dommage je voulais que l’on passe la journée ensemble à parler des préparatifs de notre mariage. Ne pensez pas que je l’épouse juste pour son argent ou autre, non !

Je ressens un truc vraiment fort pour cette femme, son si beau visage et sa si belle peau. Oh et ce corps si bien mis. Je rêve chaque jour d’elle et moi ensemble, préparant notre avenir et ainsi que celui de nos enfants, son fils y compris.

Et avec une telle femme, c’est sûr que j’aurais un avenir prometteur dans la politique. Et tous ceux qui m’ont honni s’en mordrons les doigts.

Moi : (allant ouvrir) Neslie ?

Elle : (avec une belle tenue)  salut Max

Moi : mais que fais-tu ici ?

Elle : je peux rentrer ?

Moi : (me mettant sur l’autre côté)  oui, je m’apprêtais à aller dormir

Elle : (se servant un verre de jack) ok

Moi : (la regardant se mettre à l’aise) tu ne peux rester Neslie, dis-moi ce pour quoi tu es venue ?

Elle : (me regardant) tu me chasse ?

Moi : (la regardant)  je suis un futur marié et ma femme peut venir à tout moment

Elle : (automatiquement)  futur femme

Moi : qui serai dans peu la mienne

Elle : bêtise !

Moi : (me rapprochant d’elle)  je peux comprendre que tu m’en veuilles vu comment tu l’as appris, avec ton mari qui devient de plus en plus nerveux vaut mieux que je me mette à l’écart. Mais ne traite plus ma femme de bêtise.

Elle : (riant nerveusement)  c’est ton excuse ? La jalousie de mon mari ?

Moi : (me levant)  oui, j’ai plus peur pour toi que moi

Elle : peur pour moi ?

Moi : peur qu’il demande le divorce, tu l’aimes j’en suis sure

Elle : (buvant)  le mal est déjà fait.

Moi : écoute moi, je suis désolé Neslie. Mais je ne peux rester un éternel célibataire, la vie ou Dieu m’offre une chance de finir mes vieux jours avec une famille, je dois le faire. Ne vois pas cela comme un mal personnel. Je suis vieux et j’ai besoin d’une famille, d’un enfant.

Elle : (répétant)  le mal est déjà fait

Moi : je n’ai jamais voulu te faire mal, tu es marié donc tu m’oublieras  vite

Elle : (buvant)  mon mari a demandé le divorce, il me quitte car selon lui je t’aime plus que tout jusqu’à le désobéir. Il retourne et quitte notre maison, pour s’installer dans une autre, raison pour laquelle il a voyagé, pour l’aménagement de celle-ci.

Moi : (ahurit) oh Non ! Neslie je suis vraiment, vraiment désolé

Elle : mais ce n’est pas cela le plus pire, il prendra ma fille. Il me trouve instable et dangereuse pour elle. (Buvant tout d’un trait)  Il me la prendra

Moi : non, il ne peut te faire cela

Elle : si,  il le fera, tu ne connais pas Valls

Moi : c’est injuste, tu peux te battre aussi

la vengeance face à l'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant