Putain, ce que je peux détester ce mec ! Et c'est réciproque. On ne peut pas se voir en peinture, c'est viscéral. On n'a jamais pu, et je doute qu'on le puisse un jour.
Mais il y a eu cette fois là... Et depuis, je n'y peux rien, mais dès que je le vois, je n'ai qu'une envie, c'est de le plaquer contre un mur pour l'embrasser, lui arracher ses fringues et le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse.
Et encore ! Ça ne serai que de mon coté, j'arriverai à gérer... Mais en plus, ça aussi, c'est réciproque ! Aussi bien cette haine, que ce désir brûlant.
Flashback :
On était tous les deux invités à la même fête, comme souvent. Et, comme à chaque fois, on est resté chacun de son coté, et c'était très bien comme ça. A un moment, j'ai eu envie d'aller prendre l'air, histoire de respirer un peu, loin des vapeurs d'alcool, de la fumée des cigarettes et autres joints. Mais je n'étais pas dehors depuis cinq minutes, que j'ai eu envie de pisser... Et comme je n'avais vraiment pas envie de retourner tout de suite à l'intérieur, je suis allé me planquer derrière un arbre au fond du jardin pour me soulager. Comme la nuit était sombre et que la fête faisait un ramdam pas possible, qui devait certainement gêner les voisins, je ne l'ai ni vu ni entendu approcher.
_ Alors, Zack ? Tu vides ta vessie de gonzesse ? » a soudain fait sa voix de l'autre coté de l'arbre.
_ Vas te faire foutre, Félix ! » ai-je grogné en me rhabillant.
Et j'ai commencé à m'éloigner. Je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ce connard. J'étais là pour faire la fête. Mais, apparemment, lui, ne l'entendait pas de cette oreille...
_ Répète un peu ça ! » a-t-il grondé, se postant devant moi et m'attrapant par le col.
Je l'ai repoussé violemment, mais il m'a collé son poing dans le visage, et j'ai répliqué. On a échangé plusieurs coups, et aucun ne cherchait à épargner l'autre. J'ai fini par saisir sa chemise pour le cogner encore, mais il m'a donné un coup de tête, et je me suis effondré sous la douleur. Cependant, je n'ai pas lâché sa chemise pour autant, et je l'ai entraîné dans ma chute. C'est comme ça qu'on s'est retrouvé, moi couché sur le dos, lui couché sur moi, nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre. Et là, il y a un eu gros blanc. On s'est fixé un instant, on était comme des cons.
Puis ses lèvres se sont écrasées sur les miennes. Violemment. Mais, au lieu de le repousser, j'ai lâché sa chemise et j'ai enroulé mes bras autour de son cou ; mes mains se sont perdues dans ses cheveux sombres et ma bouche s'est ouverte pour laisser sa langue passer. C'était putain de bon !
Je l'ai senti commencer à bouger sur moi, frottant son entre-jambe sur ma cuisse, alors que sa jambe appuyait délicieusement sur mon sexe. J'ai commencé à durcir, alors qu'on continuait de s'embrasser sans la moindre douceur.
Une de mes mains a lâché sa nuque, et j'ai attrapé l'élastique de son leggings – faut dire que, gaulé comme il l'est, il peut se permettre de porter n'importe quoi ! – avant de le tirer vers le bas en embraquant son boxer. Il n'a rien dit, il s'est contenté de m'embrasser encore plus vivement, enfonçant sa langue plus loin dans ma bouche. C'est qu'il embrasse bien, ce con !
Mes doigts se sont rapidement perdus entre ses fesses lisses, et j'ai caressé son petit trou tout serré, ce qui lui a fait basculer le bassin vers l'arrière, comme s'il en voulait déjà plus.
Alors je l'ai retourné, j'ai arraché son leggings de ses jambes, je les ai placées sur mes épaules, et j'ai ouvert mon jeans pour sortir ma queue. Mon gland était déjà humide de precum, et je l'ai directement placé contre son trou. J'y ai frotté le bout de ma queue pour l'humidifier un peu. Tout ce temps, il haletait, autant essoufflé que moi de notre baiser, de notre excitation.
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Les Nouvelles Erotiques de mon Esprit Libertin
Short StoryJe crois que tout est dans le titre... Il y aura du BxB, du GxG, du BxG... Un peu de tout quoi... Mais c'est 100% lemon ! Je ne posterai pas régulièrement, mais je voulais vous faire partager tous ces écrits qui me traversent la tête mais qui ne von...