chapitre 12

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Arrive à la cellule je ferma la porte s'ouvrit violemment qu'un vers tomba par terre. Putainnnnn! Il est cassé maintenant. Sans le ramasser, je montais sur mon lit toute en balançant mes chaussures sur la porte.
Une dizaine de minutes passait, je décidas de fouiller dans mes affaires.
De plus j'avais apris que c'était sa dernière journée ici, mais il n'avait toujours pas fait son sac. Arrivé en bas, je marchais pieds nu sur un bout de verre.

Moi: AAAAAAH! Sa mère! Sa fait un mal de chien! Di-je tout en criant.

Après mettre poser sur le lit du bas je mis une seule chaussure pour éviter un autre accidents. Mon pieds me faisait extrêmement mal. J'etais obligé de marcher à cloche pieds ce qui faisait que, quand je sautais, une goutte de sang tombais derrière moi.

Je sautillais dans les couloirs des toilettes pour me désinfecter. Je pouvais aller à l'infirmerie mais lors de la première visite, je n'avais pas confiance a la propreté des ustensiles de médecine.
Enfin arrivée devant le lavabo, j'essaya vainement de poser mon pieds sur le lavabo. Me faisant plus mal qu'autre chose je décidas de choisir une position.
Je pris de papier pour le mouillez et le poser avec délicatesse sur ma blessure.
A chaque fois que je posais la papier mouillé sur ma blessure, un petit cris s'échapper de ma gorge. J'essayais de faire ça le plus délicatement possible et sans bruit car la dernière personne à s'être pleins d'un douleur physique, Mohez et sa clic en avait profiter pour l'envoi mettre à tabac. Si je devrais faire une métaphore, je dirais que la victime serais une vulgaire gazelle blessé à la patte qui, en voulant appelé à l'aide interpella les lions qui vinrent le dévorer sans moindre compassion.
Alors j'avais intérêt à passer inaperçu pendant quelque jours, surtout après lui avoir fait subir une telle humiliation lors de mon arrivé.
Toujours en train de soigner ma blessure j'entendis une voix d'homme. Elle se dirigeait vers les toillettes des hommes. J'avais l'impression d'avoir déjà entendu cette voix mais rien n'y fait, je ne la reconnaissait  pas. Il était en train de chanter "ce rêve bleu" de Aladin. J'en avait déduis qu'il était seule et plus trop crédible aussi.
Après avoir réussi à trouver une position à peu près stable, je commenca à extirper le morceau de verre. Ça me faisait un mal de chien mais je en pouvais pas le gardais, il était trop gros.
Je ne devais surtout pas crier ou autre. Ce qui fut difficile vu dans les circonstances dans lesquelles j'étais.
Des larmes commençait a couler. Pas forcément à cause de la douleur mais à cause de l'oppression que me procurait ma prison.
Le morceau retirait, je le jeta violemment par terre.
J'etait restée assis par terre pendant je ne sais combien de temps en tout cas assez pour que la douleur se dissipe.
Mon pieds continuait de saigner ce qui était mauvais signe. Je perdais de mes réflexe à force de me vider de ce liquide rougeâtre. Pourtant il fallait que je retourne à la couchette qui se trouvait bien plus loin.
Je réussis à m'accrocher au lavabos pour me lever. Seule mes bras fonctionnaient encore mais c'était pas assez pour soulever mon corps qui dans de conditions normalement aurais réussi à s'élever. Mais la perte de sang suffit à me mettre à plat.
Pourtant prise d'une force venant de nulle part, je réussis à me levais. Je m'arrêtais net devant le miroir et mobservais un instant. Mon teint était vite devenu très pâle ce qui marquait encore plus mes cernes. Mes cheveux devenait de plus en plus terne et déshydratées mais je ne pouvais rien faire. J'avancais de plus en plus vite sentant mon instinct s'accentuer dans mon ventre.
Sortis des toilettes, je commenca à me tenir sur les murs en espérant que ceux-ci puissent m'aider mais trop tard. Ils sont .
Mohez et deux autres de ses suceurs.
Ils ne m'aperçurent que quelque seconde après moi qui essayais de trouver une issu à cette rencontre.

Mohez: tiens donc, qui voilà? Notre victime préférée.

Moi: de quoi tu parle? On c'est vu une  fois et c'est moi qui t'es victimiser alors je te prie de la fermer.

Suceurs de gauche: alors c'est cette fille qui vous a battu?Dit-il plein de dégoût en me regardant.

Mohez ne répondit rien.

Moi: déjà "cette fille" à un nom et c'est kaina. Et d'où tu le vouvoie?

Suceurs de gauche: parce que contrairement à toi je respect les gens. T'es parents ne te l'on jamais appris? Il le dit si fièrement que sa faisait pitier.

Okay lui il vas crevé. Jamais parler de mes parents. D'ailleurs je n'ai toujours pas eu de nouvelle d'eux.

Moi: tes sérieux de t'attaquer sur les parents des autres? C'est lâche et puéril.

Suceurs de gauche: eh tu vas faire quoi?

Moi: te défoncer la gueule. C'est pas ce que je voulais dire.
Mais c'est sorti tout seule.
De base je voulais continuer à perdre du temps.
Jamais je n'arriverais à le m'être à  terre dans l'état où je suis.

Moi:ton nom?

?: jack. Pourquoi?

Moi: pour savoir qu'elle nom je devrais marqué sur ta tombe. Dis-je le sourire au lèvre.

On ne perd pas les vielles habitude.
Je parvena à tenir debout
malgré la douleur de mon hémorragie.
Jack s'avança vers moi mais une main le retint d'avançait. C'était Mohez.

Mohez: non, elle est à moi.

Pardon?! Alors là je ne suis oas d'accord. Avec le maigrichon il y avait moyen de s'en sortir à peu près vivante mais Mohez il me tuera des qu'il en aura l'occasion.

Moi: non, pas toi l'autre.

Mohez: tes pas en position de négocier donc ferme la.

Il avait raison, j'avais bien trop abusée.

Il s'était positionner plus près de moi pour éviter que je puisse m'enfuir.
J'étais coincer et j'allais prendre cher.
C'est karma comme on dit mais là il y était allé vraiment fort.

Je m'étais aussi mis dans une position de défense au lieu d'attaque ce qui marquait ma perte de confiance.

Je le voyais bouger dans tous les sens qui contrairement à moi attaqua en premier. Son coups de poings m'atteints de plein fouet ce qui me fit tomber.



une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant