Âmes opposés

INCIPIT 🉐

Avertissement : Cette histoire pourra contenir des propos, des extraits, ou des images choquantes. Les âmes sensibles s'abstiennent, et seules les critiques constructives sont acceptées. C'est une histoire qui dénonce, et qui ne fait pas du tout la publicité de tous les sujets graves que je vais aborder. A lire avec du recul. Bonne lecture les girls.

K I M B E R L E Y
______________________

Je me retrouve face à lui, celui qui devait être l'homme qui me défendrai pour tout et n'importe quoi.

Il pointa son arme sur moi, et rigolais en même temps, on aurait dit qu'il était sadique.

**** - Tu sais, je ne voulais pas que sa se passe comme sa .

- *pleure* Tu fais quoi la *** ? LACHE SA, JE T'EN SUPPLIE ET APPELLE UNE AMBULANCE, CHAHÏNE VA MOURRIR !!!

Je dérive mon regard vers la voiture qui partait en fumait, Chahïne s'y trouvait encore.

**** - REGARDE MOI !!!!

Je tourne mon regarde vers lui, j'étais terrifié.

- Aide le a sortir de la voiture, je t'en supplie.

**** - *rire* Tu crois que si j'ai fais tout ça , c'est pour que Chahïne puisse vivre *rire* Tu est bien naïve Kimberley.

- *pleure* POURQUOI TU FAIS TOUS CÉLÀ ALORS ?!!!

**** - Je t'ai toujours détester, tu avais la vie parfaite, TOUT LE MONDE T'AIME. Tu étais le bonne petite fille parfait et il fallait faire comme toi. Tu vivais ta meilleur vie, tu a trouver l'amour, tu a un fils pendant que moi je n'ai rien, personne ne m'aime.

Moi ? J'étais outré par tout ce qu'il me disais, je n'ai jamais pensais qu'il serait capable de me faire sa. Je ne savais pas qu'il pensais tout sa de moi.

- Tu...tu...

*** - TG ! Je prendrais ta vie, tu entends ! Je prendrais ta vie ! *rire* Mais pour cela il faut que tu meurt.

Il pointa son arme vers mon coeur puis appuya sur la gâchette.

La balle traversa mon corps et sortis par mon dos, je m'écroula au sol et cria de douleur.

Je vis Chahïne sortir de la voiture qui était en feux, et se précipita vers **** , il lui tira une balle en plein dans le torse.

Je me sentais mourir , je me sentais partir . Rien que par mes forces physiques , je ne pouvais bouger aucuns membres. Aucun.

Chahïne lâcha son arme, et s'approcha de moi en commençant à me secouer, en criant des choses floues que je n'arrivais plus à comprendre. Ma vue aussi commençait peu à peu à devenir floue.

J'ai regardé Chahïne droit dans les yeux, puis je lui ai dit, difficilement, avec cette grosse douleur au torse qui commençait à perdre la vie.