le prix de l'amour

ma fiction

Alicia passa l’immense porte en fer menant au couloir principal, ces pas résonnaient dans cet  espace vide et les échos rebondissaient  sur les murs en pierres. Elle se perdait littéralement dans ces pensées, tellement qu’elle n’entendit pas tout de suite qu’elle était suivis. Elle se retourna avec élégance sans s’arrêter de marcher, et elle le vis, Liam. En deux jours, il avait de nouveau bouleversé sa vie, comme un fantôme revenant à la vie mais ce n’était pas un fantôme, c’était juste un revenant de son passé, un passé qu’elle avait oublié et renié à la mort de sa famille.

-Je dois te parler, tu mérite des explications. Lui dit-il en accélérant le pas à fin de se trouver juste derrière elle.

 Mais elle ne lui adressa rien pas même un regard, elle continua sa route avec la plus grande indifférence à  son égard. Chaque parole sortant de la bouche de Liam lui fessait l’effet d’un poignard. Lors de son retour dans sa vie, croyant tellement  à une illusion, Alicia lui avais apporté tout l’amour qu’une femme puisse donner. Mais son réveil fut brutal et la douleur de toutes ces années revenues la frapper en plein cœur. Liam souffla bruyamment devant le changement de d’attitude de sa dame qui ne lui adressa aucun geste depuis son réveil.

-Quand vas-tu recommencer à me parler ? Sur ton lit de mort quand tu expliqueras tes regrets ? QUAND ? Tu dois bien dire quelque chose ! cria-t-il à plein poumons.

Sur ceux, elle s’arrêta sur le champ et se tourna pour lui faire face.

-tu ne m’as donné aucune nouvelle, aucun signe de vie. A quoi tu pensais, tu pensais que j’allais t’oublier et que au moment ou je serais heureuse se serais parfait pour apprendre que tu avais survécu, et que tu étais juste partis. Juste … qu’est ce que tu t’étais imaginé. Dit-elle dans un sanglot qu’elle essaya d’étouffé.

Liam pris une grande inspiration, il devais trouver les juste pour apaiser cet femme qu’il aimé mais la colère que Liam lisait dans ses yeux ne lui donna aucun courage.

-je suis désolé, je ne savais pas si survivrai ou si même je pourrais revenir, j’ignorais tellement de chose. Bafouilla dit-il.

-je t’ai détesté après ton départ. Explosa-t-elle devant lui.

-je ne voulais que ton bonheur…

-je t’ai HAIS ! Mais ensuite, j’ai réfléchis et je me suis rendu compte à quel point tu m’aimais et à qu’elle point ça à été dur pour toi. Et j’ai pensé, c’est certainement la plus belle preuve d’amour qu’on puisse faire et certainement la plus belle façon d’être aimer. Mais toi, tu ne m’as pas donné de nouvelle pendant DEUX ANS. Et tu reviens après tous ça sans même un remord, ne n’est pas la façon dont un homme réagis quand il aime.

-j’essayais de te libérer.

-je n’ai pas besoin que tu me donne ma liberté. Je suis une femme forte. Je n’ai pas besoin que tu te fasses passer pour mort pour que j’arrive à avancer ou réussir à avenir sans toi.

-que je sois vivant ou mort ne change rien à ton  avenir, ne n’en fais pas parti. J’ai était destiné dés ma naissance à devoir m’a genouillé devant tout hommes disant être roi. Je change mon destin en me battant pour la liberté mais on a toujours su que toi  et moi nous n’aurions jamais le même avenir.

Ils se fixèrent de longue seconde sans un mot, juste à s’observer comme pour identifier un étranger, car c’st se qu’il était devenu. Des étrangers l’un pour l’autre chacun à terriblement changé pendant ces année séparer.

-tu ne comprends pas. Peu importe que je sois noble, riche ou que des hommes me convoitent. Quand je suis avec toi, je…je suis toujours cette petite fille qui voulait pouvoir ce défendre elle-même, celle qui aidais les domestique en cuisine malgré les interdictions de sa mère ou celle qui est tombé amoureuse du fils d’un fermier du village.

Elle prit une grande inspiration pour continuer, chaque moi lui brisais littéralement le cœur.

-tu es le premier garçon qui m’a fait me sentir aimer et forte et importante.

Tu es mon premier amour…et… je veux plus que tout, que tu restes le seul.

Cet phrase donna une vague d’espoir a Liam qui fit un pas en avant mais hélas elle fit un pas en arrière.

-mais je peux plus continuer, à rester assise là, à attendre que tu décides à revenir.

Elle fonda en larme et fit de gros effort pour ne pas sanglotais. Elle lui avait ouvert son cœur et elle s était exprimée sur ses sentiments. Liam ne bougea pas et aucune émotion ne trahissait son visage à la peau mate. Le discours d’Alicia venait de confirmer se qu’il redouté. S’il veut se venger, s’il veut participer à la rébellion ; il devra abandonner son amour pour elle. Cette idée lui déchira le cœur, ses yeux devinrent humides, et il préféra s’éloigner sans un mot, en se disant que plus il restera près d’elle, plus sa douleur augmentera. Alicia était connue dans tous le royaume pour sa beauté et  son esprit rebelle, un nombre incalculable l’avait abordé, des princes, des nobles, des serviteurs. Mais elle n’avait jamais céder a leur avances, restant à tout jamais fidèle à Liam, se rebellant face à sa mère qui souhaité un mariage. Parmi tous les hommes qui auraient pu lui offrir le monde, elle n’avait offert son cœur à un seul. Cet homme la connaissait mieux que sa propre mère et pourtant il était aveuglé par une chose que Alicia profère : la vengeance. Il a fallu qu’elle s’éprise d’un homme qui se laisser guidé seulement par la haine. Mais cette fois-ci elle ne le laisserait pas s’enfuir, il devra choisir, il devra choisir se qu’il doit abandonner, car il ne pourra avoir les deux. Il croyait qu’il pourrait revenir et qu’elle lui pardonnera mais rien n’était plus faux. Il était arrivait à la salle des banquets, déserte de la veille. Il ne cacha point sa surprise en voyant Alicia surgir derrière lui. Son visage n’était plus rempli de haine mais d’une immense  tristesse. Son visage souffrait de douleur.

-Reste, soit l’amour de ma vie, aime moi plus que tu ne les détestes.

Il le voulait. Il voulait vieillir avec elle dans une ferme isolé, s’occupé de leur enfant, avoir enfin une famille mais dés qu’il fermait les yeux, il voyait ces parents se faire tuer par des soldats et leur commandant tranché la gorge de sa sœur. Depuis ce jour il ne vivait que pour la haine. Il avait décidais qui ne pourrais être heureux tant que ces meurtriers vivrait. Il refusait de vivre dans le même monde qu’eux. Même si cet haine aller détruire son amour.

-je suis désolé Alicia, je ne peux pas faire ça. Dit-il avec un regret sincère mais à la fois un détermination de fer signifiant qu’il avait fait son choix.

Et il se retourna vers la sortis, ne voulant pas voire son visage, limite honte de se qu’il lui fessait subir. Il croyait certainement qu’elle l’attendra, qu’elle lui appartenait mais l’amour est indomptable et imprévisible celui qui ne le comprend pas se fait très vite surprendre par les événements.

-STOP, hurla-t-elle, Liam s’arrêta mais ne se retourna pas, toujours face à la porte. Ne t’avise pas de t’éloigner encore une fois de moi, pas comme ça. Car je le jure sur les anciens dieux, si tu fais encore un pas entre nous c’est fini…plus de surprise, plus de d’excuse, plus de chances ; se sera fini.

Cette phrase résonna dans Liam comme une vérité inévitable. Il devait choisir, il devait abandonner une de ses deux raison de vivre. Mais il avait déjà choisi, il était revenu auprès d’elle pour la revoir mais jamais il n’avait pensé à rester.                                                                               Et il avança son pied et le posa sur le sol sans pouvoir retenir un raclement douloureux de sa gorge. Mais il continua, il marcha, il avança et il sortit par la porte. Cela ne signifié pas seulement qu’il sortait du château mais aussi qu’il sortait à tout jamais de la vie d’Alicia.                  Il venait d’abandonner son amour pour la vengeance. On dit toujours que la vengeance à un prit mais il n’aurait jamais songé que ce pris le détruirais à un telle point ou il aurait honte de porter son nom. Quant à Alicia, elle fonda en larmes et s’accroupit au beau milieu de la pièce. Le seul homme à qui elle avait ouvert son cœur, l’avait détruit. Les déceptions d’amour était les plus douloureuses et celle-ci fut tellement dur que  plus jamais elle ne se permettre de donner son amour un homme. Aucun homme ne mériterait jamais son amour. Elle venait de perdre la confiance dans cette force à cause de lui.