Chapitre 15 Gary

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Après un repas chargé de désir nous reprenons la route, ma bite me faisant souffrir.
Sur le chemin nous parlons peu, l'atmosphère saturée par nos hormones en ébullition.

Si je m'écoutais, on serait déjà en train de faire l'amour comme des bêtes sur le bas côté mais je ne veux pas que cette fois la se déroule de cette manière.
La première fois a été trop rapidement expédiée, la je veux en profiter.
Bon je ne certifie pas qu'on ne se sautera pas dessus mais on aura la nuit pour nous redécouvrir.

Je croise le regard fiévreux de Naya.

J'essaye de penser à mes frères pour faire redescendre la pression, ouais voilà, ces grands gaillards poilus.

- Il y a un hôtel à 2km dit-elle.

Oh putain merci mon dieu !

- Il est encore tôt pour s'arrêter non ? Dis-je quand même pour ne pas l'effrayer devant mon désir.

- Tu as vraiment envie de souffrir de longues heures ? Dit-elle, parceque je peux t'assurer que je t'en ferais baver.

Sans lui répondre je m'engage dans la bretelle de sortie.

- Je ne sais pas si je pourrais me montrer doux la previns-je, du moins pas la première fois.

- Je ne me souviens pas t'avoir demandé de l'être retorque-t-elle.

Oh bon dieu !

- Ce sera brutal bébé dis-je.

Un grand sourire eclaire son visage.

- J'y compte bien dit-elle en m'achevant.

Je m'arrête brutalement dans le parking, descends et sans l'attendre cours vers l'accueil.

- Bonjour, une chambre pour 2 s'il vous plaît dis-je a l'hôtesse d'accueil.

- Pour combien de jours ?  demande-t-elle.

Bordel donne moi cette foutu clé !

- 1 nuit repondis-je en sortant mon portefeuille.

- Pièce d'identité s'il vous plaît.

Je lui donne tout ce qu'elle me demande en trépignant d'impatience.
Naya me rejoint et se colle à moi, sa main glissant dans mon dos.
Saisis de frisson, je grogne.

- Ça vous fera 75$ dit L'hôtesse.

Je lui tends un billet de 100, me saisis du pass et décolle.

- Monsieur, votre monnaie crie l'hôtesse.

- Gardez tout repondis-je.

Allez, 4 étages en ascenseur.

Dans la cabine je reste loin d'elle, je serais incapable de me contrôler si elle me touche.
J'en ai les mains qui tremblent putain.

Je respire de nouveau quand les portes s'ouvrent, je m'engouffre dans le couloir , suivi de près par Naya.

Quand j'ouvre la porte, je me décale pour la laisser entrer.
Je referme la porte, nous nous faisons face un bref instant avant qu'en même temps nous nous elançons .

Nos lèvres scellées, nos mains tentant désespérément de nous déshabiller, la perte de contrôle est totale.

Je lui baisse son short sans décoller nos bouches, elle déboutonne mon jean.
Je me décide à cesser de l'embrasser pour la dénuder entièrement, je fais de même avec mes fringues.

Entièrement nu, je parcours son corps de mon regard en me léchant les lèvres, c'est la plus belle femme qu'il m'ait été donné de voir.

Son regard reste fixé sur ma queue douloureuse tendue.

- Pas de préliminaires dis-je la voix rauque.

- Pas de préliminaires acquiesce-t-elle.

Je fonds sur elle, la faisant basculer sur le lit.
Non levres collées à nouveau, nous engageons un corps a corps brûlant sans pour autant aller jusqu'au bout. Des caresses, des soupirs.
Une fois c'est elle au dessus, l'autre fois c'est moi.
Je prends le dessus, je lui saisis les mains que je bloque avec une des miennes.
De l'autre, je guide ma queue et plonge enfin en elle.

Oh putain ! Putain ! Putain !
Je suis déjà prêt à jouir bordel.
Je marque un temps d'arrêt avant de me ridiculiser.

- Brutal me rappelle-t-elle.

Mes yeux s'agrippent au sien et je commence à la pilonner.
Mes vas et viens sont désordonnés, sauvages.
Le lit grince m'excitant encore plus.

Ses cris résonnent dans la chambre, je grogne, cris, soupirs.
Je lui susurre des mots cru.
Je lui dis à quel point sa chatte est étroite, a quel point j'aime la baiser.

J'y suis, j'y suis putain pourtant j'essaie de me retenir.
Ses talons enfoncés dans mes fesses, elle se lache et hurle sa jouissance.

Ses parois me serrent et malgré mes dents serrées pour essayer de le contenir, je jouis a mon tour.
Sa chatte serrée m'agrippe et me vide de toute mon énergie.
Je m'effondre sur elle, haletant, heureux.












Les frères Hudson : GaryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant