Dance Monkey

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L'introduction de la chanson "You don't own me" résonne dans la salle. J'entend l'annonceur dire mon nom de scène:

"Et maintenant, messieurs, veuillez accueuillir chaleureusement la douce, la délicieuse, la magnifique, Sashaaaa!"

Je pousse le rideau pour faire face à une salle pleine d'hommes en chaleur. Ils me regardent comme si j'étais un bout de viande et moi, je leur souris comme s'ils allaient pouvoir y goûter. Je me met à danser, sensuelle, élégante. Je continue à faire languir ces messieurs, ne dévoilant que rarement certaines parties de mon corps. Les danseuses de luxe ne font pas que jeter leurs vêtements lorsqu'un pauvre homme leur donne un billet de 5 dollars; elle sont chics, attirantes, fières, sexy, fortes...

Un homme assis tout à l'avant attire mon attention alors que je rampe à quatre patte vers le public. Affublé d'un costume hors de prix, il me tend un billet de 100$, le regard vicieux, mais l'allure noble. J'avance doucement vers lui, me déhanchant comme une lionne qui chasse sa proie, prenant le billet dans ma bouche. Pourtant, c'était moi, la proie.

La musique s'arrête; ma performance est terminée. Une fois changée, j'aperçois le riche client assis au bar. Je décide de le rejoindre: me faire payer un verre ne serait pas de trop.

"Belle performance tout à l'heure."
"Merci beaucoup...?"
"François. Enchanté."

Je lui serre la main, puis il me tend un verre. Nous en buvons quelques uns jusqu'à ce qu'il me propose de venir chez lui.

"Désolée, je ne pense pas être ce que vous cherchiez: je suis danseuse, pas escorte."

Il m'assure que ce n'est pas du tout ce à quoi il pensait, qu'il se sent simplement seul depuis son divorce et qu'il voulait continuer cette charmante conversation dans un endroit plus calme. Il me propose 1000$ pour prendre un verre, sans aucune obligation.

J'hésite. Quelque chose me dit de ne pas y aller, ma conscience me crie que c'est dangeureux et complètement stupide. Mais si c'était un homme honnête. Mon désir d'argent fait taire ma rationalité.

J'accepte et embarque dans sa Audi. Mon estomac se noeud aussitôt. Nous roulons jusqu'à un coin de la ville que je ne connais pas pour s'arrêter devant une magnifique maison. Lorsque nous entrons, il me fait asseoir dans l'immense salon alors qu'il va préparer deux verres à la cuisine. C'est si silencieux, je me sens tellement mal à l'aise...

J'entend des pas derrière moi. Lorsque je me retourne, souriante, pas un, mais cinq hommes me font face. Mon sourire s'efface. Je regarde François, l'incompréhension dans le regard. Il me sourit.

"Je voulais te présenter à mes amis."

Je tente de sourire, mais ce doit plus ressembler à une grimace. Je me lève.

"Je crois que je vais y aller. Merci pour l'invitation, c'était très gentil de votre part. Messieurs."

Je les salut en me dirigeant vers l'entrée, qui semble maintenant tellement loin, mais François me bloque le chemin. Il me prend par le bras. Sa poigne est ferme.

"Voyons Sasha. Tu ne peux pas aller contre la volonté de cinq hommes comme nous. On a de l'argent. C'est pas tout ce que tu veux de toute façon?"

J'essaie de me défaire de son étreinte, mais ça ne sert à rien. Des larmes me montent aux yeux. Il flatte doucement mes cheveux alors que les trois autres défont leur ceinture. L'un d'entre eux s'asseoit sur une chaise et commence à se masturber alors que François me gifle la joue. Le voyeur y restera durant toute la soirée.

"Si t'essaie quoique ce soit, ce sera simplement pire. C'est clair?"

J'acquiesce, vaincue.

Les trois autres hommes s'approchent. Ils se mettent à me tripoter. L'un d'eux déchire mon chandail. Je crie et essaie de cacher ma poitrine, mais l'autre tappe sur mes mains. Ils continuent de jouer avec mon corps alors que François et le voyeur me regardent.

C'est alors que l'un d'eux me soulève et me couche sur le sofa. Je me débat, même si François me rappelle sa menace. Le même homme s'asseoit sur moi pour m'immobiliser. Il frotte doucement son gland contre ma poitrine. Je sens François écarter mes jambes. Je me met à donner des coups de pieds, mais les deux autres me retiennent.

Puis, je le sens me pénétrer vivement. Je cris, douleur, peur et plaisir dans une combinaison atroce. Il me donne des coups de hanches si fort que ma tête cogne contre le bras du sofa. L'homme assis sur mon torse se relève un peu et met sa queue dans ma bouche. Je me met à le sucer. La sensation des vas et viens me rend de plus en plus excitée, de plus en plus mouillée. J'entend François me chuchoter:
"Ouais t'aime ça ptite salope? Tu mouilles comme une vraie petite chienne."

J'acquiesce, le membre gonflé toujours dans ma bouche. Il va si loin dans ma gorge que j'ai envie de vomir, mais je continue à bouger ma tête de haut en bas. Ceux qui m'obilisaient jusqu'alors, voyant que je deviens plus docile, vienne près de ma tête. Ils n'ont rien besoin de demander: j'empoigne leur queue et me met à les masturber vigoureusement. Je cris de plus en plus; le plaisir que me procure ces hommes se rapprochent de plus en plus du paradis.

L'homme que je suce depuis maintenant quelques minutes se lève. François me met à quatre pattes. Un des garçons, je ne sais plus lequel, entre en moi à son tour. Je gémis de plaisir. J'en redemande encore. Je les supplie de continuer. François vient mettre son engin dans ma bouche, me faisant ainsi taire. Il a les yeux fous. Moi, je ris en le prenant et en le suçant comme jamais. Un des deux autres vient tout prêt pour que je le branle. Avec ma bouche et ma main, j'alterne entre sa queue et celle de François. La bave et le pré sperme coule partout sur mon visage. Le dernier participant se met sous moi.

C'est alors que je sens le gars qui me prenait en levrette se retirer, puis entrer brusquement son gros membre dans mon cul. L'autre l'entre dans mes parois dégoulinantes de cyprine. Je cris de douleur alors qu'il commence ses vas et viens vicieux. Il me crie de fermer ma gueule en me frappant les fesses avec une force sur humaine. Je cris encore. François me prend à la gorge pour couper le peu d'air que j'ai et me crache au visage.

"T'aime crier? Tu vas crier pour quelque chose salope."

Tous les trois se mettent à donner des coups horriblement fort. Je veux crier de plaisir, mais j'en suis incapable. Je me fais défoncer de partout. Je ne suis plus qu'une poupée humaine, couverte de liquides: sperme, bave, cyprine...

Tous trois se retirent et celui que je masturbais se recule. Ils me mettent à genoux et m'entourent, leur queue bien dressées devant mon visage. Je me mets à les sucer et à les branler. Ils me tappent, me crachent dessus, me crient des insultes... Je suis la femme la plus excitée du monde.

L'un m'éjacule alors sur les seins, l'autre sur le visage. Ils éjaculent tous un après l'autre. J'en ai partout. J'entend même l'homme du fond de la salle grogner.

Ils me donnent de petites gifles au visage et me disent que je suis une bonne chienne. Je souris, le corps couvert de leur semence.

François me guide à la salle de bain pour que je prenne une douche, puis me reprend à ce moment-là. Il me baise violemment sous l'eau chaude jusqu'à ce que nous vivions tous les deux l'orgasme, puis quitte.

Lorsque je sors de la salle de bain, il me donne 1000$.

"Tous les mercredis à 19h. T'en dis quoi?"

🍋🔞 Histoires pour majeurs et vaccinés (Lemon) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant