Undertaker - Livre 1- (fanfiction Black Butler)

Chapitre 7: Réveil.

'' ''J'ai une question que je n'ai pas eu le temps de poser aux enseignants: je connaît le cabinet du docteur Othello mais n'y a-t-il pas des hôpitaux pour les shinigamis mal en point comme je le suis ?''

La réponse me tombe dessus quand un bruit aiguë me réveille.
Le son qui est semblable à celui d'un '' bip '' de machine d'hôpital.
- Serait-ce un électrocardiogramme ?-

J'eu du mal au départ a ouvrir les yeux.... Mes paupière me semblait engoudies, puis j'ouvrais un œil puis le refermais aussitôt... La lumière me fait mal au yeux et à la tête.
Je commence à m'agiter mais aussitot j'entendis des pas plutôt rapide.
Il me semble que quelqu'un cours voir même plusieurs.

Apparement j'ai des aiguille dans les bras, un truc au doigt et les ''ventouse'' qu'on pose sur la poitrine.
Je les sens aux bras aussi et à la poitrine...
Pour 5 minutes d'évanouissement je ne comprend pas pourquoi ils m'ont mis toutes ces babioles...
Je commençais à prendre peur et à m'agiter.
Quand soudainement, une main fine, délicate et attentionnée se posa sur ma joue. J'ai instentanement arrêté de bouger. Je frottait ma joue contre la main qui tenait mon visage et je ne pu m'empêcher de prononcer un nom: Claudia.
Je le dis d'une voix faible, les yeux toujours fermé.
Puis un '' chuuuuuuut.... '' doux comme celui d'une femme à son homme ou d une mère à son enfant, suivis les caresse de la main.

'' Adrian... Vous m'entendez ? ''

Une voix. Celle d'une femme mais pas celle de Claudia... Claudia ne m'aurait pas appeler par mon prénom... Une voix... mais pas celle que j'aurai voulu que ce soit... Qui est-ce ?

Malgré mon étonnement, je ne savais pas ce qu'il se passait, alors je continuais à demander des caresse d'un signe de tête...

'' Adrian, si vous m'entendez bouger votre index une fois. ''

J'obeis.

'' Adrian, pouvez vous ouvrir les yeux ? Si oui, bougez à nouveau votre doigt une fois, sinon, bougez le 2 fois. ''

Je fis non.

'' N'ayez pas peur, on va mouillé vos yeux, vous pourrez peut être les ré ouvrir plus facilement. ''

La main quitta ma joue, mais une autre vient aussitôt prendre la place de la précédente.
Une main vint sur mon nez l'autre vint déposer à l'aide d'un gant, de l'eau sur mes paupières. Juste ce qu'il fallait. Juste de quoi ranimer mes paupières.
Les ailes de papillon pouvaient enfin s'ouvrir sans être trop éblouit par la lumière.

La femme qui tenait le gant était vêtu d'une robe blanchea col... J'endeduis qu'il y avait des hôpitaux dans ce monde des morts.

Elle se redressa, pouvant élargir ma vision et voir que le docteur Othello, le shinigami au cheveux rouge et le professeurs T. Spears étaient présent.

Le shinigami aux cheveux rouge avait le cheveux qui avait pousser et bien. Ses cheveux en bataille qui recouvraient ses oreilles, lui arrivais maintenant en bas du do.... - En un jour ?? Est-ce bien lui ? Il ressemble à une femme... - .

Je n'arrive encore à parler,-peut être est ce dû au choc-

La femme me mis le gant sur les lèvres pour les séparer.

'' Tu penses pouvoir parler ?
- Je... Je crois... ''

Je regarde la femme puis les enseignants qui fient un '' ah... '' De soulagement, sauf le professeur T. Spears.
L'infirmière repris:

'' Ah... Quel soulagement, certains restent muet pendant plusieurs jours ayant l'impression d'avoir une langue trop lourde. - fit-elle en souriant-
- Pourquoi je suis à l'hôpital ? Le Démon ne m'a pas fait tant de dégâts que ça. Je me souviens que le docteur Othello m'a recoller une main ou 2, c'est suffisant, non ? Et pourquoi je suis alité et accroché à des machines ? Pourquoi je me sens tout engourdit ?
- Willy dis lui toi qui parle si bien ? -fit le shinigami aux cheveux rouge-
- Mr. Adrian, je vais être le plus direct possible pour faire vite et bref... Hum: vous êtes dans le comma depuis 7 ans. ''

Au départ, je ne fit rien puis, mes yeux tout seul ce sont écarquillé sans effort.
J'étais sous le choc. 7 ans...

'' Ça voudrait dire que j'ai... 40 ans ?
- Vous étiez bien trop amoché, les opérations on pris 4 jours entier pour toit bien remettre l'intérieur et recoudre l'extérieur. Le Démon vous a tranché aux niveaux des bras, des jambes, du torse, de la tête et du cou... D'après ce que le docteur Othello a écrit... Mais ne vous inquiètez pas il vous a remit comme neuf. ^^ -la femme sourit à nouveau.-''

Le professeur William T. Spears était aussi inquiet qu'en colère contre moi.
En même temps ça se comprend.

'' Mr. Adrian, il vous faut rattraper toute les leçons que vous avez manquez, et comme vous ne pouvez pas bouger d'ici je viendrais moi même vous les donner personnellement
- Hou la la willy je veux aussi des cours particulier avec toi.-il s'accroche au cou de William mais celui lui planta son arme dans le pied-''

Othello rit, j'afgichais également un léger sourire.
Puis le professeur repris:

'' Je vous ai trouvé tout les programmes en livres, vous qui aimez la lecture, je suppose que ça ne vous dérangera pas mr. Adrian.
- Puisse que je suis obligé de rester cloitrer dans cette pièce, cloué à ce lit, je n'ai d'autre choix que d'obéir pour me divertir.
- Bien. Vous commencerez donc à lire ces 3 premiers livres.-il s'approche pour me les donner puis me regarde- bon rétablissement Mr. Adrian. ''

Peu de temps après les voilà partit.

En 3 ou 4 heures, j'avais terminé les livres.
Je m'ennuyais quand la femme revint me voir.

'' On va faire quelques exercices musculaire afin ee réhabituer doucement votre Corp à bouger. ''

Elle pris une de mes jambes, puis la plia, la deplia et continua ainsi plusieurs fois.
Puis elle fit de même avec mon autre jambes.
Pour les bras, les avant-bras fonctionner assez bien: c'était au niveau de l'épaule que ça bloquait un peu.
Puis elle me força à me mettre droit, à me recoucher, à me relever.

Elle mit un terme aux exercices au couché du sol soleil.
La visite des 3 shinigamis enseignants lors de mon réveil était en fin de mâtiné et ma lecture ne s'était pas arrêter avant 16h30.

Le repas du soir venait d arriver. Mon bouquin préférer entre les mains, je refusait à manger plus.
Même ce livre d'amour que j'adore tant, je ne pu le continuer du fait que ''Claudia'' me restait en tête.
Maintenant que j'avais réussi à remettre un nom sur la femme floutais de mes souvenirs humains, je ne voulais plus avoir d'autre pensées que ce nom et me souvenir de comment elle était.

Ce souvenir si doux et paisible, raisonnant dans ma tête comme une mélodie enchentée et sans m'en rendre compte, cette mélodie me guida dans un monde de rêves et de merveilles...''