The love of your life

Chapitre 18

Au bout d'une petite heure, je suis devant chez moi.

– Merci Steven !

– Il n'y à pas de quoi ! Merci à toi de m'avoir attendu dans cette épicerie.Dit il avec un sourire. Tu me dit ce qui ce passe ?

– Rien de grave

– C'est Aaron ?

– Oui...Dis je d'une petite voix

– Tu veux m'en parler ?

– Je ne suis pas sur que ....

– Allez raconte !

Je commence lui parler de cette soirée avec Dolorès et que pour Aaron aurait étais une bonne idée pour nous connaître. Puis, ce qu'elle à oser nous dire. Je vois Steven réfléchir puis un sourires'affiche sur son visage.

– Est ce que cette chère Dolorès aurait raison ?

– Sur quoi ?

– Est ce que tu couche avec ton avocat et patron ?

– Quoi ? Non.....Non. Dis je gêner, je sais qu'Aaron ne veux pas que l'on sachent notre relation pour le moment et je suis d'accord avec lui.

– Bon écoute Dolorès, veux avoir Aaron que pour elle. Et puis elle à une concurrente de taille en face d'elle.

– Je ne suis pas....

– Arrête ! Me coupe il. J'ai bien vue comment il te regarder, et comment il réagissait quand je m'approcher de toi. Et toi tes yeux pétilles quand tu parle de lui.

J'ailes larmes au bord des yeux. Steven à viser juste j'aime beaucoup Aaron, mais ne veux surtout pas qu'il le sache. Je veux garder mes sentiments un maximum en moi.

– N'en veux pas trop à Aaron, il n'a jamais su faire avec les filles. Et encore moins avec celle qu'il aime. Il me sourit, puis rajoute : En parlant du loup !

Je me retourne et vois Aaron face à la voiture, les mains dans les poches, le regard noir et les mâchoires serrer.

– ça va aller ! Allez file !

– Merci ! Dis je avant de sortir de voiture.

Je regarde Aaron un instant, puis me tourne pour accéder à mon appartement. J'entends les pas d'Aaron derrière moi. Une fois devant la porte, je la déverrouille et l'ouvre en grand. Je lui fait signe d'entrée, ce qu'il fait s'en même me regarder. J'essaye de garder mon sérieux mais face à sa tête de chien battu, je ne peux réprimer mon sourire. J'entre à mon tour pose mon sac et mes clés sur le meuble dans l'entrée. Puis, je m 'avance dans l'autre pièce, je passe devant lui s'en pour autant lui jeter un regard. Je fais comme si il n'étais pas là.Je pose alors ma veste sur le dos d'une chaise puis retire mes chaussures que je vais déposer juste à coter de mon canapé. Puis, je vais vers la salle de bain, et me fait couler un bain. Je remonte mes cheveux en un chignon floue. La portes'ouvre doucement sur un Aaron tous penaud. Je reste le plus sérieuse possible, devant sa petite tête de chien battu.

– Est ce que l'on peux ce parler ? Me demande il

– Après avoir pris mon bain.... dis je tous en enlevant mon haut devant lui. Je suis alors en soutien gorge, il me regarde un instant puis me tourne le dos et sort de la salle de bain. Cette fois, j'en ai marre, il faut que je sachent ce qu'il y à. J'enfile mon peignoir et sort à sa rencontre. Il est devant ma baie vitré regardant la ville endormi.

– Aaron ?

Il ce tourne vers moi de son regard triste. Je m'approche de lui doucement, essayant de sonder son regard, mais il le détourne. Je me plante près de lui, mais suffisamment loin pour garder une distance de sécurité. Je reste le plus calme possible, mais quand son regard ce pose sur moi, je peux y lire de la tristesse,du désarroi. Je vois bien qu'il et entrain de ce combattre de l'intérieur. Je m'approche alors, mais il recule. Je n'y croit pas, il est entrain de me largué silencieusement. Je ferme les yeux un instant, et essaye de calmer ma respiration qui commence à s'affoler.

– C'est bien ce que je croit qui va ce passer ?

Il relève la tête,le regard triste.

– Solène...

– Non...Ne dis rien...

J'ailes larmes qui commence à emplir mes yeux. Il approche sa main de ma joue. J'ai un mouvement de recule. Je ne veux pas qu'il me touche. Il à écouter cette garce, et il va me falloir un moment pour digérer cela.

– Solène...Écoute...

– Non Aaron....Le stop ai je. Il vaudrais mieux que tu partes...S'il te plaît... Dis je une larme qui commence à rouler sur ma joue. Il s'approche encore plus prêts, mais je recule. S'il te plaît Aaron, ne rend pas les choses encore plus difficile. 

Il ce recule, comme s'il avait reçu un coup dans la poitrine. Je détourne le visage, et il s'en va. A cette instant, je m'écroule au sol pleurant dans mes mains.