Aurevoir à la vie.

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Je soupirais d'un air las en balayant l'horizon de mon regards triste. Je n'en peux plus de la vie... Aucune famille, aucun ami, un travail épuisant, qui ne me plaît et qui ne me fais pas gagner assez d'argents... Rien ne va... Je pris une grande inspiration puis monta sur la barrière du pont et me laissa chavirer du côté de la mort sous les regards effrayés des quelques passants qui arrivaient trop tard pour me sauver.

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TROU NOIR

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Je me réveillais en sursaut dans une grande chambre, la tête embrouillée, j'examinais le lieu où je me trouvais. Je repris soudainement mes esprits et ...? Ne m'étais-je pas donner la mort en me jetant d'un pond ? Suis-je au paradis ? Mon esprit qui s'était enfin éclaircit redevint confus. Je ne comprends vraiment pas se qui ce passe. Je me levais du lit dans lequel j'avais été soigneusement installée et réexamina la pièce. C'était une chambre avec une ambiance assez froide sans décorations hormis un bouquet de rose posé dans un grand et beau vase, les murs était en pierre grise et dans un coin de la pièce se trouvait un magnifique bureau, puis un mirroir où j'y vus mon reflet... mais... je ne me reconnaissais pas. Au lieu d'avoir des cheveux châtains, voilà qu'ils avaient virés aux blancs ! Mais ce n'étais pas la seule chose qui me perturbais en me regardant. Mes yeux étaient rouges sang et une marque également rouge partait de ma joue gauche puis continuait sur tout mon corps. Elle avait des traits irréguliers qui faisaient penser à du tonnerre. Quelque chose d'autre me dérangé à mon front. Je soulevais ma frange et y vis un troisième oeil. J'en restais bouche bée. J'étais toujours en états de choque quand quelqu'un toqua à la porte, enfin plutôt un... monstre? Car ce que je vis n'avait rien d'humain mise à part le faîtes que cette créature avait une forme humaine (Voir média). Cette chose était vraiment très effrayante, j'avais très peur, mais étrangement, pas assez que ce que j'étais sensée ressentir. Surprise, j'entendis la créature me parler.

_Bienvenue dans votre demeure, jeune maîtresse. Encore choquée de voir un "démon" mais également parce que ce monstre parlé, je ne l'écoutais pas et le regardée avec stupeur, effroie, mais aussi dégoûté par son odeur, une odeur qui sentait la mort. Une autre personne, cette fois qui semblait plus humaine -malgré que l'on voyait son squellette à travers sa peau- entra dans la chambre.

 Une autre personne, cette fois qui semblait plus humaine -malgré que l'on voyait son squellette à travers sa peau- entra dans la chambre

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_Graouch, je crois que tu effrayes la jeune maîtresse. Même si, il paraissait plus humain que l'autre créature, il n'en restait pas moins étrange. Quand il m'adressa la parole, ma bouche était toujours béante.
_ Jeune maîtresse. Dit-il en faisant une révérence. Surprise, je repris mes esprits.
_Que...?! Qui êtes-vous ?! Où suis-je ?! Que me voulez-vous ?! Pourquoi m'appelez-vous "jeune maîtresse" ?! Dis-je d'une voix mal-assurée.
_Premièrement, cette bête à côté de moi se nomme Graouch, et moi, Kurayami. Deuxièmement, vous êtes dans votre demeure, à Yami No Okoku.
_Dans ma demeure ? Et c'est où ça, Yami No Okoku ?!
_Oui, et Yami No Okoku se trouve sur Kimyōna kuni.
_...Je suis larguée.
_Je reprends ?
_...Oui.
_Troisièmement, nous voulons vous avoir comme Reine de notre monde.
_Pardon ?! Reine ?
_C'est bien ça ! Il m'adressa un sourire.
_Et quatrièmement, nous vous appelons "jeune maîtresse" car vous êtes la dirigeante de cette demeure et de tous ses sujets qui vous sont plus que fidèles ! Je le regardais bizzarement en écoutant ce qu'il me raconté et ris à la fin de ses paroles.
_Vous allez bien ?
_Bah oui, je suis sensé être morte, pourtant, je suis actuellement vivante ! Ensuite, depuis tout à l'heure un monstre hideux, qui fait peur reste planté à nous regardés depuis 30 min ! Et un espèce de squellette et en train de me raconter je ne sais quoi depuis 20 ans ! Je ne pensais pas que c'était ce qui se passait après la mort ! Il me contempla quelques secondes puis me répondit : Je vais vous expliquer.

SAIKO NO CHIKARAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant