I will save you, I promiss

Chapitre 4: Chaque Problème À Sa Solution

Je ne dormais plus, je réfléchissais, je ne mangeais plsu je réfléchissais, e' cours, ne n'ecoutais pas, je réfléchissais, dog la douche, je réfléchissais , et pour vous dire, même sur les toilettes je réfléchissais. Pour éviter l'adoption, c'était très simple, être insolente, malpoli, agressive, vulgaire et odieuse, et c'était dans la poche, mais pour faire fermer l'orphelinat, c'était autre chose, j'ai pensais à voler un téléphone et provoquer un surveillant et me faire frapper devant la caméra, il suffisait d'attendre la nuit, de sortir, la fenêtre de la cuisine et souvent ouverte, je pris 7€95 si jamais le magasin de bonbons etait ouvert, les loulous seront content, puis j'attendais sagement dans mon lit que tout le monde dorme, c'est bien la première fois de ma vie que j'attends sagement.

Vers 20h00,je crois que c'est bon ! J'enfilais un sweat à capuche noir, comme si cela me rendait invisible, ça me rassurait juste. Je quittais ma chambre, descendis les escaliers, l'oreil tendueje passais dans la salle à manger quand j' entendus des voix, prise de panique, je le cacha entre le mur et le canapé. J'entendis 2 hommes approcher de plus en plus, oh non, ne me dites pas que je suis repéré ?! Alors que je regardais mon cœur sortir de ma poitrine et s'enfuir en courant, je sentis le canapé s'affaisser, j'essayais de contrôler ma respiration saccadée et finit par écouter ce qui me semblais être Dark Maul et Odion quand j'antendis mon nom da's leur conversation.
"-Elle a du charme, des formes et surtout du caractère, dit il d'une voix qui ne présageait rien de sage...
"-Je me la ferai bien un de ces quatre" mon visage prit une expression de dégoût immédiatement et de colère aussi.
-"Justement, trop de caractère pour moi, tu sais que Hux a encore mal aux couilles... Je crois qu'il fait des cauchemards du genoux de Rey..."
Les deux hommes éclaterent de rire, je détourna l'attention à cause d'une crampe, la position dans la quelle je me trouvais n'était vraiment pas agréable, ça doit bien faire 1h je je suis accroupi derrière ce canapé.
-"Bon, eh bien je vais aller me coucher... Il se fait tard."
Oh mon dieu, quelle bonne idée, qui aurait cru qu'un débile comme lui en aurait eu une aussi bonne un jour...
-"je vais dormir aussi, les gamins n'ont pas l'air d'avoir envie de crapahuter cette nuit."
Alors que j'entendis des pas quitter la salle, et me croyais sorti d'affaire, le dossier du canapé bougeait toujours, alors dans le doute j'attendais...
Oh mais c'est pas vrai... Je lâcha un soupire de désespoir à l'entente de ronflements, sérieusement quand tu vas dormir c'est dans ton lit!!
Mais au moin, après ce qui me semblait être une éternité, je pouvais enfin sortir. Je sorti donc de ma cachette à l'alerte du monde bruit, du moindre geste, je marchais avec difficulté tellemtn mes jambes étaient douloureuses, et avant de quitter la pièce d'un pas prudent, je regarda l'homme qui c'était assoupi sur le canapé, Odion puis j'inspecta la pièce, et mon regard s'arrêta sur un pot à crayons, et la lumière s'alluma, dans mon cerveau biensur, pas de panique, je m'avanca vers celui-ci et retourna prêt du canapé, est ce que ça en vallaot vraiment la peine ?

Évidement que oui, et puis vu où j'en suis, ça ne va pas changer la face du monde, j'enleva le capuchon et amena le croyon au visage de l'homme repuniant, réfléchissant à ce que je pourrais écrire, puis j'eu une autre idée, eh bien dites donc c'est la soirée des lumières aujourd'hui... Je repensa à ce que m'avait dit Curtis quand j'étais enfant,"bonjour j'appelle Odion, trouez moi le fion, j'veux que ça ressorte par mon front" bien qu'extremement vulgaire, cette phrase me fit rire et je la copia sur sa peau, avec difficulté car ce n'était pas une petite phrase... À force de jouer avec le feu, je finirai par me brûler, mais on dirait que ce n'est toujours pas pour aujourd'hui, même si la soirée n'est pas fini..

J'artiva devant la fenêtre de la cuisine, faut vraiment être débile pour laisser une fenêtre ouverte dans un orphelinat, mais bon passons...
Je grimpa sur le comptoir.
Uen fois dehors, j'eu un peu de mal à escalader le grillage mais n'étant pas ma première escapade nocturne, je réussi. Je marcha asser loin et arriva en centre ville, mais je m'arrêta en plein milieu de la route, il est 23h00,qui va t-il rester sur les terrasses à cette heure ci ! Tout ça à cause d'odion le con et Dark Maul le troll ! Je décida de continuer ma promenade, les écouteurs aux oreilles, laissant mes sombres Pensées envahir mon esprit, les yeux se perdant dans l'infini du ciel étoilé... Mais en chemin je croisa une supérette, encore ouverte, je resta devant la vitrine et vis bien moiex qu'un téléphone portable... Pendant 10 bonne minutes, les pensées torturaient mon être, puis je me décida à entrer, regardant furtivement l'intérieur du bâtiment à la recherche de caméras, mais rien, je me dirigea alors vers une boîte d'allumettes, la pris et la mis dans ma poche discretement, et parti dans à autre rayon à la recherche d'autre chose, et vis un homme:Brett, je connais son nom.. Parce que.. Parce que je suis médium, mais je n'ai jamais oser en parler à qui que se soit... Naaaan, je déconne, il a juste un badge accroché à sa chemise bleue,.. affreuse d'ailleurs cette chemise, m'enfin bon, je commença à paniquer mais n'en montra rien, j'espère vraiment qu'il ne m'a pas vu, mettre la boîte dans ma poche... Il avanca vers moi d'un pas assuré puis s'arrêta devant moi.
Je rencontra ces yeux noirs...
Ouais, nan enfait ces yeux tout court, ce mes n'avaient pas les yeux noirs, ni une once de méchanceté en lui, ça ce voit tout de suite...
"-Bonjour ma grande, tu cherches quelques chose ?" demanda t'il grntillement
"-euhh..., un mensonge Rey, vite !,
Ououi, un bidon d'essence, mon père est tombé en panne..., mais je doute que vous en ayez..."
"-Eh bien de trompes-toi, j'ai tout ce qu'il faut, tout le temps, dit il fier,allez viens suis moi."

J'avais l'objet que je désiré dans mes mains, et je sorti toute ma monnaie pour payer, et lui tendu la totalité.
Il se mit à rire,
"-jeune fille, le bidon d'essence c'est 12€..."
Prise dans mon jeu d'actrice, je me mis à pleurer
"-Oh non !, ne pleure pas.." il me regardait tristement, et compatissant
"-Mais c'est que ma mère est entrain d'accoucher à l'hôpital dans la ville voisine, et c'est la où nous nous rendions... "Dis-je dans un sanglot
"-oh ! Mais il fallait le dire plus tôt ! Dépêches toi file !! "
Je pris le bidon est sorti du magasin en trombe après lui avoir dit merci, une fois éloigné du magasin je souris, pas peu fière de mon coup.
Je me redirigea vers l'orphelinat, si je ne pouvais rien filmer, ni faire fermer cette orphelinat, alors là solution serait plus radicale, il n'existerait plus...