Sixteen years old.

Prologue

On ne s'est jamais ce qui va se passer demain. Chaque matin on se lève sans savoir ce qui va nous arriver. La vie est surprenante et une seule seconde peût bouleverser votre vie entière...

Pour ma part, Juliette, bientôt 16 ans, ce fut cette fête que Noémie, ma meilleure amie et moi avions organiser.

Habituellement ce n'étais pas nous qui organisait ces fêtes, on allait juste à celle où les gens nous avaient invités. La spécialiste en cette matière était Victoria Martin, probablement la fille la plus bête que le monde pouvais connaître mais ses fêtes étaient cool alors on lui pardonnait.

Vous savez au lycée, les personnes sont souvent répartis par classe sociale: les intellos, les populaires, les coincés et en effet ma classe ne faisait pas exception à cette règle.

Je suis sûr que vous avez tous dans votre classe cette fille qui ne parle presque jamais, qui n'a aucun amis et qui est la plus part du temps invisible. Dans ma classe c'étais Roxane Bank: elle étais dans ma classe depuis le CE1 mais il ne me semblait pas déjà l'avoir entendu parlé.

À l'inverse il y avait aussi ces filles populaires, qui se croyait au dessus de tous le monde juste parce ce qu'elles étaient riches et que leur "papounet" leurs achetaient tous ce qu'elles voulaient et je nomme: Laurie Bronchard, Coralie Eskaik et Marie Jackson.

Marie sortait avec le capitaine de l'équipe de football, Roy Balcone. Presque toutes les filles du lycée voulait sortir avec lui, c'est vrai qu'il était beau mais il était vraiment bête comme ses pieds.

La catégorie des intellos étaient elle aussi bien présente dans ma classe, il y en avait deux: le premier était Ludovic Combes, le gars le plus moche de ce lycée, il était très prétentieux juste que parce que la plus part du temps il avait des notes au dessus de 18/20.

La deuxième était Caroline Duval, elle était très gentille. Inscrite à la motié des clubs du lycée et ayant toujours des notes au dessus de 19 et la tête toujours dans ses livres de cours, Caroline avait sauté 2 classes.

Alison Laurent et Émilie Georges étaient sûrement les filles les plus drôles que j'ai jamais connus certes elles fumaient, ne travaillait pas et recalait souvent les profs mais derrière ça elles étaient très sympa.

Ensuite ils y avaient le groupe des filles gentilles qui parlait le plus souvent de maquillage et qui rougissait à chaque fois qu'un garçon daignait de lui accorder ne serais qu'un minimum d'attention.

Puis il y avait ces personnes vous savez shouter h24, qui fume toutes les substances possible, c'était Louna Marchand, Germain Noël et Charles Gory.

Jack Parker était pour moi le beau gosse et non cette tapette de Roy. Oui parce que Jack était quasi parfait : il était beau, intelligent, drôle et j'en passe !

Il était toujours entouré de Paul Duchamp et de Robin Subit. Ces trois là était inséparable depuis la primaire aussi loin que je les connaissent. C'était ce genre de garçons vous savez qui font tous pour faire rire la classe et qui se foutent de tout...

C'était d'ailleurs à cause d'eux ou plutôt grâce à eux qu'on avait fait cette fête, je ne saurai dire si cette fête était une bonne chose ou non, mais une chose est sûr elle avait changer ma vie.

Cette fête venait d'un pari que nous avait tendu Jack, Paul et Robin à Noémie et moi. Ils disaient selon eux que ceux qui organisait les fêtes devait rester ceux qui les organisait, les intellos devaient resté les intellos et les populaires devaient rester les populaires. Noémie et moi n'étions assurément pas d'accord c'est ainsi que Jack avait dit :

- Bien alors allez faites une fête, je vous pari qu'elle ne saura pas aussi bien que Victoria.

- Et qu'est-ce qu'on pari ? Avait répondu Noémie sur un ton de défi.

Finalement nous n'avions rien parié, c'était un pari d'ami comme on dit.

Ces trois idiots ne croyait pas capable que nous, Noémie et Juliette les filles qui savaient tous sur tous le monde, qui rependait les rumeurs à la vitesse de l'éclair, puis-ce faire une fête aussi bien que cette petite garce de Victoria Martin.

C'est comme ça que en ce mois de Janvier, nous avions organisé la fête qui avait bouleversé mon existence.