chapitre 18

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C'était enfin aujourd'hui, aujourd'hui que j'allais tout recommencer, essayer de tout faire bien et surtout de me faire pardonner.
Quand je sortis du commissariat, l'air de l'hiver me frappa au visage instantanément.
Je me sentais enfin libre, c'était bizarre comme sensation mais agréable.
Je marchais dans les rues de Paris en essayant de me repérer.
Je savais enfin ou j'allais loger. J'en avais discuter avec mon frère quand il était venu. "Forcé pas un de ses potes" disait-il, mais je savais très bien qui s'était.
J'avoue que au début de la conversation c'était plutôt vide avec des phrases random et personne n'osais entré dans le vif du sujet, jusqu'à qu'il en ai marre de tourné autour de pot.
J'allais logée dans mon ancien appart. J'étais heureuse de l'apprendre et que finalement je ne saurais pas si perdu que ça et que je pourrais reprendre mes marques facilement.
Pour rejoindre mon logement je devait prendre le bus mais je n'avais pas d'argent.
Je pris quand même le bus direction les tarteret.
Durant mon trajet j'avais l'impression de re-découvrir la vie. D'être perdu, sans repére fidèle.
J'aurais aimée que quelqu'un vienne me chercher mais j'ai plus de batterie pour apeller quelqu'un.
J'étais assis sur un siège avec un sac ou se trouvais mes affaires personnelles. Je n'avais pas d'argent non plus d'ailleurs, mais j'ai quand même prit mon bus.
Magnifique, la première chose que je fais après être sorti de cette enfer c'est fraudée.
Vraiment si il y avait eu un contrôleur j'aurais été mais vraiment dans le merde.
Heureusement il n'y en avait pas enfin pour le moment.
Le bus se remplissait au fur et à mesure du temps, une odeur de transpiration se faisait sentir.
Une odeur que j'avais oubliée, celles des mélanges de transpiration de toute ces personne stressés et pressés.
Je ne devrais pas me moquer car j'étais pareille avant, stressé de savoir si je serai à l'heure non si j'ai bien fait mon taf. Et avec la fatigue qui se cumulais on s'y retrouvais plus.
J'aurais aimée écouter de la musique aussi, savoir si il y avait d'autre nouveau son qui sont sortis ou même d'autre film intéressant même mais pas de chance, mon tel était déchargé.
Il y avait aussi un autre problèmes, je ne savais pas du tout ou et quand je devais m'arrêter,tout ce que l'on m'a dit c'est que je devais prendre le bus de 10h35.
Remarque, peut être que l'arrêt sera marque sur une tablette du bus.
Et puis sinon je verrais si je reconnais ou non l'endroit, pour le moment j'etait
complètement perdu mais de chez perdu.
Je regardais la vitre et son extérieur perdu dans mes pensées puis reconnu le vêtement type d'un contrôleur. Merde. Je pris mon sac rapidement et sortis comme si de rien n'était. J'avais remarquer que la moitié des gens était sortis du bus. Cela voulais dire que je ne mettait pas tromper, tant mieux sinon j'aurais eu l'air stupide.
Je continuais de marché depuis 10 minutes sans trop savoir j'allais.
Malheureusement mon ventre ce mettais à gargouiller. C'était vraiment pas le moment mais genre pas du tout.
Je choisis de m'assoir sur un banc dans un parc et de d'essayer de me souvenir ou je pouvais habiter. C'est ouf quand même que je ne m'en souvienne pas. A moins que mon "comas" y était pour quelque chose?
D'ailleurs je n'avaits toujours pas revu Mohez. Peut être est-il sorti ou même changer de prison? Non, je dois dire de la merde.
Bref, cela ne me dit pas ou j'habitais.
Soudain une iddée me vient en tête: les plans de la ville.
Pourquoi au juste n'y avais-je pas penser plus tôt?
Mais qu'elle génie suis-je mais aussi qu'elle conne.
Je couru vers un arrêt de bus, une carte s'y trouvais et me permettrais donc de rentrer.
Ok, bon je suis ? Ah oui la! Aaah non. Euh merde je suis ? Non mais c'est une blague? Je sais pas me situer, c'est une blague?
Ah si. C'est bon j'ai trouvée.
J'etait simplement à quelques arrêt de bus.
Ça passais je pouvais marcher. Enfin si mon pieds n'en faisais pas des siennes.
Normalement cela devrait bien aller.
Je marchais donc dans ce qui devait être bonne direction.
Cela n'était pas si déplaisant en fin de compte, marcher me fit un bien fou. Les allés était blindés de gens ce qui fut difficile parfois de passer dans certains ruelles.
Au bout d'un moment je pus apercevoir ces grandes tours.
Elle me fit directement pensée à mes parents. Je n'avais toujours pas eu de nouvelle d'eux d'ailleurs. J'espère qu'ils vont bien.
Chassant ma mélancolie d'un coup de main, je continuais à avancer de plus en plus vite. Contente d'être enfin de retour.
Je n'avais pas passée beaucoup de temps là-bas mais je mis suis vite attachée.
Beaucoup de monde habitants là-bas vendais ou on vendu et pire encore.
Je ne pouvais pas les juger à leurs actes car j'en avais fait partis.
A vrai dire j'avais le choix de le faire ou non mais je m'ennuyais. A vrai dire c'est un peu à cause d'elle que je m'était retrouvée coincé en prison.
J'en était consciente que j'etait encore une gamine à mon âge mais mais je trouvais que ma vie manquais d'excitation.
Mais maintenant je devais à tout prix faire gaffe.
Enfin arrivée devant ces bâtiment, je ne pris même pas la peine pour l'admirer et avança déterminée à rentrer chez moi.
Des gens étaient adossés au mur du bâtiment et me regardait d'un air méchant pourtant rien n'avais rien fait de mal.
Malheureusement quelqu'un a dû me reconnaître et avançait vers moi.
Eh merde, il vas m'arrivais quoi encore cette fois-ci?

?: eh tes qui toi?

Moi: je rentre chez moi.

?: c'est bizarre je ne t'ai jamais vu ici auparavant.

Moi: Ah pourtant j'habite ici.

?: sinon, c'est quoi ton jolie nom ma belle?

Ça voix c'était soudainement adoucie.
Je ne savais pas quoi répondre et je ne me sentais pas en sécurité alors qu'à j'étais quand même à la visibilité de plein de monde.

Moi: pourquoi tu veux savoir ça ?

Je n'avais pas jouée la carte de la prudence mais dire mon nom ne m'aurais pas amener dans mon lit ni empêcher de parler avec ce pervers.


une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant