Bernadette Silveure

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Bernadette Silveure était une fille mais elle voulait devenir un homme. Elle était en 5ème. Ses parents était catholiques, très croyants, ils allaient à l'église tous les dimanches. Jamais, ils n'auraient cautionnés qu'elle devienne un homme. Mais pourtant elle le voulait. Elle était brune avec des cheveux courts dont elle ne prenait pas soin ; elle voulait que ses parents les lui coupent. Ce qu'ils firent.


Au collège, tous se passait mal. Ces camarades de classe n'acceptait pas sa différence. Ses professeurs se posaient des questions.


Un jour, elle décida de s'habiller comme un garçon et tout le collège se moqua d'elle. Les professeurs se moquèrent d'elle devant toute la classe. Ses camarades, bon public, encourageaient les professeurs et ils continuaient à faire ce que les élèves avait commencé pendant la récréation. Elle se faisait harceler.

Bernadette Silveure vivait très mal la situation. Ses parents l'avaient remarqué mais s'en moquaient. Elle fit plusieurs tentatives de suicide. Ses parents priaient tous les jours. Ils espéraient que le « mal qui était en elle » parte.


Bernadette Silveure se mutilait tous les jours avec toutes sortes d'objets : couteau Suisse, lame de son taille crayon et même les lames de ses ciseaux. Son corps ressemblait à des rayures de zèbres très rouges. La pauvre jeune fille en avaient partout.    

Ses parents s'en moquaient. De toute façon la mère de Bernadette était enceinte d'un deuxième enfant.


Un jour, Bernadette prit trop de médicaments et s'évanouit dans la cours de récréation. Le collège appela les pompiers puis alerta ses parents.

L'hôpital dut lui faire un lavage d'estomac. Elle resta deux semaine àl'hôpital sous observation.


Alertée par ce malaise, l'infirmière s'informa sur son sujet. Elle découvrit qu'elle n'était pas à sa première tentative de suicide.

Alors elle obligea ses parents à aller voir une psychologue pour l'aider et comprendre pourquoi elle veut mourir.


La psychologue l'aida beaucoup. Elle arrêta les tentatives de suicide mais était toujours très mal dans sa peau.


Les années passèrent et vint la majorité. Son enfance avait été atroce. Elle avait tout essayé pour faire comprendre à ses parentsqu'elle voulait être un homme. Mais rien n'y fit. Ils ne voulaient pas comprendre et l'entendre. Pour eux c'était contre nature, inhumain. Pour eux, elle était une erreur de la nature.

La psychologue l'avait aidé et elle continuait donc à la voir. Grâce à elle, Bernadette ne voulait plus se suicider et avait des objectifs ; elle voulait faire les procédures médicales pour devenir un homme.

Ce qu'elle fit mais elle dut attendre des années car la procédure était longue et qu'il fallait beaucoup d'argent. Elle avait demandé à de nombreuse associations de l'aide et avait réussi à réunir les fonts nécessaire.


Le médecin avait expliqué à Bernadette que l'opération était risquée. Mais elle ne l'écouta pas.

« Le risque en vaut la chandelle ! » Lui avait-elle répondu.

Une semaine plus tard, elle fit l'opération qui rata. Elle en mouru.


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Désolé pour la fin. C'est assez triste mais il falait bien faire plaisir au garçon du groupe. 

J'éspère que l'hisoire vous à plus. N'hésité pas à laisser un commentaire avec vos remarques.

Bonne soirée/journée à vous !!!


Bernadette Silveure (nouvelle)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant