Le terrible assassin

Chapitre 1: Cocoon

Mon grand-père avait enfin réussi son exploit : son jeu vidéo appelé "Cocoon".La célèbre arène virtuelle que tout le monde à New York attendait impatiemment. La mauvaise nouvelle, c'est que peu sont les personnes qui avaient le droit de le tester, or que mon grand-père m'avait offert trois badges afin d'accèder à l'arène, biensur je dédiais deux badges à Carlos et Alexia,mes deux amis intimes.
Le jour tant attendu arrive, et tout les enfants orgueilleux, vaniteux, et j'oserai même ajouter "pistonés",oui, fils des ministres et personnes importantes "riches", croyaient avoir le pouvoir et la supériorité sur les membres de la société intelectuelle.Leur aristocratie exagerée me laissait monter sur mes grands chevaux. Ils faisaient également tout ce qu'il leur plaisait comme jouer au ballon dans un lieu aussi respectueux,vaste,bien organisé et décoré, muni de tables et d'ornements divers tels que des statuettes de bouddha et des appareils de dernière technologie, normal pour un gratte-ciel hébérgeant un jeu vidéo aussi exceptionnel. Inutile de préciser que le bâtiment est garni de beaucoup de détecteurs de métaux comme précaution de vol ou de crime , j'aimerais aussi siter un détail du décor qui m'avait marqué: Les fontaines, totalement éblouissantes.Bon,je serais certainement allé donner une bonne leçon à l'un de ces garnements si seulement le garde ne les avait pas grondé. Après quelque temps, on nous proposa un repas en guise de cérémonie, c'était vraiment un bon festin, avec du champagne de haute qualité, du boeuf bien cuit et fourni dans une belle assiette, et un dessert savoureux à base de chocolat, de crème et de fruits tropicaux.
Maintenant, c'est l'heure de tester le jeu, après avoir été introduits dans une capsule sous forme de cocon , d'où provient le nom du jeu "Cocoon", munie d'appareils permettant de contrôler tout ton corps, y compris tes sens et tes sensations, nous fûmes exposés devant un géant écran, c'est ainsi que le jeu fut contrôlé par un logiciel puissant appelé "GSV", visant à garder les participants en otage dans cette arène minable. Ce "GSV" proposa de libérer les enfants à condition qu'au moins une personne finisse le jeu. Le destin de cinquante autres enfants dépendait de nous trois: moi, et mes deux amis Carlos et Alexia.