une histoire innatendu- pnl [ademo]

chapitre 19

?: eh lâche là veux-tu?

Une voix imposante nous coupa pour nous séparer.
Une main posées sur l'épaule du gars en face de moi, il s'avança et me dévisageais de haut en bas. Un air interrogateur apparut sur son visage.

?: eh mais je te connais toi? Tu me dis quelques chose?

Moi: oui, je suis la soeur d'un de tes potes. Je sors de prison et j'aimerais trouver ma chambre.

?:  quel pote ?

Moi: samy.

?: kaina? Wallah, c'est toi?

Moi: oui et toi tu est nabil, le frère de Tarik.

Nabil: exact ma belle. Par contre ta changer tes devenus encore plus belle.

Moi: merci. T'es cheveux on encore poussés à ce que je vois.

?: c'est bon je dérange pas, un petit café en plus ?

Nabil: tageule, jte présente la soeur a samy. Kaina je te présente karim, un vrai charo.

Moi: enchanté karim.  Di-je d'un ton froid.

Il me sera simplement la main mais ne me répondit pas.

Moi: bon je te laisse je dois encore trouver mon appart.

Nabil: ok, on se retrouve tout à l'heure.

Il partis sans que je puisse réagir.
Comment ça tout à l'heure?
J'ai pas envie moi, et puis ou veut-il que l'on se voit et surtout avec qui?
Je me remis à marcher après être restée bloquer sur le sol.
Des enfants joués au ballon juste à côté pendant que les gars était assis devant le bâtiment.
Ça faisais longtemps que je n'avais pas vu d'autre gens.
les gens me regardaient bizarrement comme si je venais d'un autre planète.
Je passa par le porte et découvris le même type de mec que devant le bâtiment .
Tous me regardait de haut en bas, me scrutant jusqu'à être sur que je ne serais pas une sorte de menace. Ces regard ne me mettais pas du tout à l'aise et me dérangeait au plus haut point. Me sentir jugée sur ma simple apparence me répugnais.
Bien sûr j'aurais pu le faire aussi mais je savais que leur apparence ne veulent presque rien dire de ceux qu'ils sont vraiment.
Alors je me contenta de me frailler un chemin dans le couloir, qui sentais la pisse d'ailleurs, jusqu'à l'ascenseur qui semblait hanté.
Je m'apprêtais à appuyer sur le bouton quand une voix m'interpella.

?: ça ne sert à rien, il est cassé.

Je connaissais cette voix, ce ton grave et imposant, c'était Tarik.
Je me retourna pour vérifier mon hypothèse et j'avais bien raison.
C'était lui.
Perdu, j'essayais de retrouver mes mots en regardant Tarik dans les yeux comme si la réponse était écrite dessu.