Chapitre 4

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Valentina
- Damas y caballeros acabamos de aterrizar en Mexico actualmente son las 7 de le tarde dit le pilote de l'avion (mesdames et messieurs nous venons d'atterrir au Mexique il est actuellement 19h).

Je regarde Juan qui est assis à coter de moi, il s'est endormis pendant le vol. Je passe ma main sur sa joue et le réveille en douceur.

- mi querido réveille toi murmurai-je à Juanito.

-humm oui Val. Dit Juan en se frottant les yeux.

- On est arrivé chéri. Lui disais je d'une douce voix.

- D'accord. Dit il en baillant.

Je  détacha sa ceinture et le pris dans mes bras. Devant moi se trouvait Ricardo qui s'impatientait , il avait le visage fermer de toute émotion, ses yeux par contre me lançait des éclairs. Ricardo avança et descendit de l'avion en premier j'étais derrière lui.

Voyant que je prenais du temps, il m'attendit, me pris violement par le bras et me dit :

- Tu n'as pas intérêt à t'éloigner. Me dit-il fermement.

C'est de ma faute je le sais j'aurais du marcher plus rapidement, j'espère que ce soir il ne me fera rien. Je baissa les yeux espérant ne pas l'énervé plus qu'il ne l'était déjà et le suivit de près de peur de le perdre de vue.


Plus tard :

On est arrivé à l'appartement où on va vivre ces prochains mois jusqu'au moment où il décidera encore de  changer de pays. Et franchement c'est assez grand enfin je veux dire plus grand que notre appartement aux Etats Unis.

Je posa ma valise sur mon lit et celle de Juan sur le sien. Je mis le petit au lit et décida de prendre ma douche, ce qui me fit un bien fou. J'alla ensuite me prendre un verre d'eau, puis me mis dans le lit. Pendant ce temps Ricardo regardait la télévision, son activité préféré.




Cela faisait une heure que je n'arrivais pas à dormir quand tous d'un coup j'entendis la télévision s'éteindre et des bruits de pas en direction de la chambre. C'était Ricardo, j'espère réellement qu'il ne va pas me frapper ou même pire qui sait.

J'ai pris peur, me mis dos à lui et fis semblant de dormir.

Quand tous d'un coup il s'approcha de mon oreille assez pour que je puisse sentir son souffle sur ma peau, j'avais envie de vomir comme à chaque fois qu'il se tenait proche de moi puis j'entendis :

- Cariño je sais que tu ne dors pas, regarde moi.

Je me retourna donc tout doucement vers lui et quand mes yeux croisèrent les siens j'ai pu lire dans ses yeux comme de la colère, une émotion que je vois chaque jour dans ses yeux quand il me regarde. Je baissa donc les yeux.

- Je veux juste te prévenir demain tu reprends les cours, j'ai déjà acheté toutes tes affaires enfin le stricte minimum je ne vais pas me ruiner pour toi non plus. Ah et au faite tu devras aussi emmener ton frère à son école.

Je hocha la tête et le laissa continuer de parler.

- Tu prendras le bus. Ah d'ailleurs, je ne te l'ai pas dis avant pour pas que tu piques une crise mais c'est la mafia mexicaine qui contrôle cette ville. Alors ne te fais pas repérer si tu ne veux pas avoir de problème avec eux et surtout MOI.

J'écarquilla les yeux de surprise, la peur s'installa en moi quand à lui sa colère se transforma en amusement.

- Fais attention à toi, se serais bête de se faire agresser ou même violer dans la rue devant ton frère non ? Me dit-il en rigolant. Ce qui me provoqua un énorme frisson le long de mon corps.

Puis il se retourna dos à moi, mis le réveil et je l'entendis s'endormir paisiblement, este cobarde. Donc si je récapitule, demain je reprends les cours ce qui est déjà une grande source de stresse.

Et en plus j'apprends qu'on habite dans un quartier peu fréquentable, mais c'est une catastrophe.

N'aurait-il pas pu trouver une autre ville avec tous l'argent qu'il a ? Pourquoi venir ici spécialement, à part pour nous mettre en danger ? Je ne comprends plus rien.

Bon de toute façon je n'aurais sûrement pas les réponses à mes questions. Alors autant ne plus y penser. Je commençais à me rappeler des souvenirs, de bons souvenirs que j'avais vécu avec mes parents ce qui me permit de m'endormir plutôt rapidement.

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Nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira.

Biz,

E.

Grâce à luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant