Tu me manques...

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Salut,ceci est ma première histoire. J'espère qu'elle vous plaira.

Je vous conseille de la lire en écoutant « The truth untold »de BTS, cette chanson m'a - beaucoup - inspirée (d'où le titre). Bon sinon bonne lecture :) !!

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Il était 00:38 quand j'ai décidé qu'il était temps que j'aille me coucher. J'ai pensé à toi qui m'attendais dans ma chambre en train de lire quand je me couchait trop tard. J'ai fermé la porte sans l'enclencher au cas ou tu arriverais, j'ai seulement laissait un entre-bâillement. J'ai mis mon haut, tu sais celui que tu adorais.Je n'ai pas fermé les volets, le ciel était magnifique ce soir là.J'ai tiré un peu les rideaux, la chambre avait changée, les rideaux l'avaient changés. C'est vrai, comme tu me le disais souvent, je ne les utilisais pas beaucoup, je souriais à ta remarque et tu souriais en retour. C'est vrai, beaucoup de choses avaient changées depuis ton départ précipité.

Je me suis couché dans le lit. Ta lettre commençant par ce « Chère Jisung je suis tellement désolé... » plaçait sous mon oreiller me rappelant ton absence inhabituelle. Tu m'avais dis que j'allais m'y faire, que tu étais désolé et qu'il ne fallait pas que je m'inquiète, qu'on allait se revoir même si se serait dans longtemps. Je ne t'en veux pas, je n'en veux qu'à moi même.J'aurais du te retenir. On aurait du en parlait tout les deux avant que tu te décides de partir seul. Je n'ai pas été assez là pour toi, je m'en excuse encore. Je suis tellement désolé...

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Je n'ai pas réussi, encore, je suis désolé Félix. J'ai cédé,j'avais trop mal, ça m'a soulagé. Maintenant ce ne sont que quelques cicatrices parmi tant d'autres.

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Je suis finalement sorti de mon lit, il était 3:38, j'ai enfilé un bas, un sweat et des chaussures. J'ai marché rapidement, le portail était entre ouvert, je l'ai poussé, il a grincé. J'ai couru sur le sentier et quand je t'ai aperçu, j'avais tellement mal à la tête,je suis tombé à genoux sur les cailloux blanc bien éparpillés autour de vous, toi et ces inconnus. Je ne te reconnais plus, tu ne sera plus jamais toi.

Le vent s'est levé et les feuilles ont virevoltées partout. Puis elles sont tombé autour de vous, de nous, de toi, de moi. Tu étais seulement à une dizaine de mètres devant moi, tellement proche mais tellement loin à la fois.

Je me suis levé difficilement et me suis mis devant toi. Les larmes ont coulées, je ne les ai pas arrêté, non pas cette fois, personne n'était là, seulement, toi et moi. Alors j'ai souri. Tous ces inconnus n'étaient pas important, ils ne voyaient plus et n'entendaient plus de toute manière.

J'ai enfin compris pourquoi, tu étais parti, alors non ne t'en veux plus,je ne t'en veux pas, comment l'aurais-je pu d'ailleurs. Tu étais,est et resteras mon meilleur ami, mon âme sœur de cœur.

Je sais que tu ne voudrais pas que je le fasse, tu t'en aurais trop voulu mais moi je n'en peux plus. Tu verrais la pitié dans leurs yeux si tristes qui m'observent en silence. C'est insupportable et me rappelle à quel point tu me manque. Mais toi tu ne viens plus nous voir, tu restes là à présent.Voir ta mère, voir ma mère pleuraient, tant tu leur manques me brise le cœur un peu plus à chaque fois. Tu me manque. J'ai encore besoin de toi.

J'ai brisé la distance, ma respiration s'est accéléré. Ça faisait tellement longtemps que je n'avais plus approché cet endroit. La tristesse s'est emparé de moi, un poids lourd de remord, lourd de tout m'accablait toujours plus. Mon corps a commencé a trembler, mes genoux ont cédés et se sont écrasés au sol devant toi. Devant cette photo de toi venant d'une époque où tu étais souriant,heureux et encore avec moi.

Les larmes se sont échappées de mes yeux, retenues depuis trop longtemps.

J'ai osé poser mes mains sur ta tombe, elle était froide, humide, sans vie mais maintenant, c'était toi, une trop dure réalité à croire.Mais ça ce n'était pas toi, ça ne pouvait pas être toi. Tu étais tout l'inverse. Tu nous manques, tu me manques tellement.

Le soulagement ne me faisait pas regretter mon acte, c'était seulement la délivrance de longue semaines passées sans toi. J'étais triste de devoir me soumettre à ça, de ne pas avoir réussi à me relever.

Mais j'ai pris les médicaments, j'en ai trop pris dans mes mains froides,trop en même temps. J'ai ouvert mes bras, laissant échapper un faible sourire pour accueillir la liberté alors que les larmes coulées toujours plus, silencieusement. Mon faible sourire s'est changé en un grimace et les larmes ne se sont plus arrêtaient. Ça faisait tellement mal, tout faisait mal.

La douleur m'a pris soudainement au ventre d'une poigne de fer, le souffle court, m'enserrant encore plus dans une solitude amère, de faibles plaintes mourantes se sont échappé d'entre mes lèvres.J'ai mal, ça faisait tellement mal.

Mon cœur se serait un peu plus, j'étouffais. Je respirais mais chaque inspirations me brisaient de l'intérieur, m'arrachant la gorge,m'étripant, me fatiguant, tout me transperçaient, touts'accéléraient. Ça fait mal mais on est seul. Je suis seul.

J'ai peur.

Soudainement mes paupières se sont fermé lourdement, mon corps a basculait, mes mains tremblantes se sont porté à ma gorge, mon visage continuait de ruisseler, mon souffle s'est arrêté. J'ai rencontré brutalement la surface froide. J'étais parti et j'ai vu ton sourire malgré mes yeux clos, je l'ai vu parmi les étoiles, parmi la pluie qui tombait sur mon corps froid,sur mon corps sans vie, sur mon corps avec toi à présent.

Je suis parti parce que j'avais encore besoin de toi. Tu me manquais etc'était la seule façon de te retrouver. Je t'aimais, je t'aime tant.

On l'avait dit et je te l'avais répété tant de fois : ensemble pour toujours, sourire pour toujours.

Mais maintenant c'était seulement parti.... pour toujours.

Seul un sourire resta.

Jet'aime.

FIN

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Tout d'abord, merci d'avoir lu cette histoire et si vous avez des questions n'hésitez pas.

C'est vraiment ma toute première histoire et j'espère que je n'ai pas fait trop de faute parce que l'orthographe et moi ça fait deux. N'oubliez pas de voter. Enfin bref, je vous souhaite une bonne journée

 Kalypso : )

(Je tiens à préciser que cette histoire est une fiction, je n'encourage donc personne à passer à l'acte. Si vous avez besoin de quelqu'un pour vous confier, vous pouvez venir me parler sans problème)





The Truth Untold - Jilix [OS]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant