Aujourd'hui est mon premier jour de stage dans une grande entreprise au coeur de New York.
Je n'ai que 17 ans et l'univers de travail, bien qu'il me fascine me donne la chaire de poule, j'entre dans un monde totalement inconnu malgré que ceci ai un côté mystérieux il cache un côté excitant.
Mon premier jour, bien passé bien que stressant, ce fini dans les alentours de 18h, le soleil se couche et laissé un teint rose, orangé au ciel que je peux apercevoir par les grandes fenêtres de cette immeuble.
Je rassemble mes affaires à mon bureau, regardant autour de moi s'il restait quelqu'un.
Personnes, j'étais seul dans ce bâtiment, aucun son s'en était presque effrayant.
Une fois prête à partir, je ferme mon bureau et m'avance vers l'ascenseur.
J'y rentre, choisis le rez-de-chaussée et regarde la porte se fermer, la petite musique d'ascenseur cliché se met à envahir la pièce.
Pour passer le temps j'allume mon téléphone et commence une partie de Werewolf.
L'ascenseur s'arrête à l'étage d'en dessous. Je ne suis pas seule ?
Je suis trop occupée à ma partie pour lever les yeux vers la personne qui vient d'entrer, mais son parfum envahi la pièce, sûrement un homme qui aime prendre soin de lui du genre BDBG.
* Bruit de machine *
Les lumières s'éteignent, je me retrouve dans le noir complet, seul mon téléphone éclairant mon visage me permet de me retrouver dans cette obscurité totale.
Mais bien sûr je n'ai plus de batterie, dans moins d'une seconde mon téléphone va s'éteindre.
Quand soudain, je sentis une main se glisser sur mon avant bras, au même moment qu'un frisson me parcourait mon téléphone s'éteignait. Je me retrouvais maintenant seule, dans le noir, avec un parfait inconnu qui se trouva à quelque centimètres de moi.
Sa main parcourait mon bras allant vers le haut puis glissa sur mon épaule allant parcourir mon dos avec un tel délicatesse que je m'en mordis les lèvres.
Son visage était si proche de moi, je pouvais sentir son souffle dans mon cou tandis que ses mains devenaient de plus en plus baladeuse.
Son souffle, se rapprochait dangereusement de mon visage, bien que le noir me donnait une excuse de ne pas bouger, je n'en avais aucune envie, je restais là, immobile à apprécié chaque mouvement et à imaginer ceux qui vont suivre.
Ses lèvres toucher à peines les miennes quand je décida de poser ma main sur son torse. Il prit de ses grandes mains mon poignet et me plaqua contre le mur de l'ascenseur, prit de surprise je laissa échapper un petit crie, même dans le noir je compris que ceci l'avait amusait et je deviné un sourire.
Il décida enfin à poser ses lèvres sur les miennes, elles étaient douce, chaude, tandis qu'il lâcha mon poignet pour glisse sa main sous ma robe noir, glissant ses doigts tout le long de ma cuisse, de plus en plus haut.
Étant joueuse moi aussi, peu importe s'il me repoussait je pris l'initiative de déboutonner sa chemise, bouton par bouton en continuant notre langoureux baisé.
Il se laissa faire, je n'en pouvais plus, j'étais si mouillé je ne pouvais plus attendre quand soudain il arrêtera, s'écarta sans un mot, je n'entendais que ses pas s'éloigner de moi.
Ma frustration était grande, je ne comprenais pas, quand soudain les lumières c'était rallumé.
Un homme, grand, plutôt belle homme, se tenait devant moi de dos, la porte de l'ascenseur s'ouvrit et il partie, sans un mot, sans un regard, je n'ai même pas vu son visage.
Essayant de reprendre mon souffle et mes esprits de repris mon sac et mon téléphone et partie le plus vite que possible me disant sur le chemin:
"il m'a regardé avant que la lumière s'éteigne, il sait donc qui je suis, et si ce n'était pas la dernière fois."
J'en frissonne rien que d'y penser.