Chapitre 127 : 3 en 1

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20 Juillet 2018
21H

-Maria, quel est le pire truc que Paul t'as fait subir depuis que vous êtes ensemble niveau honte ? Lui demande Isabelle. Maria n'a pas besoin de réfléchir beaucoup et se lance quelques secondes après. Paul la regarde d'un air de dire, « t'as pas intérêt à balance », mais vu le regard que lui lance Maria je doute que son souhait se réalise.

-C'était la première fois que j'allais le présenter à mes parents en Bolivie, commence t'elle.

-Non, non, non, bébé stop ! L'interpelle Paul en se rappelant surement ce moment qu'il voudrait garder pour lui.

Maria dégage la main que Paul à poser sur sa bouge pour la faire taire et la coince à coté d'elle pour continuer.

-Donc, je disais, c'était en Bolivie, et avant même que j'ai eu le temps de m'approcher de la porte d'entrée après avoir sonné, y avait une petite statu en terre sur le muret à coté de la porte que m'a mère avait faite et Paul l'a pris dans les mains pour la regarder, et au moment où ma mère est venu ouvrir la porte d'entrée pour nous accueillir, il l'a lâché des mains et elle s'est explosée par terre sous les yeux de ma mère, nous explique t'elle en rigolant.

Tout le monde explose de rire en essayant de s'imaginer l'action.

-J'aurais tellement aimé être là, impose Ben mort de rire.

-Mais c'est pas drôle mec ! se plaint Paul.

-Ah si, si, confirme Maria, sa copine en le regardant. Surtout que je vous reprécise qu'il n'avait jamais vu ma famille hein !

Nouvelle explosion de rire général.
Bon, si vous n'aviez pas compris, on est entrain de jouer à action ou vérité tous ensemble

-Bon, ma petite Luna au lieu de rire comme une dinde, me dit Paul d'un coup alors que je suis pliée en deux tellement que je rigole, tu vas moins rire dans 30 secondes, surtout qu'on est obligé de répondre, se sent-il obligé de me préciser alors que c'est moi qui ait fait les règles. Je sens que cette question va me mettre mal à l'aise, pas vous ? Où étais-tu le 16 juillet 2018 à 5h30 ? Me demande t'il innocemment, sous les regards interrogateur de tout le monde. Parce que notre Grizou a mystérieusement disparu jusqu'au petit matin...dit-il d'une voix insinueuse.

S'il me demande ça c'est qu'il connait forcement la réponse, quelqu'en a été le moyen pour le savoir. Je tourne ma tête discrètement pour voir ce que fait Antoine mais lui ça a plutôt l'aire de l'amuser. Il veut définitivement plus me toucher jusqu'à la fin de l'année lui ! Déjà au bout de deux jours il en peut plus alors 6 mois ! Bref, je réfléchis quelque peu à ce que je pourrais bien inventer pour ne pas dire la vérité devant tout le monde mais avec le regard que me lance Paul, je sens que je ne vais pas avoir le choix. Et apparemment ma réflexion est trop longue pour lui:

-Bon, tu réponds ou c'est moi qui balance, me dit Paul toujours en me regardant.

-Ok, ok, c'est bon, m'empressais-je de dire avant qu'il me vole la vérité. Tout le monde me regarde. J'ai appelé Antoine dans la chambre parce que... parce que son corps me manquais, dis-je en baissant le ton de ma voix.

Tous les mecs crient et pour ceux à coter de lui, bouscule Antoine. C'est vraiment des gamins ma parole !

-Adil ! Dis-je d'un coup pour stopper leur débilité. J'ai même plus le droit de faire l'amour à mon mec tranquille maintenant ! Non mais la blague. Par contre, j'aimerais bien savoir comme il l'a su le petit Paulo.

Dans son regardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant