Je m'appelle Célia, je suis lycéenne, j'ai 17 ans et vis avec mes parents et mon grand frère âgé de 19 ans. Rien a dire sur ma vie sentimentale. Je sors avec William depuis maintenant 2 ans. Ma vie au lycée est à peu près normale si je puis dire, j'étais entourée de mes meilleures amies Kiara et léane. Un soir alors que j'étais assise avec mes parents et mon frère à table, on regardaient la télé. Aux infos de se soir là, il était annoncé qu'un nouveau cas d'un virus a été prononcé. Au départ c'était juste un virus inoffensif, donc je ne m'inquiétais pas trop à propos de ça. J'étais plus focalisée sur mes études et mes rêves de jeune adolescente. Puis le lendemain, quand j'étais en cours, un phénomène étrange c'est produit à la pause, l'après-midi. Tout le monde était rivés sur son téléphones. J'ai pas vraiment compris leur comportement. Une de mes meilleures amies me montra alors l'horreur sur son portable. C'était le premier cas confirmer en France, décédé à cause du virus. Une semaine plus tard c'était dix et plus d'une cinquantaine de cas qui s'accumulait. Un soir j'étais allongée dans mon lit. Je réfléchissais à tout ça.
Une heure plus tard, un cri se fût entendre dans la ruelle en face de chez moi. Paniquée mon père sorti pour aller voir ce qui se passait. Mais on avait plus aucun signe de mon père. On décidait moi, ma mère et mon grand frère d'aller voir par nous-mêmes ce qu'il y avait. On avait mis nos gants, nos manteaux, nos écharpes et enfin un masque puisque le gouvernement le préconisait. Une fois dehors on descendait de notre ruelle, on tournait à gauche où se trouvait le cris qu'on entendait plus tôt. On avançait doucement est c'est là où on l'a vu ! Mon père étendu sur le sol ensanglanté. Mon grand frère était choqué, je pleurais de toutes mes forces. Ma mère nous avez arrêté d'un seul coup. Elle disait de ne plus faire de bruit car elle avait entendu un bruit suspect. C'est à ce moment précis qu'on la vu. Cette bête horrible qui se jeta sur ma mère la première et qui lui donna un coups. Mon grand frère me disait alors de courir le plus vite possible et c'est exactement ce qu'on a fait jusqu'à arriver à la maison et verrouiller toutes les issues. J'avais hurlé à mon frère d'y retourner parce que notre mère était encore là-bas. Il me disait de me calmer. Il ne fallait rien tenter de dangereux. Il avait appelé la police et les ambulanciers qui sont arrivés, qui ont vu l'horreur de leur propres yeux. Je fus choquée et perdue. tout avait basculé, du jour au lendemain. Je n'ai pas eu le temps de réfléchir que mon grand-frère me sortait de mes rêveries avec ses vomissements insupportable. Je m'étais approché de lui pour l'aider mais il m'y empêchait en mettant sa main devant moi afin de me stopper. Son regard en disait long. J'avais compris qu'il avait chopé ce foutu virus.
Les symptômes étaient bien ceux qu'avait prononcés le médecin à la télé l'autre soir. premièrement les vomissements, ensuite la perte de conscience où l'on sait même plus qui l'on es et enfin la perte de contrôle de son corps. Je ne savais pas quoi faire, j'étais encore sous le choc. Paralysée par la peur et par toutes les émotions qui venaient de se manifester. J'avais retenu aussi à la télé le numéro suivant le 25 celui d'une unité qui s'occupait des gens comme mon frère atteint par le virus. Il était conseillé d'appeler ce numéro immédiatement après avoir détectait les symptômes et c'est ce que j'avais fais. Ils sont venue me chercher moi et Jyliane pour nous examiner. J'avais rien, aucun symptômes ni même de fièvre. J'étais en parfaite santé physiquement mais mon mental quand à lui allait mal. J'avais besoin de dormir, je pensais tellement que c'était un cauchemar. J'essayais de me dissuader mais en vain. C'est bel et bien la réalité. J'ai appris qu'ils avaient garder mon frère, mais moi j'ai été jeté dehors après avoir été enfermer, pendant des mois et avoir fais toutes sortes de test.
En ressortant le monde avait changé. Des villages ont été détruits à feu et à sang. J'étais retournée vers chez moi. C'était horrible rempli de personnes infectées. J'ai appris qu'il ne fallait pas faire de bruit car les choses étaient aveugles mais avaient une ouïe sur développée. En l'espace de deux mois, tout avait disparu. Mes deux meilleures amies étaient devenues comme eux. Mon copain William c'était suicidait devant mes yeux en apprenant qu'il avait le virus. Désormais j'étais seule, plus personne était là et le monde sombra dans le chaos. Le monde était détruit et le ciel était gris. J'ai compris qu'il fallait que j'agisse. J'avais pris mon sac et regroupais les choses essentielles pour survivre. A manger, de quoi boire, un kit de soin et toutes les photos de souvenirs de mes amis et mes proches que j'avais. Je partais à la quête d'une aide vers les camps des survivants que j'avais réussi à capté avec la radio a mon père. Je prenais une carte et dessinait dessus mon trajet . Un trajet de deux jours sans compter les pauses que j'allais faire. Je pris des armes sur moi; trois couteaux et le pistolet silencieux de mon père policier avec les munitions. Je vérifiais une dernière fois mon sac et me mis finalement en route. Je savais d'hors et déjà que ça n'allait pas être une partie de plaisir, sachant que ça allait prendre plus de temps pour aller à ce camps.
VOUS LISEZ
Les porteurs de gènes
Mystery / ThrillerJe m'appelle Célia j'ai 17 ans et je suis en terminale ou plutôt je l'étais... Un virus sur notre planète est apparu, on a jamais su comment il s'était développé. Aujourd'hui j'essaye de survivre face à l'horreur qui fait rage dehors, je ne suis pl...