ʏᴏᴜ ᴘʀᴏᴍɪꜱᴇᴅ ♡︎ 𝐘𝐨𝐨𝐧𝐤𝐨𝐨𝐤 ♡︎ [Réécriture]

♡︎_𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 11_♡︎

Pdv externe

"Bonjour, secrétaire de la famille Park à l'appareil, je parle bien à Jung Hoseok."

"Oui ?" répondit Jung, confus de cet appel matinal.

"J'ai la triste nouvelle de vous annonce, la mort de Park Jimin, c'est avec grand regret qu'il a était retrouver mort un suicide. Je n'ai pas le droit de donner plus d'informations."

Après s'être clarifié la voix elle reprit.

"Nous espérons votre présence pour son enterrement, l'adresse vous sera communiquée par message. Toutes mes condoléances."

Sous le choc, il lâche le téléphone au sol, fissurant son écran.

Encore l'esprit brouillé et à moitié inconscient, il ferme les yeux, son cerveau ne réalisait ou ne voulait réaliser ce qu'il venait de lui être annoncé.

**********

Un petit garçon venant tout juste d'acquérir ses sept ans sautille joyeusement en sortant de l'école.

C'est à peine rentrer chez lui en compagnie de sa mère, qu'il va se changer et s'en va jouer dans un parc tout prêt de chez lui.

Tout heureux, il ne se prive pas pour chantonner, exprimant ouvertement sa joie, sachant pertinemment qu'en rentrant, il trouvait à sa disposition, un gâteau préparer spécialement pour lui.

Sur le point d'arriver, il tend l'oreille aux rires se mettant à courir en leurs directions pensant trouver des enfants avec qui, il pourrait jouer et s'amuser.

Pourtant en arrivant, il tombe sur une scène totalement différente de ses attentes.

-"Yah, tu es tellement gros !" -"Ouais, en plus t'es moche, je peux même pas te regarder."

-"T'es sur que tu peux jouer à la balançoire ?"

-"oups, le bébé pleure."

Les moqueries plus ridicules les unes que les autres s'enchaînent et des petits sanglots sortaient du lot faisant qu'hoseok se rapproche à toute vitesse d'eux.

"Yah ! Stop !" Les trois garçons se poussent légèrement laissant voir à terre un petit blondinet pleurant à chaud de larmes.

-"Parce que t'as des amis ? Je ne savais pas ça."

À la non-réponse un des plus âgés lève la main et attrape sans hésitation les cheveux du garçon encore à terre.

Cette action eut le don de déclencher hoseok, qui dans le feu de l'action saute sur l'auteur de cette violence le faisant tomber en arrière attaquant par la suite son bras le mordant avec force.

"Lâche mooiii!"

Il se fit propulser en arrière atterrissant douloureusement sur le sable.

Apercevant une dame passait au loin il se mit à crier à fin d'obtenir de l'aide.

"Espèces de nazes."

Suite à cela, ils déguerpir, redonnant au parc sa sérénité et son calme.

"Ils se croient tout permis par ce qu'ils sont plus grands !" Hoseok se relève essuyant le sable de son short reprenant son sourire en forme de cœur qui plut particulièrement au blond.

"Eum... Tu t'appelles comment ?" Il arrive en face de l'enfant qui ne répondait pas.

"Tu ne sais pas parler. C'est pas grave, je vais t'appeler mochi, comme tes joues !"

Cette remarque fit trembler les lèvres pleines du blond et inonder son visage de nouvelles larmes.

"Tu n'aimes pas ce nom. Euh ok, ok je le dirai plus je suis désolé pleure pas"

Réponds hoseok paniqué mais cette phrase eut l'effet inverse faisant maintenant sangloter l'enfant.

"J-j'aime par q-quand les autres pleurent ça me fait aussi pl-pleuré--" et voilà qu'hoseok accompagne le mochi dans son chagrin.

Le blond arrête de pleurer ne s'attendant pas à cette réaction et finit par prononcer son prénom "jimin. Park Jimin."

Se sentant mal d'avoir causé le malheur de celui qui venait de l'aider.

" Moi c'est Jung Hoseok !" Dit il, arrêtant de pleurer à son tour et il saisit la main de jimin pour l'aider à se relever.

Après ça, plus rien ne les sépara...

**********

Enfin, c'est ce qu'ils croyaient. Que rien ne les éloignerait l'un de l'autre.

En fait, il y avait quelques temps, le Park était devenu injoignable, son père l'ayant envoyé il ne savait où pour des soi disant études.

Excessivement étrange pour être vrai.

Et maintenant, même pas 1 mois plus tard, ils lui annonçaient son décès.

"Putain... Putain... Merde !"

On venait de lui dérober, une des choses les plus importantes pour lui.

À bout de nerfs, il balance le pauvre téléphone à l'autre bout de la pièce ne cherchant pas à voir son état.

Il lui fallait un coupable.