❝ SuperM c'est bientôt à vous ! Vous commencerez par no manners puis Jopping. ❞
No manners.. no manners. Je me demande encore aujourd'hui si c'était une bonne idée de te dédier cette musique. Après tous ce temps je fais encore semblant de m'adresser à toi alors que nos esprits ne sont sûrement plus connectés. Je me souviens à peine de la première fois qu'on s'est rencontré mais pourtant je me souviens encore parfaitement de ton visage après cinq ans de séparation. J'étais tellement obsédé par toi à cette époque, tu te rends compte ?
✘ FlashBack ✘
➚ La musique battait à son plein alors que taeyong dansait sur la piste avec les collègues de son district sur le nouvelle album de super junior. Même si il avait toujours été doué en informatique et qu'il avait déjà trouver un travail à son jeune, le brun savait pertinemment ce qu'il voulait faire à l'avenir.
Il faut se le dire, il était dans son monde, elle n'était pas dans son plan alors quand il l'a vit, il se figeât l'observant au loin. Entre nous, je n'ai jamais su d'où était venue cette élan de courage qu'il avait su avoir ce soir-là.
Il aura fallu une nuit, moins de deux heures pour qu'il tombe dans ses filets; Il était parti ensemble, loin de la musique, loin de la population.
Nous savons comment cela c'est terminé.
✘ Fin du FB ✘
Dans une dizaine de minute, pour la première fois en cinq ans..sera une nouvelle fois toi et moi mais cette fois c'est le monde contre toi sans moi.Tu te rappelles de cette époque où nous étions comme tous les couples normaux, cette époque avant de nous transformer en une version plus soft de Nancy et Sid.
✘ FlashBack✘
Le jeune homme sortait de sa nouvelle salle de danse après avoir refusé brièvement une sortie avec les membres de son groupe. Il avait remarqué que sa copine devenait anxieuse et agressive quand il ne rentrait pas l'heure. Il était protecteur alors il ne voulait pas lui faire des frayeurs mais le destin en avait décidé autrement.
Il se demandait qui pouvait bien le maudir, son téléphone était déchargé alors qu'il était bloqué dans une autoroute.
Il avait à peine franchi la porte qu'il commençait déjà à s'excuser de son retard mais il n'eut pas le temps de grand chose, le vase qu'il avait reçu sur son visage était devenu sa préoccupation. Il sentit des mains attraper son crâne alors qu'il avait les yeux fermés trop peur que des bouts de verre puisse y entrer or qu'il sentait le sang couler à côté de celui du droite.
Elle puait l'alcool mais il y avait une odeur de sex que Taeyong ne pouvait pas s'enlever de l'esprit. Il devenait surement fou parce qu'elle le secouait sans répit. Il n'arrivait même pas à verser des larmes alors que des insultes froides sortaient de la bouche de son vis à vis.
❝ PUTAIN DE FAIBLE- ❞ était la dernière phrase qui entendu avant de sombrer dans le noir.
Il s'était réveillé dans un endroit vierge sans odeur, ce qui était bizarre c'est qu'il ne sentait même pas sa propre odeur, les yeux encore flous il essayait de regarder autour de lui mais rien, personne. Le silence régnait, taeyong aimait le silence, il en voulait tout le temps ça l'aidait à réfléchir et là il réfléchissait. Et là il se remémorait ce qui avait bien pu se passer pour qu'il en arrive là.
✘ Fin du FB ✘
Le manager nous a demandés de monter sur scène alors je pense que mon monologue est entrain de se terminer.
✘ FlashBack✘
Cela devait faire bientôt trois semaines que Taeyong était rentré chez lui. Il avait mit une seule journée à s'en remettre. Il avait raconté le même mensonge qu'il avait raconté à l'hôpital, le fameux : " je suis tombée dans les escaliers. " L'infirmière ne l'avait pas cru et lui avait même donner un petit mot qui disait qu'il ferait mieux de balancer sa copine avant qu'elle ne recommence. Il l'avait ignoré pourtant c'était un message de rescousse. Mais vous savez ce qu'on dit : " l'amour rend aveugle " et puisqu'on en parle Taeyong avait été à deux doigts de le devenir. On lui avait retiré un bout de verre qui s'était bien enfoncé prêt à toucher un nerf sensible, un vulgaire pansement qui couvrait une cicatrice permanente.
