Dans le royaume de Déïosùs, il y avait dans une forêt interdite un petit village appelé Sàérat. Le chef du ville venait d'avoir un enfant appelé Akuma.
-Madame, tenez, votre enfant.
-Merci, Clotilde. Ne t'inquiète pas Akuma tous ce que nous faisons n'est que pour ton bonheur. Dit la mère à Akuma.
-Elle a raison, plut tard tu nous remerciera. Répondit son père.
La mère posa son enfant sur une pierre au milieu d'un cercle. Ses parents lui embrassa le front, puis s'ecartèrent du cercle. Tout à coup une dizaine de villageois s'approchèrent du cercle et s'agenouillèrent. Ils levèrent les mains au ciel et prononça une incantation qui même pour moi est impossible de traduire. Quand l'incantation fut fini une lueur s'abatit au centre du rond. Quand la lueur disparut les villageois ouvrirent les yeux et vient le nourrisson pleuré. Les parents courus vers l'enfant et la mère le pris dans ses bras. Le chef du village se tourna vers le vieux chaman du village et lui dit:
-Est ce que ça à marcher.
-Laisse-moi voire ça. Lui répondit le chaman.
Le chaman s'approcha de l'enfant et lui toucha le front. Après quelque seconde d'attente qui parrus comme des heures pour le chef du village.
-Alors ? Demanda le chef.
En se retournant le chaman lui dit:
-Ne vous inquiétez pas votre fils a bien reçu la bénédiction des dieux.
En entendent cela le village était foue de joie. Pour fêter ça ils dansaient, chantaient, s'amusaient tout la semaine.
Un jour avant l'anniversaire des deux ans d'Akuma. Le père fit un tour chez le chaman et lui dit:
-Chaman j'aimerai vous…
-Parlez ? Je le sais déjà. Lui dit le chaman.
-Demain mon fils fête ses deux ans et j'ai peur pour lui.
-Vous voulez parler de son éveil ?
-Exactement.
-C'est vrai que j'y ai réfléchi. Mais je ne vois pas comment éviter le problème.
-Vous voulez dire que nous ne pouvons pas…
-Exactement. Il n'y a aucune façon d'échapper à son destin. Dit le chaman au chef.
Le lendemain fut s'en doute la pire journée pour Akuma. Il fêtait son anniversaire avec tout le village. Au moment où il devait souffler ses bougies Akuma fut pris d'une grande douleurs à la tête. Puis plus rien, le vide. Quand Akuma se réveilla il vit tout autour de lui les corps sans vie des membres du village. Il regarda autour de lui et vit le corps de ses parents, morts. Ne pouvant retenir ses émotions, Akuma fonda en larme. Puis quelque minute après il se calma et une voie dans sa tête lui dit:
-Ça ne sert à rien de pleurer relève toi et part vers le sud.
Akuma ne dit rien et obéis à cette mystèrieuse voie qui lui parressait familier.
Il ne fallut pas plus de trois jours pour que les médias publient dans les journaux un soi-disant génocide à Sàérat. La police n'avait trouvé aucune personne, aucun indice qui pouvait révéler l'identité du tueur. Cet histoire fut tellement mystérieuse que les lecteurs donna un nom au tueur. Son nom fut utilisé pour faire fuir les enfants qui oserait s'introduire dans les forêts interdites. Une rumeur dit que le tueur resterait cacher dans la pénombre de la forêt et attendrait qu'un enfant pointe le bout de son nez pour le tuez. Il fut nommé “ le meurtrier de Sàérat “.