L'obscurité avait déjà envahi toute la forêt, intense et froide. La neige ne s'arrêtait pas de tomber et cela depuis bien des semaines, envahissant chaque passerelle de terrain, chaque sommet, chaque creux de la montagne.
Un homme marchait à taton à travers les profondeurs des bois, un bâton à la main pour éviters tout obstacle qui s'immiscerait entre lui et la fin du chemin, une corde dans sa deuxième main, au bout un cerf y était attaché par les pattes, traîner sur le sol laissant derrière lui une large trace rouge qui était aussitôt recouverte par les nouvelles tomber de neige.
Arriver à la lisière de la forêt l'homme rejoignit un chalet isolé, assez grand pour y vivre paisiblement et assez éloigné pour y vivre en tranquillité. Il souleva la corde la faisant glisser sur son épaule pour soulever l'animal afin de pouvoir le mettre avec plus de facilité sur l'établir du garage, il n'alluma qu'une lampe à huile pour s'éclairer.
Il enleva sa fourrure la posant sur une chaise derrière lui, attrapant le couteau le plus aiguiser et retira à son tour la fourrure de son future repas, il la dépeça, nettoya le poil pour en faire des couettes, les os seront taillés et serviront comme couteaux ou autres outils, la chaire il la mangera et trouvera une utilité pour chaque partie du corps de celui qu'il venait de sacrifier.
Après plusieurs heures de labeur, quand le soleil commença à se lever, il rejoint le chalet où la chaleur était présente, il fit bouille de l'eau avant d'aller nettoyer son corps pour enlever l'odeur d'animal mélanger à la sueur, il sortit quand il entenda la théière sifflée, habillé d'un bas et d'une serviette sur les épaules il revena au salon et remplit une tasse et y laissa infuser du thé, s'asseyant dans son fauteuil il regarda à travers la grande baie vitrée qui lui fessait face, l'aube arrivée, les premiers leures du jour reflétèrent sur son visage. À l'allure d'un viking ; des cheveux blond foncé mis longs à l'habitude tressée, une barbe virant au blanc, une musculature imposante, quelques cicatrices plus séduisantes qu'effrayantes contrairement à son œil aussi blanc que neige, un regard intense, avec des yeux qui avaient vue bien plus d'une vie s'écoulait, pourtant un visage plus jeune qui n'y paraît, on lui donnerait une trentaine d'années, celui-ci était marqué mais non ridé.
Un ermite ne vivant pas dans son temps, voilà ce que l'on pensait de lui, un homme à la fois étrange et effrayant, aussi silencieux que froid.Sirotant sa tasse, il vit un renard approcher et s'arrêter à quelques mètres de la vitre, le fixant. L'homme se leva, posa son récipient sur une armoire en bois coller sur la bordure de la vitre, il prit un bocal rempli de viande séché et ouvrit la double vitre, avançant ses pieds dans le froid, il s'essaya en fasse du renard, qui ne l'avait pas lâché du regard une seule fois, jusqu'à ce qu'il pose ses yeux sur le bocal, il se mit à avancer prudemment jusqu'à pouvoir manger la viande poser dans le creux de la main de l'humain, une fois satisfait il s'en alla. Un léger sourire s'afficha au visage de l'homme qui se releva après avoir contemplé le ciel, fermant derrière lui pour que la chaleur ne s'en aille pas davantage. Un brouillard commença à se lever dans le ciel, recouvre le soleil et faisant du monde extérieur une toile blanche. Il se réinstalla dans le fauteuil et ferma peu à peu ses paupières...
Des hurlements, des fracas de fers, des épées tapant contre des boucliers, d'autres transperçant la peau de leurs adversaires. Un champ de bataille remplit de corps sans vie étaler sur le sol, piétiné par d'autres, un corbeau les survolant. Une femme hurle de tous ses poumons, son enfant mort dans le bras. Le village d'à côté a été pillée et mis feu et à cendre par des barbares, les hommes on était tuer, les femmes violées.
Le prophète les avait prévenus, le sang coulerait et les morts tomberaient, il leur avait promis une guerre où bien des innocents périront, mais le mot victoire leur a retourné la tête et ils sont parti au combat.
Mais à quel prix ?
Les morts étaient innombrables, dans les deux camps. Des victimes innocentes avaient été touchées mais ils avaient gagné, leur chef leva les yeux, au ciel, son visage couvert du sang de ses ennemis, il prit une grande aspiration et un sourire de satisfaction s'afficha à son visage puis tourna la tête et regarda ses compagnons chercher les corps des leurs, la vision du champ était rouge tapis de corps sans vie, des membres détacher pour certains et même des chevaux y avaient péri. Il rengréna son épée et alla rejoindre les survivants.
''- On a vaincu
On lui répondit sans même le regarder
- Vraiment ?"À leurs retours ils furent acclamés comme des héros, les rires et l'alcool couler à flots, un festin s'offrait à eux. Ont fête leurs victoires, et les hommes qui avaient rejoint le Valhalla.
La semaine se passa dans la festivité, elle s'arrêta quand le tonnerre gronda si fort qu'il faisait trembler le sol, ils pensaient que Thor était avec eux et riaient de plus belle, jusqu'à ce qu'un toit prenne feu puis un champ, le village se mit à brûler en un rien de temps, prit au dépourvu, essayant d'éteindre le feu avec l'eau du lac, ils avaient tous des seaux en en mains femme, enfant, mais il était bien plus rapide qu'eux et ses propogés à une vitesse des plus incroyables.
Le regard empli de tristesse et de haine, il regardait son village brûler, les gens paniquer et son enfant mort était dans les bras de sa femme qui hurlait.
Tout c'était passer bien trop vite, beaucoup trop. On lui avait pourtant certifié qu'il serait glorieux et heureux.Les pieds dans la neige, le visage couvert, et le corps bien plis, des sacs sur le dos et une épée accrocher à sa ceinture, accompagnés de deux hommes qui gravit la montagne où le vent était si fort qu'il pensait pouvoir voler, cela lui prirent plusieurs jours avant qu'ils atteignent la forêt de séquoias qui menait à l'oral.
Il ne prit pêne à frapper il enfonça la porte et entra avec rage, l'habitant, était assis sur une chaise en face de la porte comme s'il l'attendait. On se rapprocha de lui violemment, le chef sortit son épée et lui plante en face du visage, frôlant ses yeux."- Tous tes mots n'étaient que mensonge ! Tu n'as rien d'un oracle.
- Pourtant vous avez vaincu, et à prix cher."Le visage de l'oracle paraissait son émotion, son regardé se détourna pour regarder le ventre ou un corbeau à demi aveugle l'observer. Le chef halté de rage, il n'avait qu'une envie, le tuer.
"- J'imagine que mon heure est venue "
D'un coup sec l'épée lui transperçant son œil droit, fendant son crâne puis ressorti à l'arrière, La dernière chose qu'il vit fut le regard de ce corbeau.
Un bruit de fracas, il se réveilla d'un coup sec et regarda autour de lui, son cœur battant bien trop vite. Il prit une grande respiration pour le calmer, sa tasse était tomber au sol, il fronça les sourcils avant de se lever, la nuit était tombé, éclairait seulement par la lumière de la lune, il se rapprocha pour ramasser les débris, mais recula quand un ombre noir surgis, elle voler.
Un corbeau c'était infiltrer chez lui, celui-ci se posa sur un accoudoir sur fauteuil, il était à moitié aveugle.