les Archéologues de l'extrême

la Planète Morte

Il y a longtemps vivait des civilisations étonnantes, ayant construit des édifices incroyable de part leurs structures d'une précision incroyable, mais aussi et surtout de par la démesure de ces dites construction. Des tombeaux s'étalant sur plusieurs kilomètres et haut de deux cents mètres, d'une complexité incroyable, tout ça pour une seule personne et ses serviteurs.

Il me plaît de voyager de planète en planètes et découvrir ces civilisations. La galaxie est assez grande pour passer toute une vie dans les décombres et de ne pourtant découvrir que la surface d'un monde ancien et nouveau à la fois, avec des techniques et technologies parfois perdue, des races utilisatrices de la force ou que sais-je. Voilà pourquoi cela fait plusieurs générations que ma famille exécutons ces expéditions tout les ans, avec une équipe de chercheurs chevronné. Des fois des Jedis nous rejoignent, l'histoire d'une mission, ayant entendu parler de nos recherches sur certaines civilisations, mais ils repartent souvent déçu, ne trouvant aucune relique ou trace de la force dans nos fouilles.

Ce n'était pas le cas de ce voyage. Nous avions décidé cette fois-ci de partir sur une toute nouvelle planète, découverte par un ami à moi. Elle était reculé orbittait autour d'une étoile mourante. D'après cet ami, la planète semblait morte mais montrait avec les radars des formes non naturelle. Cela Avais tout de suite réveillé mon instinct de chercheur et j'avais mis en place cette expédition à peine revenu de la dernière.

Nous voicîmes donc  partis en direction de cette planète. Notre vaisseau était une poubelle mais le pilote savais y faire, et je n'avais de toute façon pas les moyens de m'acheter un nouveau vaisseau, l'expédition me prenant déjà toutes mes ressources. Arrivés dans le système solaire, nous fîmes la rencontre de l'étoile mourante, qui fournissait encore lumière et chaleur mais sans doute de moins en moins. Les coordonnées nous indiquait une petite planète grise, qui semblait morte elle aussi. Mais elle dégageait un champ magnétique qui, nous rapprochant de plus en plus, déréglait nos appareils de mesures. Ça n'augurait rien de bon. Si nous ne pouvions pas faire de mesure, c'est toute l'expédition qui était en péril. Je n'en voulais pas à mon ami, qui n'avait vraisemblablement pas mis les pieds ni même vraiment approché cette planète. Il l'avais sans doute scanné de loin avec ses navettes terraformeuse. Il ne nous restait plus qu'à nous poser et espérer que le champ n'était que spacial, et qu'il ne nous dérangerai pas.

Nous furent heureux de remarquer, une fois atterri, que nos appareils fonctionnait bien. La planète était sèche, rocailleuse, venteuse, mais l'air y était respirable, première constatation. Notre première semaine de fis sans encombre, nous parcourions la planète en quête de vestiges Visible, à bord de notre vaisseau, nous posant quand doute il y avait, ou bien pour prélever des échantillons de terre ou de roches. La planète était faites de canyons et de chaînes de montagnes se succèdent au fils des jours, beau mais terne, sans nouveauté, une planète rocheuse banale en somme.

Un mois passa sans trouver aucun vestige vers les sites potentiel envoyé par la sonde de mon ami. Dépités, nous commençâmes à chercher dans des endroits un peu plus reculé lors du deuxième mois, nous fiant à notre instinct de chercheur. Nous avions trouvé des traces d'eaux au fond des canyons, déjà un bon indicateur de la vie, et certains de mes collègues penchait sur une race Alien vivant sous terre ou dans des gallerie.

Trois mois. Le moral est bas, la routine est monotone, on voyage dans le vaisseau à la recherche de vestiges, on en trouve pas, on fait des analyses, rien de concret à part la présence d'eau. On ne le dit pas, mais on le sait. Cette mission à tout l'air d'être un échec.

Cinq mois. En fouillant dans les canyons que l'on pouvait visiter en vaisseau, on est tombé sur une grotte. Nous décidons de nous installer ici. Les vents sont violant et on malmené notre vaisseau déjà mal en point. Ici nous pourrons le réparer et peut être découvrir de nouvelles choses. C'est ce que nous nous disions. Mais nous n'étions pas prêt à ça. En analysant la cavernes, nous fîmes la découverte d'un passage, très clairement creusé dans la roche. Le passage était de la taille d'un hutt, et on pouvait facilement le traverser, mais cela voulais dire laisser le vaisseau et partir vers l'inconnu.