Aiz Wallenstein x Bell Cranel Fanfiction

Chapitre 1

AIZ WALLENSTEIN ET BELL CRANEL

Ce matin-là, j'étais allé seul au donjon, je me réveillais en sursaut suite à un cauchemar...

J'avais bien pris soin de ne pas réveiller ma douce déesse et je laissais un mot au cas où la déesse accomplierait le miracle de se lever tôt. J'etais bien decide a rentrer avant, mais quelque chose me tracassait.

C'était au début ce que je pensais, mais les mauvaises pensées ne partaient pas. D'habitude j'allais me défouler dans le donjon combattais au risque de ne plus en revenir et puis apres n'ayant plus eu le temps de penser j'allais mieux, et je pouvais retrouver avec soulagement mes compagnons pour la journée. Aujourd'hui ce ne fut pas le cas. En effet, j'avais beau me mettre en danger, combattre le plus de monstres possibles rien ne changeait je ne pouvais détourner mon esprit de penser a ce cauchemar. Je soufflais, epuisé, "que fais-je maintenant...? si meme ca ca ne marche plus.." je battais en retraite engloutissant sur le passage un petit pain rassis de la veille dont j'avais bien pris soin de le ranger dans une de mes petites poches. Syl me préparait le petit déjeuner soigneusement ce qui me valait des taquineries toujours émanant des autres. Je m'en fichais elle était très gentille de s'occuper de mon estomac c'est avec cette pensée que je la remerciais bien chaleureusement a chaque fois.

Bon, cela va bientôt faire 3h que je suis venu au donjon songeais-je presque à voix haute, je devrais rentrer et me doucher, j'ai du sang de monstre qui dégouline de partout je me sens collant. Et puis peut-être que ça m'aidera à penser à autre chose même si je me doutais bien que je me berçais d'illusion. M'enfin bon si on n'essaie pas on ne sait pas n'est ce pas? Je prenais le chemin du palier suivant instinctivement, plutôt que de chercher à remonter. Parfois mon instinct me mettait dans des situations délicates, eus-je réussis à penser en soupirant, constatant que ce n'était pas l'étage menant à l'entrée.. j'avais l'impression que je voulais rentrer pas continuer bon sang. Je m'obligeais à faire demi tour et rentrais définitivement. Sauf que le chemin indiquant la sortie n'était plus. Dans un esprit calme et logique je cherche l'autre sortie et y entrais sans trop me poser de questions mais tout de même aux aguets, le nombre de piège que recelait ce donjon m'avaient plus d'une fois mis dans l'embarras, sans parler des aventuriers, qui ne cessaient de multiplier leurs assauts. Cela fait bien 30 min que je chercher d'autres sorties mais arrivant tout près elles disparaissent aussitôt, la balade matinale commence à languir et puis les monstres à ces étages là ne sont peut être pas bien fort mais ils venaient toujours par masse considérable, auparavant, je n'aurais pas survécu.

Je sentais une odeur familière au loin et un sourire s'afficheit innocemment sur mon visage humant l'air à la recherche de cette nourriture succulente!

Comment aurais-je pu imaginer que cette odeur de jambonneau n'était enfait que la couverture de l'odeur de la princesse à l'épée??

Ça c'était un piège de haut niveau, me heurtais-je à penser lorsque, gêné, je me trouvais non loin de là où la princesse se trouvait. Je me rendis compte qu'elle était seule, tout comme moi. Je ne savais que faire je n'osais pas partir mais je savais quelle me retirerait au moment où je manquerai de précaution. Ainsi, j'étais bien oblige daller lui parler, je voulais pas lui parler en ayant ces si sombres pensées, mais ce qui m'en débarassa, succinctement était mon embarras démesuré pour la jeune fille d'une beauté inégalable, à chaque fois que je la voyais c'etait comme si je redécouvrais sa beauté, son blond platine qui était parsemé de reflets dorés qui lui donnaient une allure d'ange, bien que sa rapière venait contratser cet aspect presque trop gentil pour laisser une aura de force autour d'elle ajoutée à son air mystérieux qui planaît toujours sur son visage fin, qui relevait là d'une grande grâce, ses yeux miroitaient dans le donjon, son éclat doré semblait comme de la foudre prêt à frapper à tout moment, instinctivement ça m'obligea à me mettre en garde.