La mortelle immortelle.

Chapitre 1

Étendue sur le sol elle sent sa vie l'à quittée, elle voit les yeux dorés de celle qui lui a donnée la vie ou aucune larmes ne coulent mais qui pourtant hurle de tristesse. Sa main froide caresse sa joue et l'apaise. Son corps ondule sous la douleur pourtant elle ne sent plus rien , seulement une chaleur qui englobe son être. Elle sourie les yeux inondés de larmes, ils se font lourds et se ferment doucement. On entends alors ses proches gémirent et pleurer de sa fin. Si le Paradis existe elle part pour un monde meilleur. 

-Je t'aime...

Mon murmure se fait comme un hurlement dans cette étendue de neige , je vois les sapins ondulés grâce aux vents. La neige tombe magistralement sur le sol pour recouvrir mon sang qui rend ce lieu impure.

-Ambre, Ambre mon enfant ...

-Rentrons a la maison ma chérie est donnons à Ambre une sépulture pour son repos éternel.

- ... Je n'ai pas eu le temps de la connaître, comme une mère aurait du.

-Tu ne savais pas, comment tu aurais pu la protégée...

Ce couple assis aux cotés d'un corps sans vie, discute et se console de la perte de cette jeune demoiselle. Leurs amis aussi présent pleurent cette enfant partie trop vite dans une guerre inutile et violente...

1932.

-Emmenez la ! Allez!

L'homme vêtue de noir dans une ruelle sombre fait tout pour être invisible à d'éventuels passants un peu trop curieux. Il court tenant un paquet des plus originale.

-Chut tais toi tu va nous faire repérer.

Le paquet n'est autre qu'un bébé qui est venue au monde il y a seulement quelques heures.

-Encore une catin qui veut se débarrasser de sa progéniture bâtarde!

L'homme continue néanmoins sont parcours en gardant fermement sont paquet entre les bras, dans les ruelles sombres de New-York. Il se trouve a présent devant une double porte en fer forgé, il frappe comme un démon sur celle-ci et vérifie à sa droite et à sa gauche que personne ne regarde cette scène étrange.

Soudain la porte s'ouvre et laisse s'y engouffrer l'homme et son paquet pour le moins étrange.

Quelques minutes plus tard ce même homme ressort avec un sourire satisfait et une bourse pleine de pièce qu'il s'amuse à lancer en l'air et laisser retomber dans le creux de sa paume. La nuit est sombre est a présent seule sont sifflement de satisfaction se fait entendre dans la pénombre car son corps a disparut.

1950. Wisconsin.

-Joyeux Anniversaire Ambre!

Je voit ma mère s'approcher les mains prisent par un magnifique gâteau, je sourie qui peut rêver mieux d'avoir ses parents et sa famille pour fêter son dix-huitième anniversaire. Mon sourire rayonne sur mon visage et je ne peux m'en défaire.

-Tiens voici tes cadeaux ma chérie.

J'ouvre mes cadeaux et y découvre de fabuleux trésors. Voltaire et Molière en édition limité. Mes parents sont fou ces livres coûtent une fortune. Mais je suis tellement heureuse que je leurs sautent au cou oubliant les règles de bienséances mais ils ne m'en tiennent pas rigueur.

La journée se déroule magnifiquement bien, je n'aurait pas rêver mieux !

-Allez Ambre il est tard nous allons nous coucher ma chérie.

-Oui, Mère je termine ma lecture et je monte également.

Mes parents m'enlacent et m'embrassent puis ils montent se coucher, la journée fut charger en émotion. Je veux absolument finir mon chapitre mais mes bâillements à répétition me font abandonner mon projet, je range mon marque pages et je dépose mon livre puis je monte à l'étage pour aller me coucher.