Chicas de la sombra

Chapitre unique

Il y a fort fort longtemps, les samouraïs dominaient leur ennemis. Tous. Sans aucune exception. Alka est moi étions en admiration devant cet art, cette discipline, dont personne n'en avait le secret. Nous habitions à Hong-Kong, en Chine. Cette année là, je croyais être inatteignable, avec Alka... Mais tout a changé en une seule journée...

J'étais partie au marché, toujours en quête de trouver ces fameux samouraïs. Quand je suis rentré, Alka était étendue sur le sol, à moitié morte:
- Qu'est-ce qu'il sait passé ? *étonnée*
- Ils.... Ils sont revenus...
- Les bourreaux?
- Non.... Seulement un homme.... Masqué...
- Il était seul?
- a...accompagné par... une troupe de soldats...

Le soir même, un homme apparut devant nous, nous ne l'avions même pas entendu arriver. Cet homme prétendait être un samouraï, et disait pouvoir nous enseigner cet art ancestrale.
Quelques années passèrent, Alka devenu un maître dans le maniement du katana et de la discrétion.

Vint le jour où Alka se dirigea vers le marché. Elle savait qu'une cargaison d'une importance excessive allait arriver. Ce n'est pas la cargaison qui l'intéressait, mais l'homme qui la menait: l'homme qui autrefois l'avait humilié, allait bientôt connaître un sort bien pire que celui qu'il avait commit. Alka et moi bondissaient de toit en toit, jusqu'à pouvoir être hors de vue mais par la même occasion pouvoir assassiner les gardes étant censé le protéger. Ni une ni deux, Alka courut de discrètement et s'approcha des gardes. En moins d'une minute plus aucun n'était là. Elle les entassa dans une botte de foin (référence à assassin's creed :))) après les avoir -bien entendu- étrangler. Nous continuons de suivre la cargaison dont on avait diminué le nombre de gardes.

 L'homme entra par la porte principale du château. J'aperçus sa suite: des concubines, jeunes, trop jeune pour devoir subir cette corvée que d'être un objet sexuel. La question se posa: devions nous nous occuper du sauvetage des concubines, ou de l'assassinat de l'homme? Nous avions fini par conclure que j'irai délivrer les concubines tandis qu'Alka irait prendre sa vengeance.

 Elle avançât jusqu'à être à portée de l'homme. L'homme se dirigea dans la salle de la table ronde, derrière celle du trône. Elle du attendre des moments interminables afin de pouvoir se venger sur le "long terme". De mon côté, je me jeta sur le premier garde: d'un coup de ma lame, il mourut instantanément. Je l'avais touché au crâne, ce qui ne l'a pas laisser indifférent. Je tua les autres gardes un a un, puis m'avança discrètement d'une chambre de concubine. Les gardes qui étaient censé les surveiller étaient morts. Ou presque. Un demeura encore un vie. Celui-ci faisais des avances constantes à la concubine. Alors qu'elle le repoussait, il se jeta sur elle comme un lion sur sa proie. Il commença à la soulever sur le lit tandis qu'elle lui hurlait de la lâcher. Je couru vers lui et le décapita d'une attaque tournoyante. La concubine hurla de peur. Avec ma chance légendaire, toute une légion de soldats passait justement par là. Je m'évada sans discrétion pour leur échapper. Je pris pour que cela n'affecte pas la mission d'Alka.

*Du côté d'Alka*

Alka attendit pendant vingt minutes le temps que l'homme mystérieux s'éclipse, afin de le torturer le plus longtemps possible et de faire de sa mort une mort lente et douloureuse. Sa patience ne fut qu'une perte de temps: avertit par la légion qui me pourchassait, une horde de gardes arriva vers l'homme. Furieuse, prise d'une rage incessante, Alka fonça vers lui. Les gardes tombèrent les uns après les autres, sous ses lancers de couteaux qui atteignaient presque toujours leurs cibles, et de sa lame tranchante elle visait cous, torses, yeux et jambes. La salle fut remplie de sang et de gémissements. Un seul resta encore en vie: sa proie. Il était au sol, incapable de bouger ses jambes, rampant si bien que mal pour fuir. Alka pris soin de fermer les portes à l'aide de poutres, afin de ne pas être déranger en pleine action.

Elle s'avança vers lui, un sourire carnassier sur le visage, pris un couteau et lui enfonça dans sa plaie déjà bien entaillé. Il hurla de douleur. Toujours avec ce même sourire sur les lèvres, Alka empoigna son deuxième couteau et lui entailla les lèvres, de façon à si jamais il se met à crier, il amplifiera sa blessure. Elle commença très lentement sur chaque extrémité des lèvres, lui agrandissant son sourire tel qu'il avait le sourire d'un clown tueur. Elle continua, elle prit ses couteaux et installa l'homme sur une chaise. Elle lança ses couteaux les uns après les autres tel un ouragan innarétable. L'homme hurla une fois de plus. Elle reprit son couteau et retira la peau de ses doigts. 

Puis elle passa aux jambes.... Ces pauvres petites jambes instables. Cette fois-ci, elle les trancha avec une scie. Trèèès lentement. A cet instant, une petite fille arriva, elle ne l'avait pas vu. Cette enfant était la fille de l'homme. Alka se retourna, avec cet interminable sourire maléfique, et s'approcha doucement de la jeune fille... Elle prit sa main et l'ammena devant son père.
A sa grande surprise, la petite fille se jeta sur son père, armée de 2 couteaux, et le poignarda de toute part.
L'homme était encore en vie. Sa fille avoua à Alka que cet homme était en réalité le pire des enflures. Le cauchemar de toutes petites filles se baladant seules et isolées. Alors, Alka se tourna vers l'homme, et lui enfonça lentement son katana dans l'oeil. L'homme hurla de toutes ses forces, la suppliant de mettre fin à ses souffrances.
Et la petite fille prit le katana des mains de la jeune femme, et trancha le ventre de son père. Les boyaux sortaient les uns après les autres, le sang giclait sur la fille et l'homme cria plus que jamais.
Et la fille se retourna vers Alka, le sourire aux lèvres, sa petite robe tâchée de sang, et lui dit: 

Tu veux jouer avec moi? 

Dreamer .I..